Je ne guéris pas

 

Une fois pour toutes je ne guéris pas. Ne m’écrivez pas pour ça. Vous perdez votre temps et le mien. Je ne guéris que moi-même, par le biais de mon guérisseur intérieur.

Faites donc comme moi. Guérissez-vous vous-mêmes, je vous ai dit comment faire. Lancez-vous. Grandissez. N’attendez rien des autres et tout de vous-même.

Une grande confusion s’est faite dans la tête de certains lecteurs que je m’empresse de dissiper. Mon rôle, issu d’un don de naissance, est de remettre en ordre le bon fonctionnement du guérisseur intérieur. Le mien, d’abord, qui m’assure une santé optimale depuis l’enfance, et j’ai 70 ans. Celui de ceux qui me côtoie peut aussi bénéficier d’une embellie. Mais ce n’est pas une guérison. Loin de là.

Le guérisseur intérieur devrait fonctionner chez chacun de nous. Il est perturbé ou carrément bloqué par les conditions de vie. Je vous renvoie sur cette page si vous ne l’avez pas lue. Vous comprendrez à sa lecture attentive que je n’ai rien d’un sorcier de village, jeteur de sorts ou faiseur de philtres magiques. Comment certains ont-ils pu se tromper à ce point sur mon compte ? Je me le demande sincèrement.

Je suis avant tout un chercheur de vérité, sans a-priori ni convictions établies. Je n’ai pas de connaissances particulières dans le domaine médical ou paramédical. Désolé de vous décevoir, je ne suis pas un guérisseur au sens habituel du terme.

Je sais rectifier le schéma énergétique, restaurer une circulation optimale dans les trois canaux subtils que les Hindous appellent sushumna, ida et pingala. Mais ce travail s’apparente davantage à une initiation qu’à une guérison. Je l’appelle le reki d’Erquy, mais ma pratique n’a pas grand chose à voir avec le reiki japonais… Ce dernier s’apparente à un soin, tandis que le reki d’Erquy tient davantage d’une initiation.

Cette initiation suppose que l’impétrant ait déjà acquis un certain niveau de compétences subtiles. C’est pourquoi, contrairement aux guérisseurs qui reçoivent tout le monde, je me réserve le droit de choisir les personnes à qui je transmettrai ces qualités subtiles. Souvenez-vous des paroles saintes : il y a beaucoup d’appelés, et peu d’élus.

Et rappelez-vous aussi que c’est toujours le maître qui choisit le disciple. Jamais le contraire.

 

La quéquette à Jésus-Christ n’est pas plus grosse qu’une allumette. Il s’en sert pour faire pipi. Vive la quéquette à Jésus-Christ !
Jacques Prévert