La géo-énergie atlante

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Les Atlantes et leurs voisins maîtrisaient de nombreuses sciences dont nous ignorons tout, ou presque. Ainsi, en étudiant les gammes ultra et infrasoniques, ils ont découvert l’antigravitation.

Depuis toujours, ils exploraient les pouvoirs de l’esprit sur la matière. C’est l’étude de ces pouvoirs qui leur a fait découvrir la géo-énergie ou Vril. C’est leur maîtrise de la gravité qui permit aux Atlantes une prouesse inconcevable : Atlas et les siens auraient redressé l’axe de la Terre pour qu’elle produise plus d’énergie. A moins… à moins que le même Atlas ne se soit rendu coupable d’une grave négligence, mais c’est une autre histoire.

La méga-civilisation qui a précédé la nôtre a eu recours à plusieurs types d’énergie. L’électricité produite par le globe terrestre considéré comme une dynamo géante, ou énergie Vril, est la principale source énergétique utilisée par « les dieux d’avant ». Auto-produit par le magnétisme terrestre, le Vril circule autour du globe par de vastes flux.

Les dieux Atlantes ont travaillé ces flux à peu près de la même façon que leurs descendants ont fait, des millénaires plus tard, avec la foudre. La géo-énergie  était captée par les pyramides, éclatée par des temples ou des cercles de pierre, acheminée par des canalisations d’eau et des alignements polarisés. Parfois les menhirs étaient remplacés par des rangées de piliers, voire des statues soutenant des voûtes ; statues que nous nommons, comme par hasard, des Atlantes…

Tant que la terre est restée dans le plan de l’écliptique, ce fut l’âge d’or. Un éternel printemps créa l’abondance en ressources vivrières, ce fut la longue époque des chasseurs-cueilleurs. Et sur le plan énergétique, une autre conséquence majeure : la Terre ne produisait pas de foudre. A la place, elle produisait une énergie électro-magnétique stable et plus subtile, celle qui circule encore dans les flux sacrés, bien connus des géobiologues. Est-ce à dire qu’il n’y avait pas d’orage quand la planète était droite ? Sans doute que non. Immanuel Velikowsky raconte le fantastique orage qui crépita entre la Terre et Vénus, quand celle-ci vint à la frôler.

Cet épisode pourrait bien être à l’origine de l’inclinaison de l’axe terrestre. Alors l’orage gigantesque qui réunit les deux globes serait le père de tous les orages… La terre inclinée frotte et grésille, d’où la foudre. La terre ortho-axée ne frotte pas, d’où l’absence d’orages à foudre.

J’entends d’ici grincer les météorologistes effarés. Pour ces professionnels de la profession, la foudre est la production d’électricité dans les cumulo-nimbus, et cette production n’a rien à voir avec l’inclinaison de la terre. Parfait, où est le problème ? Il n’y avait donc pas de cumulo-nimbus quand notre planète était ortho-axée.

On peut fort bien imaginer que des conditions électro-magnétiques différentes au niveau planétaire engendrent des polarisations différentes, et donc une toute autre climatologie. Hélas ! Devenue un électro-aimant d’une puissance gigantesque, notre planète « amoureuse » se mit à attirer des objets célestes.

Des étoiles filantes zébraient le ciel nocturne. Et ce qui devait arriver arriva : une collision astrale déséquilibra le globe terrestre qui bascula, inclinant son axe de plus de 20° sur le plan écliptique. L’île principale d’Atlantide fut détruite, mais de nombreux  Atlantes d’Amérique échappèrent au désastre. 

Notons que dans l’hypothèse Nibiru, qui fait intervenir les anciens astronautes, la cause de l’inclinaison de notre planète est tout autre : il  s’agit d’un raté au décollage de l’île-vaisseau gigantesque nommée Atlantide. Cette autre hypothèse, plus hardie mais aussi plus vraisemblable, ne modifie pas la suite du scénario. La nouvelle inclinaison de la terre a brusquement fait chuter la production d’énergie vril. 

Pour pallier la carence énergétique, les centrales furent adaptées à l’énergie fulgurale… L’énergie Vril n’a pas disparu pour autant. Elle est vitale, donc elle circule partout. Le langage courant témoigne sans cesse de sa présence : les good vibes, les bonnes vibrations des années 70 ne désignaient rien d’autre.

Quand « le courant passe bien » avec quelqu’un, c’est qu’on est « sur la même longueur d’onde » ; la loi d’attraction et la gravitation universelle qui régissent la marche des planètes gouvernent aussi nos comportements. Quelqu’un d’attirant exerce une attraction comparable à celle qu’exerce un aimant sur la limaille de fer ;  et un cœur aimant réagit comme un métal aimanté.

Le Vril participe de la nature de l’influx nerveux qui parcourt notre corps. C’est une des langues dans lesquelles la Terre Mère nous parle. Pour la sentir, nous avons la plante des pieds qui est l’organe subtil le mieux adapté. En marchant pieds nus sur la terre sacrée, les peuples premiers savent qu’ils se rechargent en énergie subtile sans laquelle tout être vivant ne tarde pas à dépérir et à mourir.

Les moines, du temps où ils sentaient encore vibrer la vie, ne portaient que des nus-pieds, sandales à semelles fines qui les protégeaient du froid des dalles médiévales, sans les priver des bonnes vibrations qu’on peut sentir dans les cryptes romanes ou les cathédrales gothiques. Maintenant ils portent des chaussettes dans leurs sandales compensées Méphisto à semelles super épaisses… bien isolantes, surtout. C’est l’effet Kali Yuga

Pour en savoir plus sur cette géo-énergie Vril
découvrez l’énergie antique

 

D’où venons-nous ? Où allons-nous ? Moi, je peux vous le dire. Je viens de chez moi, et j’y retourne.
Pierre Dac