La Saga en sursis

 

Samedi dernier je vous ai fait part de mes graves inquiétudes quant à la survie de votre site préféré. Mon appel a été à moitié entendu : dès mon premier appel, 5 lecteurs ont versé chacun 100€.

La semaine reprend, le délai imparti à Eden Saga approche dangereusement de sa date limite; aussi je m’adresse à tous ceux qui peuvent faire le même geste de ne pas le remettre à plus tard, et d’agir aujourd’hui même.

Il y a va de la survie de ce site pour lequel j’ai encore près de 100 pages ébauchées et des dizaines de sujets qui n’ont pas encore été traités. La cohérence de votre saga se renforce de mois en mois. J’ai l’impression d’ajouter chaque semaine de nouvelles pièces d’un puzzle qui se constitue comme tous les puzzles en partant de la périphérie pour gagner le centre.

Dans les premières années de son existence, Eden Saga s’est constitué de façon anarchique, selon mes envies du moment. Un article va sortir prochainement qui retrace ces débuts, il s’intitule Astral Saga.

Mais sa parution sera soumise à vos dons, chers amis lecteurs et lectrices. Décidez-vous, le sort d’Eden Saga est entre vos mains. La générosité spontanée des premières donatrices et des cinq donateurs récents m’a mis du baume au cœur et m’a rendu ma confiance qui défaillait.

Il suffit à présent que cinq autres donatrices / donateurs fassent ce même geste d’amour et de confiance pour que la Saga d’Eden reparte sur un bon pied. Cinq donateurs donnant chacun 100€  permettront à ce site d’atteindre l’équilibre financier qu’il a perdu.

Alors, je vous en prie, ne prolongez pas un suspens inquiétant, rassurez-moi au plus vite et comblez l’attente de lecteurs moins fortunés qui comptent sur les articles à venir pour comprendre d’où ils viennent, qui ils sont et où ils vont.

En leur nom et au mien je vous adresse d’avance un grand merci. Vous pouvez sauver Eden Saga et je sais que vous ne vous en priverez pas. Et n’en priverez pas celles et ceux qui comptent sur vous.

 

 

Si tu laisses quelqu’un prendre en main ton destin c’est la fin.
Jean-Louis Aubert et Louis Bertignac