Les géants tout-puissants sont venus des étoiles lointaines. Ils nous auraient créés pour les servir et prendre leur relève. Ils ont jugés que des êtres plus petits auraient plus de place, car la terre était trop petite pour les géants. Nous en ferons sans doute autant quand cette planète sera définitivement trop petite pour nous.
Les tablettes sumériennes tout comme les textes bibliques insistent sur la présence antique de géants. Nous trouvons leur histoire également dans les livres de Jasher, des Jubilés et dans le récent rouleau de la Mer Morte intitulé Le Livre des Géants. Il serait temps que les anthropologues dépassés s’adonnent à de saines lectures.
« Or, quand les hommes eurent commencé à se multiplier sur la face de la terre et que des filles leur furent nées, les fils de Dieu virent que les filles des hommes étaient belles, et ils prirent des femmes d’entre toutes celles qui leur plurent.
Et l’Éternel dit : ‘Dans son égarement l’homme n’est que chair; ses jours seront de cent vingt ans.’
Les géants étaient sur la terre en ce temps-là et aussi dans la suite, parce que les fils de Dieu venaient vers les filles des hommes, et elles leur donnaient des enfants : Ces hommes puissants, dès les temps anciens, furent des gens de renom. Et l’Éternel vit que la malice de l’homme était grande, et que toute la pensée de son cœur n’était que mauvaise en tout temps. » (source)Genèse 6:1 La passionnante hypothèse de Hörbiger, celles des lunes qui s’écrasent sur la terre après avoir occasionné des périodes de gigantisme, nous amène à considérer notre création sous un autre angle, plus favorable aux dieux géants.
Il se pourrait qu’ils nous aient créé pour prendre la relève après eux. Au terme d’une civilisation planétaire qui dura cent cinquante mille ans, les géants se savaient condamnés par l’augmentation prochaine de la pesanteur qui allait devenir insupportable pour leurs grands corps.
Ils ont donc créé des sortes de schtroumpfs mieux adaptés aux nouvelles normes gravitationnelles.
Quoi qu’il en soit, ceux qui nous ont créés étaient bien des géants, des Homo sapiens gigantibus qui depuis ont disparu de la surface de la terre.
L’histoire commence à Sumer
Une fois encore, si l’on fait un tour d’horizon des différentes traditions sacrées, le parallélisme est éloquent : Grecque, Hébraïque, Romaine, Egyptienne, Celte, Nordique, Dogon, Islamique, la plupart des traditions connues recoupent la version de Sumer. Elles racontent peu ou prou la même histoire, mais seule la version de Sumer est claire et complète. Il y a aussi en Amérique, en Australie, en Asie, d’autres traditions qui puisent à la même source que Sumer, celle de la grande civilisation prédiluvienne.
Mais pour l’origine de l’Adam, Sumer est le candidat n °1.
Depuis longtemps, les antiquairesAncien nom des archéologues avaient lu la Bible et savaient donc que l’histoire commence à Sumer, car tout est vrai dans la Bible. Dans la plaine fertile entre le Tigre et l’Euphrate, ces deux fleuves bénis des dieux, une humanité d’esclaves a fleuri, la nôtre. L’humanité supérieure qui nous a fait pour son service s’était installée dans la plaine d’Edin, nom sumérien de la Mésopotamie. Edin, qui a donné l’Eden. Ce site aurait pu s’appeler Adam Saga, c’est à dire ADN Saga. À peine créé, l’Adam rend grâces à Enki et se met à vénérer les dieux. Le mot communément traduit par « vénérer » était en fait avod signifiant travailler.
Le LuluLe travailleur « fait de sang » de Sumer ne vénérait pas son dieu, il travaillait pour lui. Là aussi, on voit comment une religion peut s’établir sur une erreur de traduction. « Lorsque l’humanité fut créée, les hommes ne savaient pas manger le pain, ils ne connaissaient pas le port du vêtement, ils mangeaient des plantes avec leur bouche comme des moutons et buvaient l’eau des fossés. »
Un tel animal humain est également décrit dans l’épopée de Gilgamesh : « Des poils touffus recouvrent tout son corps, ses cheveux sont semblables à ceux d’une femme… il ne connaît ni gens, ni terres, il côtoie les animaux sauvages aux points d’eau. » Plus loin, un chasseur divin raconte sa rencontre avec un homme singe, le géant Enkidu, l’ami de Gilgamesh : « Il remplissait les fosses que j’avais creusées, détruisait les pièges que j’avais posés; les bêtes et les créatures de la steppe, il les a fait glisser de mes mains. » Ce qui montre son bon sens. Sur de nombreux sceaux cylindriques sumériens, on peut voir l’image de l’homme singe ébouriffé parmi ses amis, les animaux.
Un autre Anounnaki féru de génétique, un certain Bélus,Faut-il y voir l’original du dieu Bel ou Bélénos des Gaulois ? tenta lui aussi de créer un hybride apte aux travaux divins. Bélus fit apparaître divers « êtres hideux produits par un principe à double forme. Il y avait, en résumé, des créatures avec les membres de toutes les espèces d’animaux dont il reste des dessins préservés dans le temple de Bélus à Babylone. » (source)Bésorus ou Bésore ? Peut-être une déformation de Bérose ?
Produits de manips génétiques, ces êtres hybrides sortent tout droit des laboratoires biologiques anounnakis. Des essais sans suite, vite abandonnés. N’empêche qu’ils les ont faits, aucune barrière déontologique, éthique ou morale ne semblait les retenir : ils ne l’évoquait même pas. Leurs créatures, pourtant pleines de défauts, montrent plus de retenue sur le chapitre de la génétique humaine.
Pour combien de temps ? D’ici quelques années il sera possible de recréer un Néandertalien à partir de son ADN. Allons-nous pas à pas marcher dans les traces des pseudo-dieux qui nous ont fabriqués ? Et, question subsidiaire, ferons-nous aussi bien qu’ils ont fait ?