Les deux monts Thabor

 

Le Mont Thabor est un endroit très particulier. Si vous allez au bout de cet article, vous comprendrez pourquoi. D’abord, il y en a deuxou quatre, ou beaucoup plus encore. Voir plus loin : le Mont Thabor dans les Alpes Françaises, et le Mont Tabor (ou Thabor) en Israël. Ceux qui y voient une coïncidence sont de gentils naïfs ou des scientifiques à la papa. Ce qui souvent revient au même. 

Maintenant je vous demande de la patience, le temps pour moi de développer une argumentation en plusieurs phases. Observons d’abord la réalité géographique et géologique des ces deux monts homonymes.

 

Mont Tabor, Galilée

Situé dans l’antique Palestine, sur le territoire de l’actuel Israël,  le mont Tabor est ce qu’il convient d’appeler un trône de Salomon : une montagne tronquée, dont le sommet est arasé pour permettre l’atterrissage et le décollage d’engins volants. Je vois dans ce mont la réponse stratégique à l’astroport de Baalbek au Liban, tout comme le fut la fameuse tour de Babel… qui n’avait rien d’une tour, mais tout d’une piste d’atterrissage pour engins spatiaux.

Il est vraisemblable que des navettes spatiales s’y soient posées aux temps glorieux de la Mésopotamie sumérienne. Des navettes qui assuraient la liaison régulière entre notre planète Ter-Ra et la planète vagabonde qui dominait le pôle nord et dont l’ombre gigantesque est à l’origine de la glaciation du Würm / Wisconsin. Pourquoi j’écris Ter-Ra et non pas la Terre ? Parce que c’est plus qu’un nom, c’est un code. Ra désigne le Soleil, Ter signifie trois  : troisième planète du système solaire, telle est Terra. Un moyen commode utilisé par les Terraformeurs pour désigner les planètes.

Ils étaient venu à bord d’un gigantesque vaisseau-mère, Hyperborée, où je vois la cause probable du dernier âge de glace. Ah ? ça vous étonne ? L’origine des glaciations fait l’objet d’un débat au sein de la communauté scientifique. Aucune cause indiscutable ne s’est imposée après deux siècles d’ergotages et d’élucubrations indignes de la science. J’essaie d’élever le débat avec des hypothèses originales. Plus elles sont invraisemblables, plus elles ont de chances d’être vraies.

J’ai découvert que les sept jours de la création décrits par la Genèse ne sont pas vraiment des journées, mais des phases d’interventions divines, c’est à dire des laps de temps plutôt longs (la glaciation du Würm / Wisconsin a duré 100.000 ans. largement le temps d’attraper la crève) pendant lesquels Hyperborée ou un autre vaisseau-mère du même type séjournait au-dessus du pôle nord, afin de permettre aux terraformeurs de faire leur boulot : rendre Terra habitable. Ainsi aux sept jours de la création biblique correspondraient sept glaciations majeures, causées non seulement par l’ombre du gigantesque vaisseau, mais aussi par son alimentation en énergie sur le principe d’une pompe à chaleur. Tandis qu’Hyperborée pompait les calories de Terra, cette dernière entamait une glaciation sévère et durable, inversement proportionnelle à la quantité de chaleur perdue.

Revenons au Mont Tabor de Galilée. J’ai dit qu’il était une réponse stratégique au principal astroport, celui de Baalbek au Liban, base principale des dieux terraformeurs. Mais les terraformeurs avaient des concurrents : les géants, qui furent longtemps leurs employés serviles, guerriers, terrassiers et hommes de peine. Certains géants — qu’on peut aussi appeler des anges, qui est gé-an en verlan, vu que c’était les mêmes — certains anges donc se sont rebellés contre l’autorité centrale, cet épisode est raconté dans la Bible qui les nomment les anges déchus, parce qu’ils sont descendus sur terre afin de se choisir des compagnes parmi le bétail humain que constituait notre jeune espèce.

Pour ne pas laisser la maîtrise du ciel et de l’espace à leurs anciens patrons, les anges rebelles avaient besoin d’un astroport. C’est ainsi qu’ils ont construit la plate-forme/tour de Babel, ce que la Bible mentionne, et peut-être aussi le Mont Tabor, ce que la Bible ne mentionne pas, mais que j’ai trouvé lors d’une visite aux annales akashiques.

Il faut se souvenir que la Palestine de jadis était le territoire de plusieurs clans de géants. Goliath, le géant biblique défait par David et sa fronde, faisait partie d’un de ces clans. En observant ce mont Thabor, cette colline escarpée à la forme curieuse, je ne pense pas seulement aux fameux trônes de Salomon. Je pense à la souche d’un arbre gigantesque, coupé jadis par les géants de la contrée. Mais c’est une autre histoire…

Une histoire à laquelle mon amie la chercheuse Ludmilla Zahno apporte cette précision : « Thabor c’est tabowr en hébreu… Voir ce passage biblique « De là tu iras plus loin, et tu arriveras au chêne de Thabor (Tabowr), où tu seras rencontré par trois hommes montant vers Dieu à Béthel, et portant l’un trois chevreaux, l’autre trois gâteaux de pain, et l’autre une outre de vin. » (source)Samuel 10 : 3 Un chêne énorme ? Cet endroit est cité à de nombreuses reprises dans l’Ancien Testament. Le mot tabowr viendrait du mot araméen tebar, « briser, casser, rompre ». Le chêne de Thabor serait-il ce mont — souche d’un chêne énorme qui a été « cassé, brisé, rompu » ?

 

 

Ludmilla me signale aussi Debre Tabor en Ethiopie. Dans le mille !! A côté de cette bourgade, on trouve un pic isolé, au sommet arasé, tout à fait conforme aux autres trônes de Salomon ! Vous pouvez  l’admirer ci-dessus. Elle a même déniché une bourgade de Tchéquie nommée Tabor, mais impossible d’y trouver le moindre mont. Dommage.

En attendant, il y a autre chose. Sur la peinture de Louis-François Cassa qui ouvre cet article, on distingue un chemin qui monte jusqu’au sommet. J’imagine que ça n’a pas dû être de la tarte de terrasser cette voie d’accès. Il a fallu péter des roches, tailler des falaises, charrier des tonnes de cailloux… Pourquoi faire ? Y avait-il un temple au sommet ? Un observatoire ? …ou un astroport ?? 

 

Mont Thabor, Alpes françaises

Passons à l’autre mont Thabor, plus connu de mes compatriotes. Le mont Thabor est un sommet des Alpes françaises, situé dans le massif des Cerces et précisément dans le chaînon du Thabor, au sud-ouest de Modane, à l’intersection des communes de Valmeinier et Orelle en Savoie, ainsi que Névache dans les Hautes-Alpes. Du côté de Névache, il ferme la vallée Étroite située dans les Hautes-Alpes. Il culmine à 3 178 m d’altitude. Il est dominé au nord par le pic du Thabor (3 207 m). (source)

Celui-là, on le voit, est beaucoup plus haut que son homonyme israélien. Avec ses quelques 588 mètres, le Tabor d’Israël passerait pour une colline en face des 3000 mètres du Thabor français. Celui-ci n’a pas le sommet arasé, mais ça ne le disqualifie pas en tant qu’astroport : les pistes planes ne manquent pas autour et alentours du mont. Ainsi on trouve, non loin de là, trois petits sommets appelés les Rois mages, et à leur pied, une grande esplanade aurait aisément permis l’atterrissage et le décollage d’engins volants antiques.

 

 

La photo en bas de pageretouchée par deux fusées, faut bien se poiler un peu montre les Rois mages et l’esplanade autour du petit lac. Je vous l’accorde, le mont français ne ressemble pas à un trône de Salomon, il n’a pas la forme en mesa ni la cime arasée caractéristiques. Pourtant je le soupçonne fort d’avoir été, lui aussi, un astroport, tout comme son homonyme israélien. Sur une autre photo, on voit se profiler une ressemblance plus nette avec un trône de Salomon.

La vraie question est là : pourquoi ces deux monts si distants portent-ils le même nom ? Parce que les noms bibliques ont toujours été à la mode en terre chrétienne, me dira-t-on. C’est vrai, mais l’argument porterait mieux s’il portait un nom vraiment biblique : le mont Sinaï, par exemple. En France, terre majoritairement catholique, les noms bibliques sont plutôt tirés du nouveau testament, comme les Rois Mages que je viens de nommer. Alors ? Parce qu’ils se ressemblent ? Non, pas du tout, ils n’ont rien à voir. Rien ? ça n’est pas sûr. Et s’ils s’appelaient pareil parce qu’ils avaient le même usage ? 

A ceux qui commencent à s’impatienter, courage, l’enquête touche à sa fin. A celles qui se demandent où je veux en venir, même réponse. Et si vous voulez savoir pourquoi je tiens absolument à voir dans ces deux monts l’emplacement d’antiques astroports, voici l’explication. Elle vient de mon ami le chercheur Alain Aillet, coutumier des traits de génie. C’est lui qui m’a dit un beau matin que le mont Thabor avait été un astroport. Comme je m’étonnais de son assurance, il me fit cette stupéfiante réponse : « Ecoute son nom : Monte à bord. C’est là qu’on embarquait pour Hyperborée. »

Alain, j’avoue, tu m’as scié. Il y a là toute la magie des anciens codes. Toute la magie de la langue des Oisons. La prouesse incroyable des dieux d’avant, qui avaient imaginé des jeux de mots dans des langues qui n’existaient pas encore en leur temps. Mont Thabor, monte à bord ! La messe est dite.

 

 

Hé non, pas tout à fait. En lisant cet article, Alain m’a aussitôt contacté. Sa pudeur de jeune fille avait morflé sous mes éloges, mais ce grand spécialiste du code premier voulait surtout me dire autre chose qui m’avait échappé. Le mont Thabor se situe « à l’intersection des communes de Valmeinier et Orelle ».  Or-elle !! Or, c’est l’origine, et Elle, la grande déesse, ensuite masculinisée en El, Elie. Total code, comme dit si bien l’ami Alain.

 

 Ils ont des yeux, qu’ils regardent ! Ils ont des oreilles, qu’ils écoutent ! Ils ont un esprit, qu’ils s’en servent ! Ils ont une bouche, qu’ils la ferment !
Lao Surlam