Antigravité

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Les Atlantes avaient de longs bateaux ultra rapides et des ovnis, nous dit le voyant Edgar Cayce, et d’autres chercheurs renchérissent. Plus troublant, il semble qu’on ait redécouvert cette propulsion tout droit sortie de la technologie atlante.

D’après le flamboyant Jean-Pierre Petit – scientifique bien connu des internautes – les Russes posséderaient des torpilles et mêmes des sous-marins expérimentaux fonctionnant selon un principe similaire : les torpilles et sous-marins « hypervéloces » à MHD.

« Sigle pour Magnéto Hydro Dynamique, la MHD est une méthode de propulsion encore expérimentale, fondée sur les travaux de l’Anglais Michael Faraday. 

Le principe de la MHD consiste à faire circuler un courant électrique dans le milieu entourant le mobile. Le mobile, en même temps, va émettre un champ magnétique.

Selon la loi de Laplace, ce champ va exercer une force sur le courant, et donc sur le milieu où il circule : c’est le principe de la plupart des moteurs électriques. Le milieu étant ainsi déplacé par rapport au mobile, c’est en fait celui-ci qui, par réaction, subira une force permettant de le propulser. » (source)On a perdu la moitié de l’univers, par JP Petit

L’auteur nous décrit d’abord des torpilles russes très rapides, appelées Shkval – Squale – qui atteindraient 400 à 500 km/h grâce à un système de cavitation. Ce système permet « d’isoler la torpille par un film gazeux (celui-ci étant produit par un générateur situé à l’intérieur de la torpille) et non en transformant l’eau de mer en vapeur ». (source)On a perdu la moitié de l’univers, par JP Petit

Pour dépasser ces vitesses, dit Petit, « la seule solution consiste à aspirer l ‘eau de mer sur les flancs de la torpille et sur sa partie avant à l’aide de forces électromagnétiques, en utilisant la MHD ».

Pourtant une autre solution consisterait à utiliser des métaux hydrophobes, c’est à dire « qui repoussent l’eau » pour faire la coque des navires hyper-véloces. C’était la solution atlante. 

Comme pour la torpille russe, l’énergie serait fournie par un propulseur fusée sur lequel serait adapté un générateur MHD qui produirait de l’électricité utilisée pour alimenter un « accélérateur pariétal » tout au long de la torpille, « le résultat étant d’aspirer puissamment l’eau de mer dans l’environnement ». (source)

« Dans l’air, la MHD est plus délicate à mettre en œuvre. L’air étant isolant, il faut le rendre conducteur par des champs électriques puissants. L’air peut alors devenir plus ou moins lumineux, ce que l’on a fréquemment observé autour des OVNIs. Quant au champ magnétique, il peut être créé comme pour les bateaux. Cependant, dans l’air, la propulsion est beaucoup plus difficile à obtenir, puisqu’elle doit non seulement propulser le mobile, mais d’abord compenser son poids. » (source) 

 

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Théorique jusque dans les années 90, la chose devient possible avec la découverte de supraconducteurs  à basse température. 

La supraconductivité. Mot magique, notion fascinante aux possibilités qui font rêver nos physiciens. La supraconductivité qui est à la fine pointe de notre recherche avancée était connue et utilisée par les grands anciens.

Telle était la principale qualité du métal disparu des Atlantes, l’orichalque, dont la conductivité était telle qu’ils l’utilisaient pour leurs pyramidions ou autres capteurs de foudre.

Profitant du courant planétaire qui fait réémerger les idées et les connaissances atlantes, un chercheur australien, Ted Roach, affirme qu’il a trouvé le moyen de contrôler la gravité grâce à ce qu’il appelle des lentilles gravitationnelles. Son idée passionnante sera-t-elle mise sous le boisseau, une fois encore ?

 

L’existence fait éclater tous les systèmes.
Soeren Kierkegaard