Singularités archéologiques

 

Décidément l’étude du passé lointain de notre espèce réserve bien des surprises. Comme ce marteau de 400 millions d’années, par exemple. « En 1844, sir David Brewster rapporta qu’un clou et un marteau avaient été découverts fermement enfoncés dans un bloc de grès de la carrière de Kingoodie (Mylnfield) en Ecosse. » (source)Cremo et Thompson, L’histoire secrète de l’espèce humaine

 

Un marteau de 400 millions d’années !

Célèbre physicien écossais, fondateur de l’Association britannique pour le progrès de la science, Brewster a fait d’importantes découvertes dans le domaine de l’optique. C’est un scientifique pointu, un homme digne de foi. David Brewster a mené son enquête sur cette question qui sortait de sa spécialité.

« Le Dr A. W. Medd du Service de recherches géologiques britannique nous a informés dans un courrier daté de 1985 que cette roche fait partie d’une formation de « vieux grès rouge inférieur » datant de 360 à 408 millions d’années. » (source)Cremo et Thompson, L’histoire secrète de l’espèce humaine Notons que la datation retenue pour le grès dévonien, donc le marteau, nous met en plein dans la période où les dinosaures régnaient en maîtres sur la Terre. Serait-ce l’un d’eux qui l’a perdu en retapant sa maison ? Denver, le dernier dinosaure, sans doute ???

 

La grotte de Trôo

Pour être parfaitement honnête, on doit y ajouter ceci : la pétrification peut être beaucoup plus rapide qu’on le croit d’habitude. A Trôo, près de Montoire-sur-le-Loir, se trouve une grotte pétrifiante. On y dépose des clous, ou d’autres objets de bois ou de métal, et par les vertus d’une température adéquate et d’une atmosphère humide, saturée de vapeurs alcalines ou calcaires, les objets sont « transformés en pierre » en l’espace de quelques mois. Mais ces conditions ne s’appliquent pas à Kingoodie. Pourquoi refuser l’évidence lorsqu’elle s’impose aussi crument? Pour rester à l’écart des sujets qui fâchent, pour se protéger…

Le pire des mensonges est par omission. Et c’est le plus facile à faire. Décidément, l’étude de notre passé est en bien mauvaise posture. Les spécialistes universitaires se sont fait leur scénario, et tout ce qui ne cadre pas avec, ils le rangent dans une boîte marquée « singularité ». Le tour est joué, la singularité finira au troisième sous-sol dans sa boîte oubliée sous la poussière. Pour faire exploser cette pratique non-scientifique, j’ai entrepris ici de dresser le catalogue de quelques-unes des singularités archéologiques. Tâche énorme.

A vrai dire, tout le site est bâti sur l’effarante somme de singularités que la science récuse sans raison et qui dressent un tout autre tableau de notre fabuleux passé. Je poursuis donc cet inventaire.

En 1885, dans une mine allemande, un objet cubique a été trouvé dans un bloc de charbon extrait d’une couche datée de 60 millions d’années. L’objet tient dans la main, une rainure profonde en fait le tour à mi-hauteur.  Des études ont montré que ce cube de fonte a été coulé dans un moule. Mais la communauté scientifique a décidé de faire comme si cet artefact n’existait pas. 

Certains chercheurs ont émis des doutes quant à l’authenticité de sa provenance : cet objet ne serait-il pas issu d’une fonderie actuelle ? (source)Fossil meteorite found in coal, C.Gurlt, Nature London, 11/11/1886, p.36 ; L’astronomie, 1886, p.463

 

55 millions d’années

En 1890, en Californie, un mortier et son pilon façonnés dans la pierre, des pointes de lances et une hache en silex ont été trouvés par J.H. Neale, conducteur de travaux pour la compagnie du tunnel de Montezuma. Il fit cette découverte dans le gravier sous la lave lors du percement du tunnel. Ces objets manufacturés se trouvaient dans des couches géologiques datées de 33 à 55 millions d’années. Naturellement, cette découverte ahurissante n’eut pas l’heur de plaire aux scientifiques et l’objet a depuis disparu, sans doute dans une vente aux enchères. (source)http://www.ldi5.com/

Il y a aussi ces tuyaux métalliques découverts en Chine, des tuyaux tout à fait ordinaires sauf pour leur datation : ils ont 150.000 ans ! Tout se passe comme si la science était myope. Ou pire, affligée d’une cécité sélective. On a l’impression que les chercheurs laissent leur bon sens à la porte du labo, sous la devise : « Ici, on ne pense pas. On cherche. » On en rirait si la chose n’était pas si navrante.

 

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Musique néolithique ?

En 1936, des fouilles archéologiques menées à la frontière de la Chine et du Tibet dans le massif montagneux de Bayan Kara-Ula ont mis à jour 716 disques de pierre de 30 à 50 cm de diamètre. Ces disques percés au milieu ressemblent à des disques modernes ou DVD : Ils sont gravés d’un sillon se déroulant en spirale des bords jusqu’au centre. Leur ancienneté est estimée à 12.000 ans  et ils contiennent des traces de métal.

« Le Dr Vyacheslav Zaitsev a rapporté que cela pourrait être une forme d’écriture et que ces disques vibraient dans certaines conditions d’expérience comme s’ils portaient une charge électrique. Le rapport intégral concernant ces disques est conservé dans les Archives Historiques de Taipeh (Taïwan) et à l’Académie de Pékin. » (source)Top Secret magazine  Des DVD d’avant le déluge, c’est énorme, mais nous possédons les vestiges de technologies beaucoup plus anciennes : les boules mystérieuses d’Afrique méridionale.

 

Embarassantes singularités

En Afrique du Sud, près d’Ottosdal, les mineurs ont remonté en 30 ans près de 200 objets métalliques sphéroïdaux. Les professeurs de géologie MacIver et Bisshoff ont étudié ces sphéroïdes : ce sont des globes aplatis d’un diamètre moyen de 2,5 à 10 cm, de couleur bleu acier avec des reflets rouges et tachetés de petits filaments blancs. Ils sont en acier au nickel, que l’on ne trouve pas à l’état naturel, ce ne sont donc pas des météorites, mais bel et bien des artefacts. Certains, accidentellement cassés, sont remplis d’un matériau spongieux qui se transforme en poussière au contact de l’air. Ils ont été extraits d’une couche rocheuse datée géologiquement de 2,8 à 3 milliards d’années, âge confirmé par datation isotopique. Il y a 3 milliards d’années, notre planète était une enfant, selon nos géologues. La vie, si elle y avait fait son apparition, était encore sous forme unicellulaire. Alors d’où sortent ces indiscutables artefacts?

 

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Aux yeux de la science, comme je l’ai dit, ces artefacts constituent des singularités : nul ne s’attend à les voir entrer dans une quelconque théorie. Cela supposerait une distorsion des concepts ordinaires qui n’est pas concevable, point final. En général, les chercheurs « sérieux » s’arrangent pour faire disparaître d’aussi embarrassantes singularités. Ces chercheurs-là sont bien notés, jouissent d’un avancement rapide et, devenus caciques à leur tour, ils continuent à faire régner l’ordre de l’ignorance sur le passé humain.

Cette fois, par chance, ça n’a pas été le cas. Les boules mystérieuses sont exposées au musée sud-africain de Klerksdorp, où chacun peut les y admirer. A leur propos, R. Marx, le conservateur du musée, a fait cette stupéfiante déclaration : « Mystérieusement, alors qu’elles sont enfermées dans leur vitrine, elles tournent lentement sur leur axe ».  (source)ldi5.com

 

La croisade du géologue

Mais la pensée dominante refuse de céder à l’engouement général. Un géologue dévoué part en croisade contre ce qu’il appelle des concrétions naturelles. « Les sphères sont connues sous le nom de concrétions : des objets sphériques, elliptiques ou aplatis, formés par divers minéraux présents dans la roche hôte. Elles sont assez courantes, puisqu’on en a trouvé des milliers dans le monde entier », note le géologue qui ajoute que les sphères sont loin d’être un mystère, et encore moins une trace possible du passage d’êtres extraterrestres sur notre planète.

« On pensait qu’il n’était pas nécessaire d’expliquer quelque chose qui semblait évident : que les pierres avaient été extraites de roches formées il y a des milliards d’années. Bien que l’on puisse comprendre qu’elles attirent l’attention, ce type de sphères est très courant dans les formations de pyrophyllite », a déclaré le géologue. (source)

Bon, ce gars fait tout son possible et nous sort le couplet qu’il tient tout chaud, prêt à le dégainer vite fait bien fait dans des cas de ce genre. « Il y a urgence, le vaisseau Civilisation-Unique est en perdition, vite le manuel ! Qu’est-ce qu’on raconte quand ça arrive ? » Notons qu’il a quand même mis dix ans pour balancer l’info.  n’explique rien : la fréquence de ces sphères n’est pas une preuve de leur origine géologique. Des millions de bus circulent sur toutes les routes du monde. Un jour on trouvera un autobus vieux de 2 milliard d’années et les géologues nous expliqueront qu’il s’agit manifestement d’une formation naturelle. Dix ans plus tard, ils ajouteront : « D’ailleurs la chose n’est pas rare, on en a trouvé partout. »

L’humour fou de la langue des oisons se précipite à mon secours. Savez-vous le nom de ce géologue? Cairncross. La croix du cairn! Joli clin d’œil aux bâtisseurs de cairn, ceux qui signaient leurs œuvres de la croix druidique. Ils n’ont pas oublié d’invalider la pseudo-science géologique actuelle avec leur signature tout à fait repérable. Merci à eux. (02/07/2023)

 

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Mécanique préhistorique

Il y a aussi des rouages et autres pièces mécaniques qui semblent surgir du passé le plus reculé, en pleine époque des dinosaures.  Certes on n’imagine guère ces grosses bêtes férues de mécanique et de technologie.

Pourtant des archéologues russes de l’Université de Saint-Pétersbourg ont fait une très étrange découverte dans la péninsule du Kamchatka, à 200 km de Tigil: des fossiles datés de 400 millions d’années où sont inclus des roues dentées et des engrenages métalliques qui semblent issus de nos usines et de nos ateliers. Selon l’archéologue Yuri Golubev, la nature de cette découverte a dérouté les scientifiques : pour le moins inhabituelle, elle est en mesure de changer l’histoire -ou de la préhistoire. Allons, M. Golubev, ce n’est pas la première fois qu’un artefact d’apparence moderne fait irruption en pleine préhistoire. Voyez le marteau des dinosaures, par exemple.

Et pour ces singulatités, aucun géologue n’a encore réussi à trouver une explication pseudo-scientifique. À suivre…

 

La pierre de Lanzhou

Une pierre noire, en forme de petite poire, extrêmement dure et de nature inconnue a été découverte en Chine. Cette pierre pourrait être un météorite, mais le plus étonnant, c’est que sa brisure a révélé une vis ou un dispositif métallique daté de 300 millions d’années. Encore un coup des dinosaures!

Le ‘Lanzhou Morning News’ du 26 juin 2002 publiait ceci :  « Une dizaine de géologues et de physiciens du Bureau National des Ressources Territoriales et d’autres institutions minières et environnementales se sont réunis pour tenter de découvrir l’origine de cette pierre mystérieuse. Au terme des débats, le comité unanime a retenu l’hypothèse d’un artefact, jugeant sa valeur inestimable pour la recherche archéologique en Chine et dans le monde »

 

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Aluminium néolithique

Encore une gifle : un vieux bout de métal daté de 20.000 ans a été découvert près de Aiud, en Roumanie. Cette trouvaille aurait dû susciter une vague de protestation dans la communauté scientifique, or il n’en est rien. Comme toujours, les spécialistes observent un silence religieux. Pourtant cette pièce métallique est très spéciale : c’est de l’alu. Or l’aluminium n’a été produit qu’à partir du 19e siècle…

Le meilleur moyen de ne pas trouver de preuve, c’est de ne pas en chercher.

Pierre Guérin

« Il existe, dans la réserve poussiéreuse d’un musée, un bloc de feldspath qui fut rapporté en 1869 de la mine d’Abbey, près de Treasure City (Nevada, USA). Grosse comme le poing, cette pierre avait ceci d’étonnant qu’une vis métallique de 5 cm de long y était incorporée. On en distinguait nettement le cône et le filet régulier. Composée de fer, elle s’était oxydée, mais la pierre dure qui retenait les résidus avait fidèlement conservé son contour délicat. Le problème était que le feldspath renfermant la vis avait, d’après les estimations scientifiques, au moins vingt millions d’années de plus que l’homme ; cette pièce dérangeante fut donc expédiée à une académie de San Francisco et tranquillement oubliée » (source)Cremo et Thompson, L’histoire secrète de l’espèce humaine

Anecdote à laquelle fait chorus ce témoignage d’un internaute : « Dans les hauteurs du Smithsonian, bien bouclé, il y a un morceau d’ambre daté de plus de 10 millions d’années. Il renferme un circuit imprimé. Mon père a été chargé de « découvrir » de quoi il s’agissait. La chose était impossible sans retirer assez d’ambre pour atteindre le circuit. Ce qui a été refusé. L’objet a été étiqueté, rangé dans une boîte où il doit être encore. Je l’ai vu de mes yeux il y a plus de 40 ans !(source)témoignage de Rip Savage sur Facebook

 

La science s’en fout 

C’est sans doute après avoir lu Michael Cremo que Spielberg a imaginé la dernière image des Aventuriers de l’arche perdue. Dans la réserve poussiéreuse d’un musée, un magasinier pousse un chariot. Sur son chariot, soigneusement clouée dans une caisse anonyme, il y a l’arche d’alliance, qui va aller moisir parmi des centaines d’autres caisses identiques, oubliées pour l’éternité.

 

 

Une autre singularité, la plus effarante de toutes, n’a pas été reconnue par la communauté scientifique. Quelques savants ont toutefois contesté cette conclusion. L’affaire aurait mérité un plus grand retentissement. Elle l’aurait eu si elle n’avait pas battu en brèche le credo unanime de la science menteuse: Nous sommes les meilleurs! Jamais l’humanité n’a été aussi loin!

Ce qui est totalement faux. Pour vous en convaincre, lisez le récit d’une découverte hallucinante: des réacteurs nucléaires de plusieurs milliards d’années sous le sol du Gabon…

 

L’origine de l’Homme

 

 

Sans la liberté de blâmer, il n’est point d’éloge flatteur.
Beaumarchais