L’affaire du Smithsonian

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Il y a eu beaucoup de découvertes de squelettes ou d’ossements de géants au cours de deux derniers siècles. J’en ai énuméré un certain nombre, la liste est loin d’être exhaustive. Or ces innombrables découvertes se traduisent aujourd’hui par une quasi absence de preuves ou de traces tangibles. Le doute n’est plus permis : de nombreuses destructions ont eu lieu au fil des ans.

Et ces destructions ne sont pas le fait de jeunes barbares, de nazillons ignorants ou d’islamistes proches de la bête fauve. Elles ont été effectuées par des scientifiques, et, tenez-vous bien, au nom de la science !!! Quelle est cette science qui détruit les preuves de ses erreurs et de son ignorance ? Quelle est science qui préfère ses délires à la réalité ?

 

Pas de fumée sans feu

Le fait le plus choquant est cet aveu de la prestigieuse Smithsonian Institution : « oui, l’Institut a détruit des milliers de squelettes de géants dans les années 1900 » !!! Ce n’est pas la seule destruction  de preuves effectuée au nom de cette science qui a pour devise : « Tout ce qu’on ne comprend pas, mieux vaut s’en débarrasser. »

Une décision récente de la Cour suprême des États-Unis a forcé la Smithsonian Institution à publier les documents des années 1900 qui prouvent que l’Institution a organisé une destruction de preuves d’une ampleur historique: des dizaines de milliers d’ossements humains géants, découverts partout en Amérique, ont été détruits par les administrateurs de haut niveau pour protéger le grand public et assurer la chronologie alors admise de l’évolution humaine. Notons que cette chronologie bidon n’est toujours pas abandonnée… (source) 

 

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Bien sûr, la Smithsonian Institution a démenti.  Cette fausse info émanait d’un site de bidonnages. Pensez donc, la Smithsonian !! La plus prestigieuse institution du secteur qui se serait livré sans vergogne à des actes iconoclastes totalement antiscientifiques !! Quel désaveu pour eux, quel soutien pour leurs adversaires !!  C’était trop beau à force d’être immonde. L’affaire de la Smithsonian a été inventée par une célèbre usine à conneries, world news daily report, qui fait un douteux travail d’intox, de confusion et de n’importe quoi.

Bon, il y aura toujours des petits malins pour répandre ce genre de blagues. Chacun ses délires.  

 

Les géants du Wisconsin

Toutefois, ça m’a paru si vraisemblable que j’ai commencé par tomber dans le panneau… Ce qui était le but du gag. Mais était-ce un gag ? La Smithsonian Institution n’a rien avoué, ça c’est sûr. Elle a quand même dû  détruire ces squelettes aussi gigantesques qu’embarrassants. L’archéologie dominante  persiste à étouffer les découvertes de premier plan dans ce domaine.

Encore la Smithsonian, cette fois pour une info vérifiée. « Les scientifiques de la Smithsonian Institution gardent obstinément le silence sur une race perdue de géants trouvés dans un tumulus près du lac Delavan, au Wisconsin, en mai 1912. Le site de fouilles du lac Delavan a été supervisé par Beloit College. Il comprenait plus de 200 monticules qui se sont avérées de classiques exemples de la Woodland Culture au 8ème siècle. Mais la taille énorme des squelettes et des crânes allongés trouvés en mai 1912 ne rentrent pas du tout dans la norme officielle des manuels scolaires. Proprement gigantesques, ces ossements ne pouvaient appartenir à la race humaine standard.

 

 

 

Crânes étranges

D’abord rapporté dans le numéro du 4 mai 1912 du New York Times, les 18 squelettes trouvés par les frères Peterson sur Farm Lake Lawn au sud-ouest du Wisconsin présentaient plusieurs caractéristiques étranges et fantastiques. Leur hauteur varie entre 2,30 et 3 mètres. Quant à leurs crânes « Probablement masculins, ils sont beaucoup plus grands que ceux de toutes les races qui habitent l’Amérique d’aujourd’hui. » Ils ont une double rangée de dents, six doigts, six orteils, et comme les humains ils appartiennent à plusieurs races. A l’avant de la mâchoire, ils ont des molaires. » 

 

gargantua-pantagruel-200poEt au milieu de cet aride exposé qui se veut sérieux, on a la joie de tomber sur cette perle d’une très belle eau : « Leur crâne est de forme allongée, en raison sans doute d’une plus grande durée de vie. » Comme si la girafe avait un long cou parce qu’elle vit longtemps !! L’énigme des crânes oblongs nous vaut des hypothèses d’une naïveté poilante. Mais reprenons la citation. « On se demande quel poids ils pouvaient soulever avec une taille double de la nôtre ? Sont-ce là les Géants que la Bible et beaucoup d’autres civilisations ont évoqués et peints sur les murs? » (source)http://earthweareone.com/the-great-smithsonian-cover-up-18-giant-skeletons-discovered-in-wisconsin/

 

Les géants de Pennsylvanie

Aujourd’hui, la Smithsonian dit ne détenir aucun squelette de géant, mais à la fin du 19ème et début du 20ème siècle, de nombreux rapports attestent que la Smithsonian a fait des fouilles en Amérique et découvert des squelettes de géants. L’affaire qui suit s’est déroulée à Monongahela City, Pennsylvanie, Etats-Unis. Extraits d’un rapport du Bureau de la Smithsonian Institution d’ethnologie 1898-1899 : « Sur la terrasse supérieure, dans les limites administratives de la ville de Monongahela, sont situés le jardin et une serre de M. E. Crall. Deux ravins sur les côtés est et ouest ouvrent directement vers le sud dans Pigeon Creek, et leur érosion a creusé le sol jusqu’à ce qu’il soit entouré par des terres plus élevées de tous les côtés, sauf le long de la falaise à côté de la crique. L’autre côté du ruisseau étant délimitée par une haute colline, le col regardant la rivière, ainsi l’appareil est entouré de tous côtés par des collines à portée de main, allant de 120 à 750 mètres au-dessus de son niveau.

 

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En creusant les fondations d’un mur, M. Crall a mis au jour plusieurs squelettes de grande taille. Le sol était jonché de coquilles de moules, d’éclats de silex, etc. Sur la face orientale de cette digue, près du ravin près d’une source, se dresse le plus grand tumulus, celui des roches de McKee, mesurant neuf pieds de hauteur par 60 pieds de diamètre. Au centre, un trou d’un mètre dans la partie supérieure et 60 cm dans le sol d’origine. On y a trouvé des fragments d’os humains trop mous pour être conservé. Ils appartenaient à un adulte de grande taille. L’argile grise tapissait l’intérieur du trou. Au-dessus de l’argile et reposant sur elle, on a trouvé les fragments d’un autre grand squelette, avec un tube d’argile crue ».

 

La vie est un hasard contraire aux destinées.
Serge Gainsbourg