La lutte pour la survie

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Contrairement à ce qu’on croit, la théorie de l’évolution n’a pas été inventée par Charles Darwin mais par le Français Jean-Baptiste Lamarck. Pour appuyer ce qui n’était qu’une hypothèse, Darwin a inventé un concept gratuit, la sélection naturelle et son corollaire, « struggle for life », la lutte pour la survie. Ce qui lève de nombreuses objections.

En voici déjà six.

 

Première objection : L’homme bestial

Nous avons déjà vu comment ce concept fait le lit du capitalisme et des dictatures. C’était peut-être le point de vue des dieux d’avant, mais il ne peut pas être le nôtre. L’être humain n’est pas un fauve qui se bat des griffes et des dents pour défendre son territoire.

Et plus certain encore, il ne l’a jamais été. L’origine simiesque de l’être humain est pure hypothèse, que la vision intérieure balaye rapidement.
Quand une certaine science – en est-ce une? – se mêle de philosophie, le nazisme n’est jamais bien loin.

 

Deuxième objection : Tout se dégrade

La conception strictement matérialiste de l’être humain, qui est celle de la science actuelle, accueille plutôt bien le darwinisme et la théorie de l’évolution. Cette science oublie tout simplement la troisième loi de la thermodynamique qui est très claire : « Tout se détériore. » Pourquoi la vie organique devrait-elle échapper à ce principe de la dégradation universelle ? Il n’y a pas d’évolution, mais plutôt une involution, un déclin généralisé. Ce qui pourrait expliquer pourquoi la pensée de Darwin est si déclinante…

 

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Comme de nombreux scientifiques contemporains, le biologiste allemand Hans-Joachim Zillmer a profité de la récente célébration du centenaire de Darwin pour le rouler dans la farine. Désagréable, mais moins que le goudron et les plumes que le néo- darwiniens méritent cent fois. Le dogme de l’évolution darwinienne tremble sur ses bases, qui sont fragiles. D’autant que pour Zillmer, chaque point de cette théorie est réfutable, ce à quoi il s’emploie.

 

Troisième objection : l’âge des dinosaures

Les animaux les plus vieux se trouvent logiquement dans les couches géologiques les plus profondes. Or, d’après les darwiniens, les dinosaures ont disparus voilà 64 millions d’années. Pourtant  Zillmer énumère de nombreux cas qui laissent à penser le contraire. Ce qui ruine l’édifice patiemment bricolé par les darwiniens…

 

Quatrième objection : la mauvaise foi

« Après 64 millions d’années, chaque type de vestiges de l’époque des dinosaures, que ce soit le squelette ou la trace de pied, devrait être profondément caché dans le sol terrestre ! Les explications comme les glissements de terrain, les influences dues aux tremblements de terre, les failles des strates géologiques ou le bouleversement des plaques de la croûte terrestre, pour les découvertes qui sont faites au grand jour, ne peuvent satisfaire qu’un observateur non concerné. »

 

Cinquième objection : l’étonnante conservation

Il n’hésite pas à fournir plusieurs exemples qui demandent réflexion : « Des archéologues ont trouvé en Mongolie un grand squelette de saurien, la plus grande pièce jamais découverte en Asie. Le dinosaure long de 21 mètres et haut de 7 mètres devait peser dans les 100 tonnes. Il a été découvert à l’ouest de la steppe de Xi-lin-Gol, une région appelée le « cimetière des dinos »  car on y a trouvé plusieurs squelettes et œufs pétrifiés de dinosaures.

Ainsi, après 64 millions d’années, on trouverait si simplement un squelette dans la steppe ? 64 millions d’années de tempêtes, avec des vents souvent violents, de formation de glaciers qui ont fondu, de crues sauvages, de tremblements de terre et autres cataclysmes ? De telles découvertes tiennent davantage du miracle que de la science. Pourtant, d’autres communiqués de presse témoignent de découvertes similaires dans le monde entier. Au Brésil, une femme qui promenait son chien tomba sur un squelette de dinosaure entier, parfaitement intact !

 

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Tout ceci est exact, absolument, même si la science le nie ou l’ignore. Ce bas-relief vient du temple hindou-bouddhiste de Ta Prohm, près d’Angkor, au Cambodge. Datation : 14e siècle de notre ère. Comment le sculpteur a-t-il fait pour représenter un parfait stégosaure ? Réponse : il en avait un sous les yeux. En chair et en os, ou en reproduction. Dans un cas comme dans l’autre, c’est la preuve que l’homme a connu le stégosaure, jusqu’au 14e siècle en tout cas !!  Tous les dinos n’étaient pas morts à cette époque.

 

Sixième objection : la pêche miraculeuse

Des pêcheurs de Sumatra, ayant pris un squelette dans leur filet, craignaient que ce ne soit les restes d’un dragon ! Les scientifiques identifièrent un dinosaure lacustre. Ainsi donc, on peut attraper un squelette parfaitement conservé de dinosaure, une espèce disparue depuis 64 millions d’années, avec un simple filet de pêche ? Ces vieux ossements ne devraient-ils pas être depuis longtemps laminés, putréfiés, couverts de coraux ou réduits en poussière par les meules du temps(source)Hans-Joachim Zillmer, L’erreur de Darwin

Zillmer 6, Darwin 0.

 

Les amis de la vérité sont ceux qui la cherchent et non ceux qui se vantent de l’avoir trouvée.

Nicolas de Condorcet

 

Tout homme est, d’ancienneté, une grosse pierre.
Proverbe Yorouba