Les Portulans sont d’antiques cartes marines recopiées de nombreuses fois. On y trouve de bien curieuses indications : à côté des côtes et des îles bien réelles, ces cartes antiques montrent des îles et des côtes disparues, ou dissimulées par les glaces depuis des dizaines de milliers d’années.
Outre les précieuses indications qu’ils nous donnent, ces fameux portulans apportent aussi l’évidence de l’existence d’une civilisation maritime assez développée pour produire des cartes précises à une époque où l’homo sapiens était censé casser des cailloux en poussant des cris d’orfraie. A eux seuls, ils apportent la preuve que les historiens se moquent de nous, de leur science et de la vérité. Décidément notre histoire est trop grande pour les cerveaux étriqués des spécialistes. Parmi ces précieux témoignages, les cartes de l’amiral turc Piri Reis représentent sans doute le legs le plus précieux.
« Piri Ibn Haji Mehmed dit Piri Reis était un grand amiral (« reis » en turc) de la flotte ottomane au 16e siècle, né à Karaman. Neveu du célèbre pirate Kemal Reis dit Camali, il est surtout connu pour son œuvre de cartographe. Lettré, il se passionnait pour les cartes et les collectionnait. » (source)Wikipédia
La carte de Piri Reis n’est que le fragment d’une carte plus grande représentant le monde connu à l’époque où elle a été réalisée, et dont le reste est aujourd’hui perdu. L’amiral turc dit s’être inspiré d’une vingtaine d’autres cartes, allant de cartes antiques grecques à celles alors très récentes établies par le pilote de Christophe Colomb, capturé en Méditerranée par l’oncle de Piri Reis, ou encore à celles établies par d’autres navigateurs portugais. Il s’agit d’une carte très complète pour l’époque. L’une des caractéristiques de cette carte est la figuration détaillée d’une côte connectée à la zone australe de l’Amérique du Sud, dont certains disent qu’elle ressemble à la côte de l’Antarctique, continent qui n’a été découvert officiellement qu’en 1818.
L’hypothèse est soutenue notamment par Charles Hapgood, professeur américain d’histoire des sciences, dans son livre Cartes des Anciens Rois des Mers. Réalisée 300 ans avant la découverte de l’Antarctique, cette carte montre la côte telle qu’elle se présente sous la glace, ce qui ferait remonter les informations à 10.000 ans, période où les glaces ne s’étaient pas encore formées. (source)Wikipédia
Oronce Fine dit Oronteus Finaeus, astronome, mathématicien et cartographe français du 16e siècle, a tracé une autre carte tout à fait curieuse? Sa mappemonde en forme de cœur représente l’Antarctique sans la moindre trace de glace, ce qui la ferait remonter avant l’âge glaciaire du Würm/Wisconsin, c’est à dire à plus de cent mille ans ! La carte de Finaeus a été découverte par Charles Hapgood dans la Bibliothèque du Congrès à Washington. Tracée par Oronteus Finaeus en 1531, elle montre le sixième continent avec ses rivières et ses ruisseaux, ses systèmes de drainage et un littoral propre tout à fait libre de glace. Or l’Antarctique est sous une épaisse couche de glace depuis plus de cent mille ans.
Le géographe français Philippe Buache a publié une autre carte de l’Antarctique en 1737, bien avant que ce continent a été découvert. Encore une fois, il montre la terre libre de glace et des côtes invisibles alors y figurent : on peut voir le bras de mer qui sépare les deux îles de l’Antarctique.
Enfin, récemment, Graham Hancock a trouvé une troisième carte où l’Antarctique est aussi franche. Ce mystère, qui n’a cessé de titiller les chercheurs depuis des siècles, sera-t-il enfin résolu ?
Une partie de la réponse pourrait être donnée à cette énigme : parmi les cartes anciennes dont ces auteurs se sont inspirés, il y avait probablement des documents maritimes datant de l’Atlantide, levées par les navigateurs atlantes qui possédaient aussi des engins volants, ce qui facilite grandement les relevés cartographiques.
Ces cartes ont été fidèlement copiées de génération en génération depuis dix mille ans, voire plus encore. Ce qui n’est pas surprenant, car les documents nautiques sont sacrés.
Ils ont toujours été préservés et soigneusement recopiés pour la navigation et le commerce. L’extrême ancienneté de leur origine atlantéenne expliquerait pourquoi ces cartes nous montrent la côte de l’Antarctique libre de glace, comme fut – douze mille ans plus tôt voire davantage – une partie de la côte de l’Antarctique.
La seule existence de telles cartes suffirait à prouver celle de l’Atlantide, ou de toute autre civilisation assez avancée pour faire les relevés fiables. Mais pour qui l’existence de l’Atlantide aurait-elle encore besoin d’être prouvée ? Ah oui, j’oubliais ! Pour les historiens, les savants et autres universitaires, qui malgré toutes les preuves et les monceaux d’indices, continueront longtemps encore à faire la sourde oreille et la fine bouche. Toute leur science ne les a pas protégés de la suffisance.
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