La nuit des temps

 

Il y en a des mystères dont la science menteuse se détourne… La sculpture qui précède orne un des temples du gigantesque périmètre d’Angkor. Elle montre un stégosaure. Ce dino a disparu depuis le jurassique.entre 145 et 155 millions d’années Comment peut-il figurer sur les murs d’un temple 150 Ma après sa disparition ? 

 

Une sacrée différence !

De deux choses l’une : soit Angkor est infiniment plus ancien qu’on le dit, soit les dinos n’ont pas du tout disparu. Soit les deux… Ce qui ferait en bon français : de trois choses les trois.

Angkor est l’un des principaux sites archéologiques de l’Asie du Sud-Est. Sur 400 km2 en partie couverts de forêt, le parc archéologique d’Angkor recèle les admirables vestiges des différentes capitales de l’Empire khmer qui rayonna entre le 9e et le 15e siècle. Le temple Ta Prohm fut construit sous le règne du dernier grand roi de l’empire khmer Jayavarman VII, adepte du bouddhisme mahāyāna. Que possédait-il comme source d’information ?

Entre quelques siècles en arrière et un gouffre de 150 Ma, il y a une sacrée différence ! De plus, l’habitat du stégosaure était l’Amérique du nord. Sans blague ? Les dinos prenaient l’avion ? Selon moi — et d’autres chercheurs — le site d’Angkor n’a pas été construit par de simples humains, fussent-ils bouddhistes. Ils ont reçu une aide extérieure — pour ne pas dire extraterrestre.

 

 

Balivernologues

De la nuit des temps surgissent des civilisations inouïes. Elles étaient déjà antiques dans l’antiquité. Encore avant elles, surgissent d’autres mondes et plus on s’enfonce vers nos origines, plus ces civilisations ressemblent à la nôtre. L’oubli qui tout efface les a chassés de nos mémoires.

Il en fut ainsi pour Sumer, pour Babel ou les Olmèques. Et pour ceux de l’Atlantide, ceux de Mu, ceux de l’Empire de Rama, sans compter tous les peuples dont on ne sait rien et dont notre pseudo-science ignore tout. 

Voyez plutôt la liste ahurissante des énigmes d’Angkor. Plus on remonte dans le temps, plus ces anomalies se multiplient. Pourtant les énigmes les plus énormes n’embarrassent guère les paléo-anthropologues, archéologues, ethnologues ou autres frimologues diplômés de balivernologie.

Supposons que tout le périmètre d’Ankor ait été construit à l’époque des dinosaures ? Supposons que des hommes y vivaient déjà ? Des hommes ou des serpents bâtisseurs…

 

Les Reptiliens

 

Difficile à croire ?

Je ne sais pas. Sans aller jusqu’aux reptiliens, voyez plus loin l’âge de certains crânes humains « modernes »… Les spécialistologues prétendent qu’à cette époque, l’homme sautait de branche en branche en mangeant des bananes. Ce qui ne l’a pas empêché de bâtir le site hydraulique d’Angkor, qui aurait mérité de figurer dans la liste des sept merveilles du monde.

Mais le monde est resté trop longtemps le seul occident. Chacun voit midi à sa porte. Et tout au long du jour et de la nuit, il est toujours midi quelquepart. Les douze coups sonnent toujours à la porte de quelqu’un.

 

La mine de Swaziland. Les détracteurs ont bonne mine !

 

Une mine de 43.000 ans

Au Swaziland, près de Ngwenya, on a retrouvé la plus ancienne mine du monde, vieille de 40 à 50.000 ans. En gradins et à ciel ouvert, cette mine est d’une réalisation parfaite, son exploitation y fut facile. Ceux qui l’ont creusée avaient un bon niveau technologique. Et de parfaits outils.

La mine de Ngwenya ne fonctionne plus depuis belle lurette, tout le fer en a été extrait… il y a 40.000 ans !

 

Le crâne de Wyman

La science occidentale nous donne une image trop étriquée de notre histoire, en datant l’Homo sapiens sapiens  — l’homme actuel — d’à peine cent cinquante mille ans. Les traditions asiatiques situent notre origine beaucoup plus loin : dix millions d’années, ou plus encore. 

De nouvelles découvertes sur les dinosaures montrent que leurs os pourraient être plus récents qu’on pensait. À moins que ce ne soit notre origine qui doive être reculée de façon drastique, comme le soutiennent les Asiatiques depuis toujours. 

Où se situe la véritable origine de notre espèce ? L’homme serait-il beaucoup plus ancien qu’on le suppose en Occident ? C’est ce que croit le Dr Wyman.

La scène se passe en 1866 aux USA. Le propriétaire d’une mine dégage d’une couche de basalte un crâne humain complet, étudié par le Dr L. Wyman du Harvard College.

Âgé de 12 millions d’années, ce crâne est d’un type moderne, son authenticité ne fait aucun doute à cause de l’imbrication naturelle des gravats. Serait-ce le crâne d’Adam ?

Mais non, puisque d’après la Bible, Adam a été créé il y a seulement sept mille ans. Les créationnistes bibliques le soutiennent encore mordicus ! Et la science ne lui donne guère plus d’un million d’années (Ma).

Voyez ci-contre ce crâne humain identique au nôtre, trouvé lui aussi dans une mine à Freiberg en Allemagne. Il a été daté de 15 Ma. La thèse officielle évolutionniste prétend que l’homme a l’ancienneté donnée par la Bible … Chacun ses œillères.  

 

Bidonnage navrant

Mais il y a des traces de technologie avancée à des époques bien antérieures. Qui donc les a laissées ? Des dinosaures ? Des dieux ? Des aliens ? Ni la religion ni la science ne le savent. Pourtant des pétroglyphes et des pierres gravées, comme celles d’Ica au Pérou, montrent des scènes de vie quotidienne où les humains côtoie les dinosaures. Des humains nettement plus grands que nous…

Qu’est-ce qu’ils mangeaient comme soupe, nos lointains ancêtres? Sans rire, s’agirait-il d’une autre espèce que la nôtre ? Si toute la faune était plus grande, pourquoi pas l’homme ?

La science soutient que les pierres d’Ica sont des faux grossiers, fabriqués par leur découvreur. Au siècle dernier, la même science soutenait que les peintures rupestres d’Altamira étaient elles aussi un bidonnage navrant. À mon humble avis, le plus navrant, c’est le comportement de cette science-là.

 

ica-stone-dinosaures-asteroids-688poUne pierre d’Ica : ce bidonnage navrant a tout l’air authentique

 

 Haute-Antique trou de balle

Tissus d’âneries pontifiantes, écran de fumée, murailles de moqueries mandarines, le chercheur sans œillères ni parti-pris peine à se frayer passage. Pourtant, à chaque pas, il tombe sur des découvertes inexpliquées.

Des chercheurs russes auraient mis la main sur l’une de ces découvertes incroyables. Il s’agit d’un crâne de bison préhistorique qui aurait reçu l’impact d’une balle ou autre projectile tiré par une arme à feu. Petit problème : l’âge du crâne en question.

Le crâne de bison impacté par ce trou en plein front est exposé au Musée de Paléontologie à Moscou. On peut voir un trou parfaitement rond qui aurait été causé par l’impact d’un projectile lancé à grande vitesse.

Les balisticiens n’ont jamais retrouvé le projectile. Ils pensent pourtant que le trou dans le crâne a été causé par une balle de calibre similaire à ceux que nous utilisons aujourd’hui. Cet animal vivait dans la région de Yakuzia en Sibérie orientale il y a plus de 30.000 ans! 

 

L’homme de Rhodésie

Un autre de ces cas étranges est le « chasseur de Neandertal. » En 1921, le British Museum a reçu un crâne humain trouvé dans des circonstances curieuses. Dans une mine de zinc située en Zambie, qui s’appelait alors la Rhodésie du Nord, les travailleurs sont tombés sur une caverne mystérieuse.

Elle était remplie d’ossements humains, les mineurs ont pensé à un cimetière préhistorique. Les prélèvements étaient inexpérimentés, très peu d’ossements se sont retrouvés dans les mains des chercheurs, mais parmi ces os, ils ont identifié un crâne particulier, baptisé l’Homme de Broken Hill ou Homme de Rhodésie.

Ce crâne a d’abord été classé dans la catégorie Homo heidelbergensis, les chercheurs ont même douté qu’il s’agisse d’un hominidé en raison de sa taille. Après étude approfondie, les chercheurs ont classé l’Homme de Broken Hill dans la lignée africaine de Neandertal. L’Homme de Broken Hill vivait il y a plusieurs millions d’années, et il souffrait d’une maladie mentale.

 

Des deux côtés du crâne, deux trous parfaitement ronds

 

Mais sa plus étrange particularité est celle-ci : des deux côtés du crâne, deux trous parfaitement ronds ont été localisés, la plaie d’entrée et de sortie d’un projectile, de même diamètre de part et d’autre. C’est le grand mystère de l’Homme de Rhodésie : les experts n’ont aucune idée de ce qui pourrait avoir causé ces trous parfaits dans le crâne.

Selon le professeur Mair, il est possible que les blessures aient été causées par une sorte de balle. La possibilité de blessures par une lance a été rejetée, la blessure serait très différente. Comment est-il possible qu’il y ait des preuves de blessures par balles sur un être qui a vécu plusieurs millions d’années? La science n’en a aucune idée. Mais vous commencez à avoir la vôtre…

Douter de tout ou tout croire, deux solutions également commodes qui nous dispensent de réfléchir.

Henri Poincaré

 

L’origine de l’homme

 

Le grand bazar des dates

 

Publiée il y 11 ans, cette page a connu de nombreuses modifications au fil de mes découvertes

 

La religion est l’impuissance de l’esprit humain face à des événements qu’il ne peut pas comprendre.
Karl Marx