Le réseau lumière-énergie

 

A l’intérieur de la matrice, entre les parois du bocal, courent des lignes qui s’entrecroisent et véhiculent de l’énergie lumière. Ces lignes sillonnent la planète Terre, elles se retrouvent dans les étoiles et dans notre corps lumineux. 

La Terre possède une caractéristique énergétique majeure : elle est parcourue par un réseau de flux énergétiques, grandes avenues géo-magnétiques larges de 50 km ou plus, par lesquelles circule un puissant courant subtil qui booste l’ensemble de la zone des flux. La plupart de ces courants sont orientés ouest-est, dans le sens des vents dominants. Comme pour les vents, les flux d’électrons semblent suivre le sens de la rotation terrestre. Depuis plusieurs décennies, les géobiologues et autres chercheurs indépendants ont mis en évidence le fait suivant : ces flux se distinguent du reste de la surface planétaire par une importante concentration de mégalithes, de temples antiques ou de cathédrales médiévales.

D’autres réseaux d’énergie subtile ont aussi une forte densité de constructions sacrées, mais leur orientation est diagonale. Ce sont les fameuses Ley Lines« Les Lignes de Ley ou Ley Lines sont des alignements apparents de particularités géologiques, de lieux de pratiques religieuses anciennes, comprenant souvent des structures artificielles. La phrase a été inventée en 1921 par l’archéologue amateur Alfred Watkins, se référant à des alignements supposés de nombreux lieux d’intérêt géographique et historique, tels que les monuments anciens et les mégalithes, les crêtes naturelles et les gués. Watkins a développé plus tard des théories que ces alignements ont été créés pour la facilité du trekking terrestre par la navigation de ligne de vue pendant les périodes néolithiques, et avaient persisté dans le paysage pendant des millénaires. » (source) 

Depuis quelques décennies, la version spiritualisée du concept a été adoptée par d’autres auteurs et appliquée aux paysages dans de nombreux endroits du monde. Ces lignes ne m’ont jamais laissé indifférent, j’ai pu à deux reprises tester sur le terrain la réalité de certains tronçons. Mais pour moi, ici et maintenant, ce n’est pas la question. Apporter des preuves de la réalité énergétique des Ley Lines est le sacerdoce de plusieurs chercheurs indépendants. Je salue leur travail.  Y croire ou pas est le libre choix du lecteur, à qui je conseille toujours de prendre le maximum de distance avec la chose lue, surtout sur le web. Demandez-vous d’abord quelle personne vous parle, demandez-vous si ce qu’elle dit est utile, si ça vous aide à y voir clair, ou au contraire si ça vous plonge dans la confusion. Voyez si les infos sont de première main ou piquées ailleurs sur le web, si ça vient de lectures, si c’est vécu, compris, dans ce cas vous comprenez aussi, et le contenu vous touche. Pourquoi ? 

 

Les ailes de la perception

Nous avons en nous un dispositif invisible, sorte de radar muni d’une alarme silencieuse, pour nous prévenir d’un danger, nous mettre en garde envers une personne suspecte, nous avertir d’un marché désavantageux, d’une mauvaise affaire, d’un projet foireux. Et ça peut sauver la mise à ceux qui savent s’en servir, vous savez, ces gens que les autres trouvent trop veinards. Veinards, ils ne le sont pas. Comme le hasard, la chance n’existe pas. Les soi-disant veinards utilisent une forme d’attention seconde, ils se servent de pouvoirs cachés, radar, sonar, guérisseur intérieur, horloge interne, et mille autres gadgets autogérés dans les profondeurs de l’inconscient. Ce radar n’avertit pas seulement d’un danger, il donne le feu vert en face d’une personne de confiance, d’un projet honnête et équitable, et d’un tas d’autres choses positives.

Mes textes font appel à cette capacité d’analyse qui ne doit rien à la logique, rien au mental ni rien à la conscience. Mais qui doit tout à l’inconscient, à l’intelligence du ventre, aux neurones de l’intestin. Je vais vous demander maintenant, cher lecteur, amie lectrice, de bien vouloir déployer vos ailes toutes grandes et de me suivre dans mon vol au-dessus des lignes telluriques. J’y vois des lignes de force, ce sont les lignes de la main du bon dieu. Dans un autre référentiel, ce sont les algorithmes du Programme Matriciel Global.  Mes bons gars, on est mal, mais on n’est pas dans la merde. On gère, mes gerces. Folle pensée, libres penseurs, juste ligne, voie du milieu, on assure et on s’assure, grimpeurs de vide, voltigeuses funambules.

« Les lignes de Ley, le fi-ley qui entoure la croûte terrestre, le réseau, le filet (« net » en anglais), ce filet d’information qui emprisonne le monde mais libère la sagesse… » (Alain Aillet)

 

Ci-dessus : Les Malvern Hills en Angleterre. Alfred Watkins pensait qu’une ley line passait par là

 

« L’hypothèse de la ligne tellurique est un type de pseudoscience. Une distribution aléatoire d’un nombre suffisant de points sur un plan créera inévitablement des alignements de points aléatoires uniquement par hasard. » (source)  Outre une maîtrise insuffisante de l’expression et un goût marqué pour la redondance, cette affirmation made in Wikipédia enfonce encore des portes ouvertes. Pseudoscience ? Pseudoscience ? Est-ce que j’ai une tête de pseudoscience ? Non, les recherches sur les lignes de Ley ne relèvent pas de la science, car elles sont charnelles, actuelles et honnêtes. Elles n’ont pas à répondre de leurs projets de recherches ni soumettre leurs découvertes à tel ou tel cénacle de gourous fourbus, hors d’âge comme d’époque et de propos. Elles viennent du cœur et du ventre, elles nous donnent du cœur au ventre.

Une question se présente à mon esprit : est-ce que ces lignes d’énergie lumière sont une caractéristique naturelle, ou bien ont-elles été créées par la construction de mégalithes, de temples, de pyramides et de cathédrales ? Viennent-elles de la nature ou sont-elles des artefacts ? Autrement dit, si l’on supprimait tous les édifices polarisés qui suivent leur tracé, fonctionneraient-elles encore ?

 

Le réseau d’énergie-lumière de Juan Tuma

Je veux étudier le rapport secret entre la géographie de ces lignes, l’astronomie et notre corps de lumière. Et pour ça, je vais me servir de Castaneda et d’une de mes vies antérieures.

« Juan Tuma nous parla de ses voyages. Il s’en tenait toujours aux faits. Je fus comme hypnotisé par ses récits, nets et secs, d’événements dépassant mon entendement. Pour moi, le plus fascinant fut sa description de certains faisceaux de lumière ou d’énergie qui, disait-il, formaient un réseau autour de la terre. Ces faisceaux ne subissent pas de fluctuations comme tout le reste dans l’univers, ils sont fixés sur leur réseau qui coïncide avec des centaines de points dans le corps lumineux. »  (source)Carlos Castaneda, Le don de l’aigle, p. 183 Ce dernier ne se limite pas à notre corps physique. Il est très grand, « certains de ces points étaient, en fait, à plus d’un mètre du corps physique lui-même. » Ces points se trouvent donc hors de nous, mais pas vraiment, puisque notre corps lumineux fait partie de nous, même si nous n’en avons pas conscience. Les points se trouvent dans la limite de notre luminosité, ils appartiennent donc encore au corps total. « Le plus important de ces points est à trentaine de centimètres de notre estomac, à 40° sur la droite d’une ligne imaginaire tracée tout droit au milieu du corps. Juan Tuma nous dit que c’était un centre de rassemblement pour l’attention seconde, et qu’il était possible de le manipuler en caressant doucement l’air avec la paume des mains. » (source)Carlos Castaneda, Le don de l’aigle, p. 183 

 

Les schémas de Theorima

Vous commencez à voir où je veux en venir. Voici la suite. J’ai raconté récemment la science curieuse développée par Théorima, qui consiste à décrypter dans le ciel nocturne des alignements d’étoiles, de les assembler pour en former des schémas, pour ensuite incorporer ces structures géométriques, les disposer dans le corps physique afin de maîtriser nos émotions. Si vous calez, lisez donc la vie d’une prof en Grèce antique, dont voici un extrait :

« A la nuit, vient la pratique : nous observons les étoiles. Dans mon système chaque étoile correspond à une émotion simple, que j’appelle une émanation. Il faut parfois des dizaines d’émanations pour faire une émotion complexe, comme la jalousie ou la colère réactive. Il est intéressant d’observer les positions des étoiles les unes par rapport aux autres. Ça donne un schéma. Puis j’enseigne à mes élèves l’art de placer leurs émotions dans certaines parties du corps, afin de reproduire ce schéma. Par exemple : 
– Sens-tu ta colère ? Déplace-la hors de ton cœur. Fais-la descendre dans ton talon gauche. Tu y es ?

Ou encore :
– Fais passer ton désir sexuel dans tes doigts.

J’ai tracé dans le ciel étoilé un corps humain où chaque étoile figure une émotion. Sur cette carte astrale, les émotions et les émanations sont toutes à leur  juste place, dans l’exact rapport des unes aux autres. C’est l’état d’harmonie qui fait de l’homme un sage. Il s’agit d’une méthode mathématique infaillible, qui permet à celui qui la maîtrise de n’être plus le jouet de ses passions. » (source)

 

 

Il s’agit à présent de tout mettre dans le mixer et de faire tourner l’hélice. On obtient une belle pâte, prête à enfourner. Voici ce qu’il en sort. Les lignes de force et les flux sacrés tracent des figures qui se retrouvent à l’identique dans les constellations et autres alignements stellaires. Ces schémas sont conformes à l’algorithme matriciel : on les retrouve partout, du plus petit au plus grand. J’ai montré que la spirale est une forme spontanée. Il en va de même pour ces figures qui ont séduit Pythagore et bien d’autres esprits curieux. Elles sont magiques car elles contiennent la clé du Logiciel Global. Leur magie permet de trouver l’équilibre émotionnel, la sagesse et tous les pouvoirs de l’éveil.

Votre mission, si vous l’acceptez, consiste à découvrir quelques-unes de ces figures magiques. Elles sont partout, donc faciles à trouver. La connaissance de ces schémas ouvre celle de la structure même de l’univers et de tout ce qu’il contient. Relisez soigneusement ce texte, cliquez sur les liens qui s’y trouvent, laissez-vous emporter vers les cimes. Et quand vous reviendrez de votre grand voyage, vous serez passé de l’autre côté du miroir des illusions. Vif ou mort, vous serez à jamais conscient. Le reste ne compte pas. Attention, cette précieuse page peut s’autodétruire sans préavis…

 

Tout homme porte en lui, inconsciemment,  la mémoire d’anciennes civilisations.  De même, le rocher est-il un fragment de la mémoire du monde.
Carl Gustav Jung