De bon cœur




Bonjour à tous. Je dois encore une fois solliciter votre générosité. Dettes, factures, la spirale infernale a gagné en intensité. J’ai vraiment grand besoin de votre solidarité. Un premier appel fin juillet n’a pas eu les résultats escomptés. Il faut donc déjà le remettre en ligne. Faites un geste. Agissez dès maintenant. Je me noie.

 

J’ai mis en place un vœu pour toi. L’argent que tu vas me donner te sera rendu par le vivant. Chaque euro aura sa contrepartie en vile monnaie, mais aussi en dons précieux venus des cieux. Ne crains rien pour l’avenir qui n’existe pas. Jouis dès aujourd’hui de l’éternel présent. Ton âme habite l’instant. Trouve l’éternité dans la vie quotidienne. Merci de faire cet effort, bientôt c’est moi que tu remercieras.

 

Une vie consacrée à creuser toujours plus profond dans notre passé oublié. À comparer les sources mythologiques, à chercher des nouvelles voies d’éveil, à parcourir le monde sac sur le dos et joie dans le cœur. Que de rencontres, que d’initiations, que d’heures passées avec des sages, ici ou là, qui m’ont fait l’amitié de leurs confidences !

Un vieux qui meurt, dit-on, c’est une bibliothèque qui disparaît. Je ne suis pas pressé de vous quitter. Beaucoup d’entre vous sont devenus mes amis. Leur fidélité et leur engagement ne se sont jamais démentis. Je crois qu’ils seront encore au rendez-vous cette fois-ci.

Les chercheurs bénévoles de mon genre ne reçoivent aucune aide. On nous prend pour des guignols. Mais on n’oublie pas de nous rançonner comme si on faisait commerce de nos découvertes.

Elles sont gratuites, le fruit de mes recherches l’est aussi, les pdf également, tout est gratuit sur Eden Saga.

 

Ce site n’est pas commerçant et je souhaite de toutes mes forces que ça puisse continuer ainsi. Aidez-moi à poursuivre cette œuvre avec le travail que je puis accomplir et que je sais utile, vos mails me l’assurent. Vous qui m’écrivez souvent, joignez l’acte à la parole. Vous qui n’osez pas m’écrire, sachez que je réponds à tous les mails, personnellement.

N’oubliez pas que votre aide, si petite soit-elle, m’est indispensable. Sans vous je ne peux rien.

 

 

C’est peut-être le coeur qui s’ouvre, baby groove.
Michel Jonasz