Shifting et voyage astral

 

Le « shifting » est un voyage mental très prisé des ados, en passe de devenir un véritable phénomène de société. De quoi s’agit-il ? D’un voyage imaginaire, plus ou moins sous contrôle, interrompu par le retour à la réalité. Ou ce qu’on prend pour telle… Une pratique particulièrement populaire chez les jeunes.

 

Réalités concurrentes

Oui, car il y a réalité et réalité. J’ai longuement montré dans ces pages qu’il faut dire les réalités. Car il y en a beaucoup, ça oui. Autant que de consciences individuelles, peut-être ? Bref, ce que notre science bien puérile tient pour « la réalité » n’est qu’un amalgame de perceptions hétéroclites sur la pertinence desquelles nul ne peut se prononcer. 

Je pense, donc je suis, disait Descartes — stone comme un caillou dans son poêle d’Amsterdam. Je panse, donc j’essuie, dit le lad en étrillant son bourrin. À chacun sa réalité… Celle du lad est moins discutable.

Mais la réalité officielle, métro-boulot-dodo, le plan-plan quotidien, la routine, l’encroûte, l’inaction de la vie active, nos jeunes n’en peuvent plus. Ils se droguent, s’éclatent, ils transplanent, s’inventent d’autres mots et d’autres mondes rien que pour eux, des mondes qui existent sans doute, car je vois qu’on n’invente jamais rien qui n’existe déjà quelque part.

C’est pourquoi ils se sont jetés sur le shifting.

 

Je shifte donc je suis

La difficulté à faire face à une réalité non souhaitée peut aussi venir expliquer l’engouement des jeunes pour le shifting. Il s’apparente à une forme de voyage mental sous contrôle. Le voyage mental repose sur le désengagement de la situation présente pour générer une représentation mentale spécifique : par exemple, l’évocation d’un souvenir personnel repose sur l’activation d’une scène tirée du passé, qui est « rejouée » mentalement. 

Le voyage mental peut aussi être involontaire, avec l’irruption de souvenirs autobiographiques, ou de scènes fantaisistes, sans lien avec la réalité. Néanmoins, il demande toujours au sujet de se désengager de l’activité en cours, qui doit être suspendue, sauf s’il s’agit d’une activité routinière, de faible exigence, comme la marche, le tricot ou toute activité répétitive monotone, qui pourrait même favoriser le voyage.  (source)

Je shifte donc je suis… Oui mais je suis quoi ? La mode? Je fais comme tout le monde en faisant autrement que les autres ?

 

 

Désengager son cerveau

Le cerveau possède plusieurs modes de fonctionnement. Le shifting ou voyage mental s’apparente au mode « désengagé », où l’absence de contrainte environnementale nous rend susceptibles de nous livrer à une activité autonome. Ainsi le « vagabondage mental » (le fameux voyage) qui consiste à tripoter des idées, ressasser le passé, envisager l’avenir, etc.

Depuis les travaux pionniers du neurologue Marcus Raichle, nous savons que ce troisième mode, considéré comme un mode « par défaut », dans lequel le sujet bascule lorsqu’il n’a rien à faire, anime un réseau cérébral impliquant les territoires frontaux et pariétaux. Or, le shifting repose sur un désengagement du réel, et la réalisation d’un voyage mental « contrôlé », où le sujet maîtrise, en partie au moins, le cours de son imagerie mentale. (source)

Je me demande si le cerveau a quoi que ce soit de commun avec son propre désengagement. Anime-t-il un réseau cérébral quand nous entrons en non pensée ? En d’autres termes, faut-il chercher l’inconscient quelque part dans notre cerveau ? Je n’y crois pas une seconde.

« La plupart de ce que fait le cerveau est inconscient », a déclaré Raichle. La plupart de ce qui nous anime est inconscient, mais le cerveau n’y est pour rien, puisqu’il est conscience, par définition. Le siège de l’inconscience est à chercher ailleurs.

« Très souvent, les gens disent quelque chose qui s’impose à eux et concluent que cela doit être vrai. Mais leur cerveau vient de faire ce jugement pour eux, et la raison pour laquelle il l’a fait est probablement totalement opaque pour eux. » (source)

Ce que les philosophes résument par cette forte parole : Nous ne pensons pas, nous sommes pensés.

 

Un physicien finnois

Qui nous pense ? Qui pense pour nous, à notre place? Matti Pitkänen. Physicien finlandais marginalisé parmi ses pairs, Matti Pitkänen ne se focalise pas sur le cerveau, MAIS SUR LE CORPS. Ce qui me plaît bien davantage.

Auteur d’une théorie révolutionnaire sur la constitution de l’univers, Pitkänen pourrait bien révolutionner l’histoire des sciences : pour lui, l’ADN communique avec l’univers. Sa théorie émergente suggère que le réseau internet ne serait que la piètre copie d’un internet biologique infiniment plus puissant, que chacun possède, qui permet de communiquer de conscience à conscience, et à travers lequel nous laissons une trace durable de notre passage dans le monde des vivants.

Bravo Matti ! Nous le vivons en conscience claire, depuis plus de dix ans, sous le nom de voyage astral collectif. Pourtant aucun de nous n’appellerait ça le shift…

 

 

ADN vermoulu

« La cosmologie du physicien finnois Matti Pitkänen a établi, semblerait-il pour la première fois, un lien entre le corps physique et la conscience. Dans cette théorie, les trous de ver (ou vermoulures) jouerait un rôle majeur. Les vermoulures (worm holes) ont été nommées ainsi par le physicien John Wheeler. Il s’agirait de microscopiques canaux de connexion à travers l’hyperespace, qui apparaissent suite à des fluctuations du vide quantique. Selon la théorie de Pitkänen, tout le long de l’ADN s’accolent les vermoulures qui lui servent de canaux de communication. » (source)

La très antique sagesse traditionnelle a été pillée dans l’antiquité grecque par Pythagore notamment. Cette sagesse, nous l’effleurons à peine, et les scientifiques moins que les autres. Elle enseigne que l’Homme possède toutes les valeurs du cosmos, établissant ainsi un lien étroit entre l’organisme humain et l’organisation de l’univers à laquelle il est intimement relié.

Peut-être Matti Pitkänen avait-il lu Pythagore? En ce cas, par la vermoulure pythagoricienne, il s’est trouvé connecté à cette sagesse primordiale, celle que nous ont enseigné les déesses primordiales. Matti Pitkänen a l’ouïe fine.

 

Géo-métro-dynamique topologique

Le physicien finnois a postulé, il y a déjà quelques années, une brillante théorie sur la manière dont l’univers était constitué, avec, à la base, une nouvelle géométrie spatiale basée sur huit dimensions : la géo-métro-dynamique topologique (TDG). Dans cette théorie compliquée, difficilement compréhensible même pour les savants, les trous de vers (ou vermoulures) jouent un rôle important.

Les vermoulures ont été nommées ainsi pour la première fois par le physicien John Wheeler. Il s’agit de microscopiques canaux de connexion à travers l’hyper-espace, qui apparaissent suite à des fluctuations et des variations du vide quantique.

Cet étrange nom est le résultat d’une blague de Wheeler, qui a comparé ces structures à des trous faits par les vers dans une pomme. La théorie de Pitkänen est très provocante, parce que, pour la première fois dans l’histoire des sciences, elle tente d’établir une relation entre la physique et la biologie, ce qui mène à une véritable cosmologie du vivant. Franchement je n’attendais que ça !

 

ADN fantôme

Cette théorie s’appuie sur les travaux du biologiste russe Garjajev et du physicien russe Poponin. Ils ont irradié un échantillon d’ADN au laser, et ont obtenu sur l’écran un modèle typique d’ondes. S’ils enlevaient l’échantillon d’ADN, ces ondes ne disparaissaient pas! Elles persistaient comme si le fragment d’ADN était toujours là. L’effet, reproductible à volonté, est appelé l’effet ADN-fantôme. Selon ces chercheurs, l’ADN émettrait des ondes dans le vide au sein duquel une vermoulure apparaîtrait : « induite par la présence de matière vivante, elle pourrait persister plusieurs mois selon les cas. »  (source)

Plusieurs mois seulement? C’est bien peu, mais c’est déjà ça. Question survie, il faudra s’en contenter. Ce qui revient à dire que nous laissons dans l’univers une trace qui hélas n’est pas de très longue durée. Elle s’effacera donc peu après notre mort, mais elle nous survit tout de même. Ce qui invalide le concept de vie éternelle cher aux chrétiens. Mais ce qui corrobore la conception nagualiste de l’après-vie.

 

 

Le bec de l’Aigle

Dans cette sagesse amérindienne, la mort du corps est suivie par l’ascension de l’âme vers le trou noir du centre galactique, que les sorciers amérindiens appellent l’Aigle.

Cet Aigle n’en est pas vraiment un : il correspond peu ou prou à la rencontre avec l’être de lumière, décrite par tous ceux qui ont vécu une Expérience de Mort Imminente (EMI) ou Near Death Experience (NDE). D’abord la conscience traverse un long tunnel, c’est la traversée accélérée de notre galaxie la Voie Lactée. Au débouché de ce tunnel, il y a la rencontre avec l’être de lumière, effusion d’amour et de lumière, systématiquement interrompue par le retour à la vie corporelle. Ceux qui ont témoigné n’ont jamais poursuivi l’expérience jusqu’au bout, car ceux qui l’ont fait ne sont pas revenus nous raconter.

 

Conscience totale

Le nagualisme va plus loin. Il affirme que l’Aigle se nourrit de nos émotions. Pour les absorber, il doit dérouler notre conscience, la mettre à plat afin de l’absorber. À mesure qu’il l’absorbe, nous la perdons, pour finir comme HAL, le grand ordinateur de bord du vaisseau sidéral dans  2001 l’odyssée de l’espace.

De même que le corps physique est rendu à la matière brute après la mort, de même notre âme est rendue à la conscience universelle par le biais de l’Aigle. Ainsi s’efface toute trace de notre passage, dans un délai qui varie de quelques jours à plusieurs mois. Ne nous réjouissons donc pas trop vite des traces que nous laisserons, elles ne sont guère durables…

« Au début des années soixante, le biologiste britannique Rupert Sheldrake, de l’université de Cambridge, avait élaboré une théorie disant que chaque être vivant laisse une trace visible de son existence. Pour la première fois, Pjotr Garjajev a pu rendre visible cette trace dans un laboratoire. La question est la suivante : à quoi sert cette trace ? Avec qui ou avec quoi « chuchotent» nos gènes ? Comment communique l’ADN, et dans quel but le fait-il ? » (source) 

Hypercommunication

« D’après la théorie de Pitkänen, cette communication ne se fait pas de manière classique, mais à travers les vermoulures magnétisées, c’est-à-dire hors de l’espace-temps, à travers les dimensions plus élevées de l’hyper-espace. On parle de ce fait d’hypercommunication. 

Comme dans l’internet, l’ADN peut :
– Introduire ses propres données dans ce réseau
Extraire des données de ce réseau
Etablir un contact direct avec d’autres participants de ce réseau. 

On peut dire, d’une certaine façon, que l’ADN possède sa propre page internet, qu’il peut surfer et qu’il peut échanger avec d’autres participants. » (source)

 

 

Hénoch et Molay

J’en donne un bon exemple avec les aventures astrales du patriarche Hénoch et du grand maître du temple Jacques de Molay. Ils communiquent parfaitement entre eux, alors que le Templier est mort brûlé vif au Moyen Age, et que le patriarche…??

D’Hénoch, on ne sait pas grand’chose. J’imagine même qu’il est encore vivant quelque part. Sous forme organique, ou sous forme de simple trace ? Je n’ai pas la réponse. Pas encore ! Mais son histoire est en cours, ne manquez pas la suite !

« Ce qui est plus incroyable encore, l’ADN n’est pas limité à sa propre espèce, comme on pourrait peut-être le croire. L’information génétique d’êtres différents peuvent également « échanger » entre eux (entre différentes formes de vie). L’hypercommunication devient donc la première interface à travers laquelle les formes d’intelligence les plus variées sont unies entre elles. »  (source) 

 

Des milliards d’antennes

Ce qui attesterait l’existence de la conscience de groupe, mais aussi de la communication avec des intelligences extraterrestres. C’est pour des groupes humains ou animaux, la possibilité de transmettre des savoir-faire et d’agir de manière coordonnée sans faire usage d’aucun langage. Dans la compréhension du processus d’apprentissage et des ressorts inconnus de la conscience, les conséquences sont immenses.

« Chacune de nos cellules contient une molécule d’ADN. Par cette voie, des milliards d’antennes de communication seraient en action permanente. Notre conscience, apparemment, ne s’en est pas rendue compte à ce jour. » (source) S’il parle de la conscience de l’individu moyen, il a raison. Mais la conscience supérieure s’en rend compte depuis qu’il y a des éveillés. Et ça fait un fameux bail.

« Au cours de l’histoire, il y a toujours eu quelques individus spéciaux qui ont fait évoluer l’humanité, par des idées révolutionnaires, scientifiques ou culturelles. Mais personne ne s’est sérieusement posé la question de la manière dont ceci était possible. On a parlé de créativité, donc de la faculté à penser de manière nouvelle et différente, de créer des réalités virtuelles qui ont pu être appliquées dans la réalité. Mais l’étincelle, l’inspiration, l’acte de découvrir, n’ont jamais été expliquées. Elles ne résultent pas d’une pensée logique et rationnelle. » (source)  

 

 

Vide quantique

La découverte apparaît comme un flash, une évidence surgie de nulle part. Ou surgie du vide quantique ? Acheminée par les micro-canaux de l’ADN ? En ce cas, d’où vient-t-elle ? 

« La science exige, comme preuve, la répétitivité d’une expérience, dans des conditions contrôlées d’un laboratoire. Peut-on provoquer la créativité ou l’inspiration en laboratoire, et générer dans un être humain un savoir jusque-là inconnu et inédit ? » (source)

 

Ici Grand Tout

Mouais… Certains individus ont accès à ce savoir. Ils utilisent ces vermouluresou autre chose pour se connecter avec le Grand Tout. Qui sont-ils ? Les tout-petits, du nourrisson jusqu’à l’âge de 3 ans, sont reliés au cosmos. Et les éveillés retrouvent ce pouvoir. Amusant de voir des scientifiques se pencher sur ces questions et tenter d’y apporter des réponses calibrées. C’est ainsi que progresse la science, à petits pas, sans le moindre saut quantique. L’homme vient du singe, le savant vient du singe savant.

Mais les éveillés ne les ont pas attendus pour pratiquer  l’hyper-communication. Quand votre serviteur se déplace sur la ligne de temps, quand il se rend aux annales akashiques pour y piocher les infos qui lui manquent, que croyez-vous qu’il fabrique ? De l’hypercomm ! Savoir si elle passe par les trous de vers ou par les trous de nez lui fait une belle jambe ! Elle pourrait aussi bien passer par son trou du (censuré), l’important est qu’elle passe.

 

 

Trous de ver et ondes scalaires

L’auteur ajoute ceci, qui m’a comblé de joie : Notre corps ne peut pas seulement générer de la lumière, sous forme de biophotons, mais il est également en mesure d’extraire de la lumière de l’environnement. Il peut même stocker cette lumière, notamment dans l’ADN, qui est également le plus impliqué dans la radiation biophotonique. Par sa forme caractéristique de double-hélice, l’ADN est une antenne électromagnétique idéale. D’une part, il est allongé, et par là une antenne droite qui peut très bien capter les impulsions électriques. D’autre part, il est également circulaire (vu d’en haut) et par là, il est aussi une excellente antenne magnétique. (source)

Voilà qui confirme parfaitement mes travaux sur les ondes scalaires ! Ce sont des ondes spirales, comme l’ADN. Elles se déplacent instantanément à travers de longues distances, comme si elles passaient par des trous de ver. Elles ont la capacité de transmettre la lumière et de susciter son élaboration à l’intérieur du corps, comme je l’ai indiqué.

 

Le repos du cerveau

Notre cerveau a besoin de repos, c’est grâce à cette apparente déconnexion qu’il devient le plus productif et peut produire des idées neuves. Il serait temps que les entreprises et l’ensemble du patronat en prennent conscience, au lieu de poursuivre des chimères obsolètes et dangereuses.

« Le travail a évolué depuis la taylorisation et pourtant nous travaillons de la même manière. Nous croyons encore que la productivité est uniquement liée au temps de travail passé à son poste mais à l’ère de l’économie de la connaissance, cette position est obsolète », affirme Gaetan de Lavilleon, docteur en neurosciences, co-fondateur et directeur de Cog’X. C’est en se sensibilisant au fonctionnement du cerveau et à la collision entre le physique et le cognitif que l’entreprise pourra adapter son impact sur le bien-être et la performance de ses collaborateurs. (source)

 

Cerveau tu dors, ton moulin ton moulin va trop vite
Cerveau tu dors, ton moulin ton moulin va trop fort
 

Queue basse

C’est par le repos du cerveau que surgit la véritable intelligence. Encore un tout petit pas, et les neuromachinologues avoueront la queue basse que sans le cerveau, on serait moins cons, et eux d’abord. Depuis le temps que les éveillés le savent et que je le claironne sur toutes les ondes, et pas seulement les ondes cérébrales !

Marre d’en avoir marre. Ras le bol d’être la voix qui crie dans le désert : « Crème glacées! Boissons fraîches!! » Il serait temps qu’on écoute ceux qui voient, ceux qui savent grâce à leur corps astral et à ses pouvoirs inconnus… Inconnus des universitaires seulement, je m’empresse de le préciser. Là où n’importe quel gamin s’envoie en l’air en passant par les trous de vers de son ADN, les savants nous pondent stricto sangsues des pages et des pages indigestes pleines de chiffres et de schémas fort laids.

N’importe qui vous dira qu’un savant est moins utile qu’un savon. Le premier ne nettoie rien, il salit tout. Laissez les penseurs à Rodin, au moins il en a fait quelque chose. Lui ou Camille Claudel, je n’en sais rien…

 

L’amour inconditionnel

La lumière émise par le cerveau (et sans doute d’autres parties du corps) peut se lire dans le regard. Plus l’individu émet de lumière, plus ses yeux brillent. Là encore je souscris à la théorie de Pitkänen. Encore une question : pour émettre et recevoir les ondes scalaires, quelle antenne utilisons-nous ? Il se pourrait en effet que ce soit l’ADN. Sa forme hélicoïdale et son incroyable longueur le rend apte à cette fonction, d’autant mieux s’il est connecté aux vermoulures cosmiques.

Comme vous le voyez, tout se rejoint, le puzzle se complète d’admirable façon, et décidément tous les chemins mènent à Rome. Je n’ai pas besoin de chercher des preuves, elles viennent à moi comme attirées par un aimant. Aimant, je le suis. J’aime. Là est l’origine du mot et la source de tout.

 

 

Cosmogonie

 

Astral Saga

 

Le petit bourgeois se noie dans les eaux glacées du calcul égoïste
Karl Marx – Friedrich Engel