La tour de Tesla

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Nikola Tesla considérait la Terre comme l’une des plaques d’un condensateur, l’ionosphère constituant l’autre plaque. Et il avait tout à fait raison. Des mesures récentes ont montré que le gradient de voltage entre les deux est de 400.000 volts.

Fort de ce principe, il se disait capable, grâce à son invention, de fournir de l’énergie gratuite à quiconque, en quantité inépuisable, n’importe où sur terre. C’est pourquoi il avait fait construire un premier prototype, la tour de Wardenclyffe, dans lequel devait s’appliquer son fameux effet pyramide. De quoi s’agit-il au juste ? « Les lignes de force de la charge électrique plus les champs qui proviennent du soleil agissent sur les parois d’une pyramide. Les équipotentiels magnétiques montrent une forte densité magnétique au sommet. Le voltage du champ électrique augmente de 100 V par mètre. Le champ négatif terrestre atteint sa valeur maximale au sommet de la pyramide ; en haut de la pyramide de Gizeh, le voltage est de 14.600 V. Cette pyramide constitue en soi un condensateur, elle accumule une charge électrique. Si un excédent de charge y est ajouté, une décharge se produit au sommet, et, comme on le sait aujourd’hui, celui-ci était garni d’un pyramidion en or massif, un excellent conducteur. » (source)Tesla, Mes inventions

Tesla voulait que sa tour soit haute pour augmenter le voltage au sommet. Il voulait créer un éclair artificiel dans la tour. Dans le tube de décharge d’un éclair naturel, la température monte à 30.000° C. Tesla ne tenait pas à gérer de telles températures, car c’est une perte d’énergie. La tour Wardenclyffe de Tesla aurait utilisé un transformateur pour produire un haut voltage, qui aurait engendré, au lieu d’un éclair naturel, une « décharge de foisonnement ionique de haute énergie »  (source)Tesla, Mes inventions Pour accentuer  l’effet pyramide, il avait imaginé de donner à la tour la forme d’une pyramide octogonale coiffée d’une demie sphère. Pourquoi octogonale ? Tesla ne s’en explique pas, mais à lire ses mémoires, on comprend qu’il subodorait une discipline scientifique encore inexistante, la géobiologie, et la théorie des ondes de formes.

 

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Du point de vue de la physique traditionnelle, le fait que la tour soit octogonale est insignifiant. Elle aurait pu être carrée ou posséder un nombre infini de faces, c’est à dire conique. « Dans tous les cas le voltage aurait été le même, sa forme lui donnait simplement de la stabilité. » (source)Tesla, Mes inventions Ce qui appelle deux objections. La forme octogonale n’est pas une garantie de stabilité supérieure à la forme carrée. Si c’était vraiment la stabilité qu’il cherchait, une élévation hyperbolique, telle celle de la tour Eiffel, aurait été mieux adaptée. Alors pourquoi ce choix ? Pour des raisons personnelles ? Non, je pense plutôt à une intuition profonde. La forme octogonale a des caractéristiques ondulatoires très particulières, il est possible que ce pur génie l’ait pressenti sans pouvoir le théoriser.

Quant à la forme carrée des pyramides, l’ingénieur Gustave Eiffel l’a choisie pour sa tour, précisément parce qu’elle est un gage de stabilité, comme les quatre pieds et l’élévation évasée. Bâtie en 1889, notre tour nationale était déjà assez connue pour lui servir de modèle. Comme la tour de Wardenclyffe, la tour Eiffel a un effet pyramide qui lui fait capter à son sommet, même sans orage, un courant continu. Son paratonnerre « fabrique » ainsi de l’électricité qui descend dans un câble pour être remise à la terre. Ce qui est une pure connerie. Tout se passe comme si on avait de l’énergie à revendre, dis-je en lorgnant vers Areva. Car ce gaspillage n’est pas limité à la tour Eiffel. Toutes les toitures ou les masses métalliques font la même production, stupidement remise à la terre.

L’énergie Vril est gratuite, c’est son plus grand défaut dans un monde de profit. Le fait qu’elle soit inépuisable et totalement écologique n’a aucun intérêt pour le capital. Le fait qu’elle soit bénéfique, aussi bien pour l’esprit humain que pour la santé des gens, des bêtes et des plantes grâce aux vertus de l’eau de foudre, compte encore moins pour les profiteurs. Areva, premier producteur mondial d’électricité nucléaire, n’a rien à gagner aux énergies douces. Et tout à perdre avec les énergies gratuites. Aux Etats-Unis, Edison et la General Electric ont fait le même coup à Tesla. Comme par hasard, Tesla ne put jamais achever sa tour. Il n’eut pas l’opportunité de mener à bien les expériences prévues sur Long Island qui visaient à apporter la pluie dans les déserts. Tesla a perdu. Business as usual pour la General Electric. Son idée était pourtant faisable. D’autres avant lui y sont arrivés.

 

Tesla l’Egyptien

Nikola Tesla était-il Serbe, Croate, ou Yougoslave ? Qu’importe sa nationalité d’origine puisqu’il a choisi d’être citoyen US. Reste qu’il pourrait être nommé Egyptien d’honneur tant ses découvertes recoupent précisément celles de l’antique science égyptienne. Ou Atlante ? Il y a 25 siècles, l’historien grec Hérodote écrivait que « l’Egypte est un don du Nil. » Depuis lors, son climat n’a guère changé, pourtant il n’en a pas toujours été ainsi. L’Egypte prédynastique était plutôt un don des pyramides…

« Dans la période prédynastique, le climat égyptien est beaucoup moins aride qu’il ne l’est aujourd’hui. De vastes régions de l’Égypte sont recouvertes de savane arborée et traversée par des bandes d’ongulés.ongulé toi-même, espèce de malpoli Les feuillages et la faune y sont alors beaucoup plus prolifiques et la région du Nil abrite d’importantes populations de gibiers d’eau. La chasse est une activité commune pour les Égyptiens et c’est aussi à cette période que de nombreux animaux sont domestiqués pour la première fois. » (source)Wikipedia

A évoquer ces joyeuses bandes d’ongulés, cet opulent gibier d’eau et ces chasseurs jamais bredouilles, on se représente un climat bien différent du désert actuel. 

 

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Et si on remonte encore plus loin, à une période où, d’après les égyptologues, cette région du monde n’était pas habitée, on y découvre une pluviosité ahurissante. Pendant un millénaire, au moins, des trombes d’eau sont tombées sur la vallée du Nil. Témoin de ces averses continuelles, le Sphinx et ses flancs profondément marqués par l’érosion pluviale. Au dire des climatologues, le Sphinx doit avoir plus de dix mille ans d’âge, période de la plus forte pluviosité. On peut imaginer que les grandes pyramides de Guizeh datent de cette époque. 

Nombreux sont les auteurs qui l’ont fait, faisant plus confiance aux climatologues qu’aux égyptologues, toujours englués dans une chronologie bidon, de fabrication récente, et dans leurs querelles de clochers. Bien sûr, ces derniers ont refusé la thèse des climatologues, pourtant solidement étayée. Jamais un archéologue ne laissera des géographes piétiner ses plates-bandes. Pauvre science sans conscience. Continuant à rêver comme Tesla, on peut voir comment ces énormes masses, surmontées d’un pyramidion conducteur en or, et revêtues de plaques d’or, ont servi d’attrape-foudre en déclenchant des orages continuels. La pluie est tombée à n’en plus finir sur ces régions tant que les pyramides, sous le contrôle de techniciens compétents, ont continué à fonctionner. Ces pluies diluviennes ont laissé leur trace sur le corps du grand sphinx de Guizeh. Peu à peu, le savoir s’est perdu, les pyramides ont été dépouillées de leur précieux métal, et l’Egypte a glissé vers l’aridité.

Contrairement à la tour Wardenclyffe, « la fonction des pyramides n’était pas du tout de produire des éclairs. Depuis leur construction il y a des milliers d’années, les pyramides fonctionnent comme des générateurs d’ions négatifs. Pour qu’elles ionisent en permanence l’air ambiant, il fallait qu’elles soient connectés à des sources d’ions négatifs. Le sous-sol de Gizeh contient de l ‘eau en abondance. Par effet piézo-électrique, ces ions s’accumulent dans les pyramides qui ensuite les déchargent à leur sommet. Ces pyramides sont faites d’une pierre contenant des cristaux qui captent les charges électriques de l’eau souterraine. »  (source)Nexus n°65 page 69 

 

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C’est bien ce qui se passait dans la grande pyramide, mais la foudre y jouait aussi son rôle. Quant à l’effet piézo-électrique, s’il y prend peut-être une part, il ne faut pas négliger la conductivité naturelle des pierres à polarisation alternée. En outre, l’auteur de l’article cité en référence a ignoré les arcs de décharge, dont la fonction n’est pas du tout architecturale. Les égyptologues n’ont pas compris leur usage, pourtant un recours aux annales akashiques leur a permis de leur donner un nom parfait : les arcs de décharge étaient des arcs électriques et les décharges l’étaient aussi ! Reliés au pyramidion sommital par des tiges métalliques, ils recevaient l’énergie atmosphérique, l’accumulaient et émettaient « une décharge de foisonnement ionique de haute énergie » dans la chambre d’Isis où le candidat à l’éveil était allongé dans le sarcophage de pierre… qui est le coffre d’IsisJésus adolescent aurait reçu l’éveil.

Derrière un mystère se cache un autre encore, on tombe d’Hérodote en Tesla, ce qui est sûr, c’est qu’on n’en a pas fini avec l’effet pyramide. Ni avec quelques autres intuitions fulgurantes d’un génie méconnu, Nikola Tesla.

Si vous voulez trouver les secrets de l’univers, pensez en terme d’énergie, de fréquence et de vibration.

Nikola Tesla

 

L’histoire enseigne aux historiens comment il faut la falsifier. 
Stanislaw Jerzy Lec