Cécile est soignante, elle travaille en milieu hospitalier. Je me suis régalé en lisant son immersion dans le groupe scalaire. Cécile et la Crapette ont accepté que je publie leur témoignage et je les en remercie. À quand le vôtre ? *xs*
Bonjour-bonjour, c’est nous, Crapette et Cécile au rapport après 4 passages à l’antenne de radio-scalaire. Alors nous voilà Crapette et moi dans le sas d’embarquement pour une autre fréquence, on vide nos pochesc’est une image, le groupe scalaire est gratuit et nos têtes selon protocole, et on laisse en dépôt nos chères carcasses.
Avant tout, sache que je me suis longtemps demandé quelle était la part du réel dans l’irréel, ou si tu préfères la part du mental dans les actions qu’on peut mener en énergétique. Ceci dit, l’univers s’est employé à m’envoyer quelques preuves qui m’ont amenée à continuer ma pratique avec l’intime conviction que tout ça sert bien à quelque chose… Dont acte.
A noter que pour la Crapette c’est la première fois qu’elle se décompose ainsi, eh bien on dirait qu’elle a fait ça toute sa vie, sa lumière est drôlement plus brillante que la mienne, plus rapide, bref elle gère grave ses molécules la bougresse. La Crapette part comme une fusée vers le lieu désigné. Et moi de la suivre en m’émerveillant de son agilité. Atterrissage en douceur.
Pour ce qui est de l’habillage, description pour le fun : on nous a mis un décor succinct, fonctionnel, et on s’y sent bien. En apesanteur au milieu de ce qui ressemble à une voie lactée, il y a une sorte de petit terminal avec branchement pour les entrées et les sorties, au bout desquelles des ramifications de couleur rose, sorte de système sanguin ou racinaire qui se perd dans l’infini.
Bon. On rassemble un peu nos molécules, on se redonne juste la densité qu’il faut pour agir dans le décor. La crapette est en autonomie, quelque chose me dit qu’elle se débrouillera tellement mieux que moi, elle a des facilités : déci-dément pas folle la bestiole. Pour ma part je teste le côté émission, ça passe bien avec ma main droite, comme dans le monde habituel. Je décide d’appeler les énergies de différentes pierres avec lesquelles j’ai l’habitude de travailler, manière de faire ça bien.
Je prépare des pousses-seringues quantiques, le petit peuple des nains-fermières est avec nous. Concentration et création d’une première perfusion sur le thème « ancrage, apaisement de l’angoisse et lavage du plexus solaire« . Je m’applique. Dans la foulée, deuxième perf avec des énergies de joie et de confiance. Par les temps qui courent ça servira sûrement. Je branche tout ça sur le côté « sorties », débit réglé sur 24 heures, ça distillera en continu. Avant d’envoyer, je procède à un nettoyage du système, prudence, en astral comme en pandémie l’hygiène est la base de tout.
Avec nos ailes qu’on n’a pas, on a pris de la hauteur et on s’offre la contemplation de cette bonne vieille terre, toute veinée de rose, on regarde passer les énergies, les nôtres et les autres, et puis petit à petit ça s’allume, ça scintille de partout, comme pour nous rappeler que tout autour de nous d’autres Autres émettent aussi.
Il est temps de souper, allons nous brancher à la table du grand banquet cosmique. Essai main gauche pour la réception. Ça passe mais la sensation n’est pas agréable. C’est dense, très dense, ça ferait presque mal dans le bras. Pas de panique, certaines pierres font ça aussi, on va trouver une solution.
Quand ça se bouscule au portillon, agrandis la porte. Laisse faire et laisse-toi faire. Comme disent les chinois, l’énergie sait où elle va et c’est bon. Pour le coup elle est passée directement par le chakra du cœur, et là c’est devenu fluide. Faut-il croire que malgré ma bonne volonté je n’avais pas assez le cœur sur la main …gauche?
La bonne place pour le cœur, ce n’est pas sur la main, mais dans la poitrine.
Du cœur à la main droite, je me laisse traverser par ce qui circule, ça repart dans le circuit en faisant des couleurs et puis aussi des étincelles dorées, des tas de petits flashs, c’est la classe dans le Dallas de l’astral, la grande déesse est avec nous.
Au bout d’un moment, il y a toujours un truc pour te dire de retourner dans ta dimension. Souvent c’ est un texto sur ton téléphone. OK. Le temps de fermer la baraque et on lève le camp. Rideau. Filons à la vitesse de la lumière récupérer nos cellules. Cécile redevient de chair et de sang et la Crapette redevient plastique-pas-très-écolo.
Et voilà pour le retour. Retour à la réalité et retour d’expérience. Merci à toi d’avoir construit ce lieu.Merci à toi d’y participer (xs) On reviendra. Pas toujours tous les jours et pas toujours à 21h, mais on reviendra. On fera ce qu’on pourra, on en est tous là, what else ? Un espresso peut-être ?