Temples de lumière

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Avec des blocs de pierre énormes, les Atlantes ont construit des temples de lumière. Ces vestiges d’une trop lointaine surhumanité ont été longtemps confondus avec des ruines antiques. Il est temps de changer de lunettes.

Avant l’antiquité déjà lointaine dans nos souvenirs scolaires, avant les Grecs et les Romains, avant l’Egypte, avant la Chine, avant Sumer, il y eut une longue, très longue prériode de barbarie. L’âge de bronze.

Entre les colonnes vivantes, l’initié attendait la foudre, la terreur du tonnerre, et les boules de feu blanc qui roulent. Homme il est entré, Dieu il en sortira.

A contempler ces murs cyclopéens, les blocs de pierre dure aux arêtes multiples évoquent les pièces d’un maxi-puzzle en 3D. A moins qu’ils ne soient les rouages d’une machine?

Rappelons que les blocs géants sont assemblés au millimètre, sans mortier, parfaitement ajustés. Et qu’ils s’emboîtent selon des formes biscornues comptant jusqu’à quinze arêtes, prouesse architecturale que nous serions bien en peine de réaliser aujourd’hui.

Se donne-t-on tant de mal sans raison ? 

Ces pierres avaient besoin d’un tel poids et d’un tel ajustage pour résister non seulement aux séismes de façon passive, mais aux multiples impacts de la foudre et de façon active… 

 

Petite pierre bien grande 

Image choc : la photo qui suit montre le détail d’un mur cyclopéen à Sacsayhuaman, Pérou. Il n’y a rien qui vous paraît bizarre ?

 

 

« Que dire de la petite pierre qui fait toute l’épaisseur du mur ? Nous l’avons vue, nous avons fait le tour d’une muraille de deux mètres d’épaisseur, et la petite pierre était là aussi. Avec cette minuscule section, elle mesurerait deux mètres de long ? Pourquoi l’architecte et le maçon ont-ils fait une chose pareille ? Encore une fois, les vraies finalités des bâtisseurs cyclopéens ne nous sont pas connues… » (source)S. Kervor, Correspondance inédite

 

La tenségrité

Il y a une vingtaine d’années, Castaneda a présenté des passes magiques de sorciers, qu’il appela tenségrité. Le mot vient de l’architecture, mélange de tension et d’intégrité.

C’est « la propriété des structures squelettiques mettant en jeu des éléments continus en tension et des éléments discontinus en compression de telle façon que chaque élément fonctionne avec le maximum d’efficacité et d’économie ». 

En architecture, c’est l’art et la manière de faire tenir des structures légères avec un minimum d’effort.

L’architecture moderne semble le découvrir, mais ce principe est bien connu des nomades, partisans des constructions légères, facilement démontables, qui tiennent en tension. Gustave Eiffel l’a utilisé aussi, sans en faire un fromage, pour construire sa tour.

Pour Castaneda, la tenségrité désigne un type de yoga magique, qui sert à « déplacer le point d’assemblage« , c’est à dire, pour faire simple, à entrer dans des mondes parallèlles. Euréka !! C’est ici que la lumière a surgi dans mon esprit.

Les mégalithes sont bien des machines, les murs cyclopéens sont une application de la tenségrité aux structures lourdes. La tension des câbles ou la torsion des tiges minces est remplacée par l’imposante pression des blocs cyclopéens.

Teotihuacan, Cuzco, Tiahuanaco et les autres sont autant d’exemples réussis de cette merveilleuse tenségrité lourde qui n’est pas sans rapport avec la gravitologie, science atlante aux applications multiples. Ces villes paratonnerres furent des centrales d’énergie fulgurale.

Puis elles sont devenues les laboratoires-refuges où furent mises au point les techniques qui devaient permettre aux hommes de redémarrer une civilisation après le déluge.

 

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Souvenons-nous que la galipette du déluge avait fait perdre aux Atlantes leur principale source d’énergie : la géo-électricité. La priorité était donc de trouver une énergie de remplacement.

Ils choisirent le feu du ciel, qu’ils utilisaient depuis longtemps à des fins d’éveil spirituel. Car les Atlantes étaient les maîtres de la foudre.

 

Polarité des pierres

Comment des pierres peuvent-elles attirer la foudre ? se demandera-t-on. On touche ici à une qualité minérale peu étudiée de nos jours, sinon totalement inconnue. C’est la polarité. Toutes les pierres possèdent à leur naissance une orientation qui s’engramme à jamais dans ses électrons.

Les pierres taillées, avant d’être prélevées dans la carrière, étaient orientée. Dans la masse rocheuse d’origine, la pierre a un nord, un sud un est et un ouest. Elle a aussi, plus important, un zénithvers le haut et un nadir.vers le bas

Les sensitifs savent reconnaître au toucher la polarité d’une pierre. Quand j’étais gamin, j’adorais regarder les paveurs à quatre pattes dans le sable qui, méthodiques et artistes, alignaient les pavés en vague ou en arc sur la chaussée de Paris.

Souvent Portugais,le Portugal a servi de refuge aux Templiers, qui connaissaient bien la polarité des pierres ces paveurs avaient un geste rituel : avant de poser le pavé sur son lit de sable blond, le paveur le faisait rouler une ou deux fois dans sa main, à hauteur de son ventre, avant de le poser d’un geste décidé à la place qui resterait la sienne. 

 

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J’ai mis longtemps à piger ce rituel. C’est pour trouver la polarité de la pierre. Le paveur se servait de l’intelligence du ventre, il « savait » alors où était la polarité positive, c’est à dire le zénith originel. Il posait cette face vers le haut, ce qui rendait la marche facile sur les pavés : ainsi polarisés ils portent les roues et les semelles. 

Le paveur ne savait pas au juste ce qu’il faisait, telle est l’intelligence du ventre. Il imitait son grand-père, qu’il avait vu faire. Et le grand-père imitait quelque aïeul. Ce genre de connaissance a toujours été transmise ainsi.

Dans les constructions cyclopéennes comme dans les cathédrales médiévales, les pierres sont en polarité alternée, une face positive contre une face négative, de façon à créer une circulation de micro-ondes.

L’attraction ainsi créée, renforcée par les polarités des innombrables faces et arêtes, était suffisante pour attirer la foudre sur des capteurs disposés avec art. 

Pour désamorcer l’ensemble de la centrale à foudre, il suffisait de briser le capteur, ou de l’abattre, ce qui a été fait partout. Aucune des grandes pyramides du Mexique, d’Egypte ou d’ailleurs n’a conservé son pyramidion

 

Il est plus facile de faire exploser un atome qu’un préjugé.

Albert Einstein

 

J’habite la demeure du possible. Elle a plus de portes et de fenêtres que la demeure de la raison.
Emily Dickinson