« De Carthage à l’Irak via le Vietnam,
on détruit la nature pour anéantir l’ennemi.
Et s’anéantir soi-même. »
« Cette déclaration du général Fabio Mini est le préambule d’un long article intitulé « La guerre environnementale globale a déjà commencé ». (source) Rappelons que la guerre environnementale, définie comme « la modification intentionnelle d’un système écologique naturel dans le but de causer des destructions », est interdite par les lois internationales depuis 1977, date de l’approbation par les Nations Unies de la Convention contre les modifications climatiques (ENMOD).
« Cette même année, le président américain Carter dévoilait les détails d’un projet ultra secret du Pentagone dont le nom de code était Noah’s Ark (l’arche de Noé), un réseau de bunkers sur terre et dans l’espace destiné à recevoir des hauts fonctionnaires-clés en cas de guerre nucléaire. Mais nul besoin d’être un exégète biblique pour savoir que ce nom concerne une guerre météorologique et non pas atomique.
« Dès 1905, le génial inventeur Tesla avait traité de façon pratique de la maîtrise du climat par l’électricité; ses brevets qui permettent de transmettre des quantités illimitées d’énergie électrique n’importe où sur terre ont servi à des fins hégémoniques pour produire des phénomènes météorologiques dirigés. Le système repose sur des champs TBF (très basse fréquence) à haute tension dans l’ionosphère, sur l’échauffement de la calotte glaciaire et sur la production sélective de la foudre à n’importe quel endroit de la planète…
« Dès 1977, les super puissances ont la maîtrise du fameux rayon de la mort, le canon à plasma… La manipulation du climat par les épandages aériens (chemtrails) de nanoparticules d’aluminium et de baryum (ce dernier permet par ses propriétés de conductivité électromagnétique de transporter le spectre basse fréquence sur une onde porteuse de haute fréquence) est devenue une question de sécurité nationale. Le concept de terrorisme environnemental d’état était déjà dans l’air…
« Les effets, parfois dévastateurs, semblent naturels. Contrôler le climat implique de contrôler l’information sur le climat. En ce sens, la manipulation du climat est synonyme de climat de manipulation: aux Etats-Unis, toute une propagande a été mise en œuvre pour faire croire que le réchauffement global est dû au CO2, susceptible d’être taxé. Les nouveaux nuages ont fait l’objet d’une nouvelle nomenclature.
« Si, à l’instar de Tesla, l’on considère la planète comme une sphère de fluide électrique, on peut comprendre comment un circuit résonnant utilisant la Terre comme conducteur peut générer de très hautes tensions aux antipodes d’un émetteur quelconque. Par exemple, les Etats Unis qui financent un puissant émetteur TBF en Australie (Pine Gap) contrôlent de fait la zone qui se trouve à l’antipode de la station d’émission, en l’occurrence, le Triangle des Bermudes, théâtre de phénomènes étranges.
« Pour la France, les deux tempêtes de 1999 pourraient être une mesure de rétorsion climatique suite à l’opposition française aux OGM et au Traité de l’AMI. Une guerre de moins en moins secrète… pour qui ouvre les yeux. » (source)Irène
Ouvrir les yeux, s’éveiller, réagir, se lever, je ne connais rien d’autre. Ce texte n’est pas de moi, mais j’y souscris pleinement, même si certains peuvent lui reprocher sa couleur complotiste. Pas de complot là-dedans, juste l’énoncé de faits avérés; que chacun peut vérifier. Ce n’est pas nouveau, on se souvient du sort des Amérindiens.
« Le destin des Indiens d’Amérique annonçait celui de l’ensemble des habitants de la planète qui assistent impuissants à la destruction de leur environnement, après la confiscation de leur espace et de leurs ressources. Le message des Indiens est aussi une source de sagesse, fondée sur le respect de la nature et la compréhension de l’Esprit qui est en toute chose » (source)
Quant à la solution proposée, ouvrir les yeux, c’est la seule viable. Il n’y a rien de plus utile, rien de plus efficace que l’éveil, à condition de s’y mettre en vrai et d’y arriver vite. Clairvoyance. Guérison. Amour. Et debout, tous ensemble, changer ce monde, ou plutôt les immondes qui le souillent.
Notre nombre nous incite à bouger. Si nous bougeons, le monde change. Si le monde change, nos enfants ne seront pas des machines muettes, ni des esclaves de la world consommation. Ils pourront marcher, tout doucement, vers un puits dans le désert. Vers l’oasis de verdure que leurs mains et leur volonté auront fait pousser.
La guerre climatique va nous apporter de nouveaux impôts, puisque ce système ne vit qu’ainsi. Le plus dur à vivre, dans ce siècle d’intolérance et de repli sur soi, ne seront pas les impôts ou la pollution accrus, mais les vagues de réfugiés climatiques, des millions de sans-logis, sans-ressource, sans-avenir qu’il faudra accueillir avec coeur, sans rouscailler, en se disant que nous avons trop pour tout garder pour nous.
Je vous le dis, nous n’aurons pas d’autre choix. Voilà pourquoi il devient si pressant de s’éveiller, d’ouvrir les yeux et le coeur. Mais d’abord les yeux. Unis sur terre.