Les années Patate
Ceci est une page très spéciale. Méditez les tout derniers mots. Et cherchez bien…
Ceci est une page très spéciale. Méditez les tout derniers mots. Et cherchez bien…
Les années sans Patate ont filé dans l’égout. Je ne sais plus rien d’elles.
Le Vieux Patate a traversé les mondes, puis la lumière blanche l’a transformé
D’où qu’on hume, ça sent le rance. Quelque chose est pourri dans mon royaume de France.
Pourquoi éprouvé-je le besoin de ressasser sans cesse les excès passés du saint désossé ?
Il a quitté la ville, il a quitté ce monde sans laisser d’adresse – il n’en a jamais eu.
Tout ce que tu as raconté sur moi est faux, honteux et très lourd. J’hallucine.
Chaud Patate, oui-da, chaud comme la braise qu’il écrivait Breizh, le gueux béni.
Qui se soucie de la Règle ? Le guerrier impeccable. Mais qui se soucie du guerrier ?
Tends le bras, crache à terre, croix de bois, croix de fer, si je mens je vais en enfer…
Le voilà soudain qui revient, plus seul qu’un chien, Vieux Patate alias Kashtabalda
Sur les chemins poudreux chantait Ficelle, inventant ses refrains avec son quotidien