Carlos Castaneda
Dans les années 70, pour toute une génération, Castaneda ouvre les portes de l’ailleurs
Dans les années 70, pour toute une génération, Castaneda ouvre les portes de l’ailleurs
Un journal peu courant, une réalité non ordinaire, un esprit hors normes, et tellement plus encore…
Tailler la route dans l’infini dès que j’ai le feu vert de l’Aigle ? En attendant, je reste avec vous…
Chance n’est pas hasard. La chance est réelle, le hasard n’existe pas. Tout ce qui arrive est voulu.
Le guerrier dont il est question ici ne se bat qu’avec lui-même.
Tel Platon pour Socrate, Castaneda fait parler son maître Juan Matus. Et moi je fais parler Flornoy…
Avant de voir l’énergie, le guerrier doit arrêter le monde, dit Castaneda
Comment faire pour déplacer ton point d’assemblage à volonté ? Plusieurs méthodes sont possibles.
Les dieux sont des hommes comme les autres, le guerrier cherche en lui le Surhomme
Pour le guerrier du nagual, il y a deux réalités : l’ordinaire et l’autre, plus réelle que la première.
L’enseignement d’un nagual n’est pas compréhensible. Il ne s’adresse pas à la jugeotte, il la snobbe.
Pour Castaneda, le nagual est un autre monde et aussi un homme doué de pouvoirs.