Chemtrails : la NASA démasquée

 

L’affaire des chemtrails rebondit !! La NASA annonce qu’elle pourrait vaporiser des gaz en haute atmosphère pour des raisons écologiques. Si elle sait faire ça, comment l’a-t-elle appris ? Elle reconnaît implicitement avoir organisé des vaporisations atmosphériques, les fameux chemtrails, via les avions des grandes compagnies aériennes.  (source)

 

Comment ça marche ?

De l’anglais chemical trails, traînées chimiques, les chemtrails  (prononcer kemtrelz) sont des produits chimiques répandus illégalement par des avions et qui persistent et s’étendent dans le ciel pendant plusieurs heures, par opposition aux contrails, de l’anglais condensation trails, traînées de condensation provoquées par le gel de la vapeur d’eau, générées (rarement) par des avions normaux et qui disparaissent en quelques secondes ou dizaines de secondes. Un internaute, Thierry Huppertz, m’a expliqué ceci : « Il y a un moyen de reconnaitre les chemtrails Un contrail, donc une trace normale de condensation, ne sait pas se former directement à la sortie de la turbine, car les gaz y sont trop chauds pour condenser. Aussi bien ne peuvent ils pas se former à basse altitude. Une fumée qui sort directement derrière l’aile est donc un chemtrail … ou alors l’avion est en feu. »   Sur cette video, on voit bien que les chemtrails ne viennent pas des réacteurs.
 
Il s’agirait d’un projet secret des gouvernements des pays industrialisés financé illégalement avec vos impôts et consistant à épandre des produits chimiques en général à haute et moyenne altitude à l’aide d’avions vraisemblablement en majorité militaires pour une raison cachée du public. Ces opérations ont été pensées, étudiées, discutées, comparées, chiffrées, planifiées depuis plus de 40 ans.
 
 
 

Depuis 1965 

Daté de 1965, voici l’extrait d’un rapport adressé au président des États-Unis Lyndon B. Johnson : « Un changement de l’équilibre radiatif dans la direction opposée à celle qui pourrait résulter de l’augmentation du CO² atmosphérique pourrait être produit en augmentant l’albedo, ou réflectivité, de la terre. Un tel changement d’albedo pourrait être provoqué par exemple en répandant de très petites particules réfléchissantes au-dessus de larges zones océaniques. Un changement de 1% de la réflectivité pourrait être obtenu pour environ 500 millions de dollars par an. »  Les deux principales institutions impliquées dans ces opérations sont le Lawrence Livermore National Laboratory et Stanford University, tous deux situés en Californie, USA.  (source). Ça fait donc un moment que c’est dans l’air, si j’ose dire.
 
Selon la théorie, dans l’indifférence générale, les gouvernements déverseraient des produits chimiques au-dessus de nos têtes pour un contrôle du climat, de l’économie ou des populations. Les chemtrails seraient apparus en 1996 aux États-Unis, alors que l’US Air Force cherchait à maîtriser la météo pour contrôler les airs. L’idée était de mettre au point des armes climatiques pour d’éventuelles guerres environnementales. Ces recherches ont véritablement été menées et s’inscrivent dans les travaux scientifiques de géo-ingénierie.
 
Selon les partisans, les militaires ont commencé à répandre dans l’atmosphère des produits chimiques, visibles à l’œil nu, car plus persistants dans le ciel que les traînées de condensation. On y trouverait plusieurs métaux lourds (aluminium, baryum et titane), des polymères microscopiques et des métaux alcalino-terreux, c’est-à-dire des particules néfastes pour l’environnement et la santé de ceux qui les inhalent pouvant entraîner problèmes respiratoires et maladies plus graves.
 
Dans quel but? Pour la plus grande prospérité des labos pharmaceutiques. La bonne santé n’enrichit pas les médecins ni les pharmaciens. Qui aimeraient bien faire interdire les guérisseurs…
 

Entretenir l’ignorance

L’ignorance de la population est entretenue par le fait que les gens ne sont pas curieux, ils croient ce qu’on leur dit sans vérifier par eux-mêmes. À part quelques poètes et autres amoureux, personne ne regarde le ciel. Il ne s’y passe théoriquement rien et quand il fait soleil, moment où sont généralement effectués les épandages, regarder le ciel fait mal aux yeux. 
 
Et puis l’ignorance est confortée par le fait que les chemtrails sont blancs, couleur symbole de la propreté, de la pureté et de l’innocence. Imaginez le scandale si le ciel était sillonné de traînées vertes, rouges… comme celles-ci ?
 
 
 
Enfin, l’ignorance et l’indifférence de la population a été savamment renforcée par la campagne mondiale de désinformation, de tromperie et de lavage de cerveau organisée par les gouvernements qui n’a rien à envier aux pires dictatures, l’URSS de Kroutchev ou la Russie de Poutine. Ils utilisent tous les médias possibles pour montrer des images de chemtrails. Le but étant de vous incruster dans le cerveau que la présence de traînées dans le ciel est quelque chose de normal, d’habituel et que c’est assez joli, au fond.
 
Il y a même eu un programme de recherches amateur monté par un chercheur hostile à la réalité des chemtrails. Il s’appelle Ken Caldeira, chercheur au département écologie de l’institution Carnegie pour la science (États-Unis). Non approuvé par la recherche, totalement officieux, ce programme de recherche privé offre-t-il les garanties scientifiques requises ? Il a eu besoin d’un financement. Qui a payé ? Ken Caldeira, sur ses fonds propres ?
 
Tout seul comme un grand, Ken Caldeira a quand même réussi à rassembler 77 chercheurs. On imagine qu’il a eu soin de choisir ceux qui étaient déjà favorables à ses idées. Bien sûr, après études, ils ont conclu… que les résultats n’étaient pas concluants ! Ils ont tous fourni cette conclusion surréaliste : les chemtrails ne peuvent pas être prouvés.
 
Tous, sauf un, qui a déclaré avoir « mesuré de fortes teneur en baryum dans l’atmosphère, dans des régions reculées, alors que les niveaux de baryum dans le sol étaient faibles« . (source)  Un chercheur honnête sur 77, c’est déjà ça… Notons que le baryum est utilisé pour le piégeage des gaz résiduels. Pourquoi pas pour piéger le CO2 ? Tant pis si ça esquinte les poumons. Tant qu’on ne le sait pas, on n’accuse personne.
 
Je ne peux évidemment citer tous les articles et toutes les émissions tv ou radio qui crient avec les loups étasuniens. Il suffit que je vous donne le lien de l’article que Wikipédia a consacré à ce phénomène pourtant indiscutable : cliquez ici.
 
Cette encyclopédie a décidé une fois pour toutes de ne parler des théories alternatives que pour les traîner dans la boue, et d’ignorer systématiquement les lanceurs d’alerte, en les ridiculisant le plus possible.
 
Je trouve particulièrement honteux d’utiliser l’image positive que cette institution véhicule parmi la population pour soutenir des calembredaines et des menteries qui ne donnent pas une belle image de la science ni de la recherche et qui bafouent l’avancée des connaissances. Honte à elle, honte à eux. Qu’ils soient transformés en Schtroumpfs à lunettes et qu’on les accueillent sous une allée de saucisses en chantant l’Internationale charcutière.
 
Malheureusement, on ne peut pas se passer de Wikipédia, toute bancale qu’elle soit. Il faut donc garder présent à l’esprit que dans bien des domaines, Wikipédia est une boussole qui indique le plein sud. Quand on en tient compte, Wikipédia reste utile, même dans ses mensonges. Il suffit une fois pour toutes de prendre le contre-pied.
 
 

 

Case Orange

Case Orange  (source) est le nom d’un rapport scientifique, élaboré par une équipe ‘d’experts‘ (internes), qui ont estimé qu’il est temps de dévoiler au public les faits réels concernant ces traînées de condensation des avions que l’on nomme ‘chemtrails’. L’identité des auteurs n’est pas dévoilée, mais toutes les données peuvent être contrôlées via les renvois en bas de page et toutes les affirmations sont étayées par des annexes détaillées.

Ce rapport prouve essentiellement et sans démenti possible que des épandages sont réellement effectués partout dans le monde, depuis de nombreuses années et mis en action par les États-Unis. Case Orange a été présenté au Symposium International de Gand, organisé par le Belfort Group, le 29 mai 2010. L’on peut écouter les orateurs sur le web, en cherchant bien. Le document comprend un texte de base de 70 pages et de 230 pages d’annexes.

Contrairement aux programmes dits scientifiques visant à nier ou à ridiculiser la théorie des chemtrails, Case Orange doit cacher l’identité des scientifiques qui y ont participé, afin de préserver leurs carrières, voire leur santé, voire leur vie, voire celles de leurs enfants, mais, relations, etc. Ces tueurs de monde ne font pas dans le détail et moi-même je ne me sens pas très bien.

Ils sont tout de même gonflés! On a affaire à des lanceurs d’alerte, et pas à des criminels! Ni à des farfelus en quête de buzz : la preuve, ils resteront anonymes, tandis que l’écrasante conclusion de leurs travaux s’étale le long de 300 pages très documentées. J’avais mis des liens pour tout ça, j’ai dû les sucrer, ils indiquaient erreur 404.

Quand, je vous le demande, quand donc les loups étasuniens vont-ils arrêter de se payer nos gueules ? Le jour où nous cesserons d’être des moutons crédules? Ce n’est pas demain la veille. 

Qu’ils les authentifient ou qu’ils les maquillent, qu’ils les planquent et bousillent les liens hypertextes, cette étude et tous ces documents apportent la preuve indiscutable de la réalité des chemtrails, ces saloperies chimiques que je dénonce depuis dix ans, dix longues années durant lesquelles la NASA a nié sans vergogne, tandis que la presse aux ordres de la pensée dominante traitaient mes camarades de lutte et moi-même de ringards sectaires obsédés du complot.

 

 

Obsédés !? Mais enfin, la terre entière voit ces traînées de gaz qui peuvent couvrir tout le ciel visible, se déployant pendant des heures sur des surfaces énormes, et tout le monde devrait trouver ça normal?

Les chemtrails existent, ça crève les yeux, en attendant de nous crever les poumons. Le complot devient plus visible chaque jour, et plus on cherche à le cacher, plus on le voit. Qui peut croire que ces manigances obscures se trament pour le bien commun ? Il importe plus que jamais de tenir le cap, douter de tout, ne rien tenir pour admis sans l’avoir mis à l’épreuve du test, refuser tout ce qui appartient aux requins de l’ancien monde, à commencer par la bouffe industrielle.

Ouvrir l’œil, voir les fées, dérouiller les profiteurs de guerre,nous sommes en guerre et avant tout, mettre hors-la-loi celle du plus fort. Qui est toujours la pire! Je rêve d’un monde sans foi ni loi… Sans quoi cent fois s’emploient ces incessants ces sempiternels ces cassants casseurs de cœur, de c et de c.

Et vous tous qui ne me lisez pas, vous les cons, vous les mous, vous les moutons, arrêter de croire les salopards quand ils traitent les lanceurs d’alerte comme de dangereux criminels! Bon, comme vous ne me lirez jamais, vous allez continuer vos conneries, c’est sûr. Et si par hasard l’un de vous ou deux de vous ou trois de vous me lisaient, ils ricaneraient en se disant: regarde-moi ces cons qui racontent des conneries!!

Complotistes, on y est bien forcé. On ne le serait pas s’il n’y avait pas de complots à dénoncer. Mais il y en a dix, cent, mille de plus tous les jours. Pollutions, dégazages, nourritures avariées, vaccins dangereux et inutiles, tout pour le profit max au mépris des lois, du droit des gens, du bien-être des vivants et de la survie des enfants de nos enfants.

Heureusement que je regarde vers la lumière, qui se laisse entrevoir quelquefois entre deux chemtrails.

 

 

La seule différence entre un fou et moi, c’est que le fou ne sait pas qu’il est fou.
Lao Surlam