Une théorie émergente suggère que le réseau internet ne serait que la piètre copie d’un internet biologique infiniment plus puissant, que chacun possède, qui permet de communiquer de conscience à conscience, et à travers lequel nous laissons une trace durable de notre passage dans le monde des vivants.
« La cosmologie du physicien finnois Matti Pitkänen a établi, semblerait-il pour la première fois, un lien entre le corps physique et la conscience. Dans cette théorie, les trous de ver (ou vermoulures) jouerait un rôle majeur. Les vermoulures (worm holes) ont été nommées ainsi par le physicien John Wheeler. Il s’agirait de microscopiques canaux de connexion à travers l’hyperespace, qui apparaissent suite à des fluctuations du vide quantique. Selon la théorie de Pitkänen, tout le long de l’ADN s’accolent les vermoulures qui lui servent de canaux de communication. »
ADN fantôme
Cette théorie s’appuie sur les travaux du biologiste russe Garjajev et du physicien russe Poponin. Ils ont irradié un échantillon d’ADN au laser, et ont obtenu sur l’écran un modèle typique d’ondes. S’ils enlevaient l’échantillon d’ADN, ces ondes ne disparaissaient pas ! Elles persistaient comme si le fragment d’ADN était toujours là. L’effet, reproductible à volonté, est appelé l’effet ADN-fantôme. Selon ces chercheurs, l’ADN émettrait des ondes dans le vide au sein duquel une vermoulure apparaîtrait : « induite par la présence de matière vivante, elle pourrait persister plusieurs mois selon les cas. » (source)
Plusieurs mois seulement ? Mes amis, la trace que nous laissons dans l’univers n’est pas de longue durée ! Elle s’efface donc peu après notre mort, ce qui corrobore la conception nagualiste de l’après-vie. Dans cette sagesse amérindienne, la mort du corps est suivie par l’ascension de l’âme vers le trou noir du centre galactique, que les sorciers amérindiens appellent l’Aigle. Cet Aigle n’en est pas vraiment un : il correspond peu ou prou à la rencontre avec l’être de lumière, décrite par tous ceux qui ont vécu une Expérience de Mort Imminente (EMI) ou Near Death Experience (NDE). D’abord la conscience traverse un long tunnel, c’est la traversée accélérée de notre galaxie la Voie Lactée. Au débouché de ce tunnel, il y a la rencontre avec l’être de lumière, effusion d’amour et de lumière, systématiquement interrompue par le retour à la vie corporelle. Ceux qui ont témoigné n’ont jamais poursuivi l’expérience jusqu’au bout, car ceux qui l’ont fait ne sont pas revenus nous raconter.
Le nagualisme va plus loin. Il affirme que l’Aigle se nourrit de nos émotions. Pour les absorber, il doit dérouler notre conscience, la mettre à plat afin de l’absorber. A mesure qu’il l’absorbe, nous la perdons, pour finir comme HAL, le grand ordinateur de bord du vaisseau sidéral dans 2001 l’odyssée de l’espace. De même que le corps physique est rendu à la matière brute après la mort, de même notre âme est rendue à la conscience universelle par le biais de l’Aigle. Ainsi s’efface toute trace de notre passage, dans un délai qui varie de quelques jours à plusieurs mois. Ne nous réjouissons donc pas trop vite des traces que nous laisserons, elles ne sont guère durables…
« Au début des années soixante, le biologiste britannique Rupert Sheldrake, de l’université de Cambridge, avait élaboré une théorie disant que chaque être vivant laisse une trace visible de son existence. Pour la première fois, Pjotr Garjajev a pu rendre visible cette trace dans un laboratoire. La question est la suivante : à quoi sert cette trace ? Avec qui ou avec quoi « chuchotent» nos gènes ? Comment communique l’ADN, et dans quel but le fait-il ? » (source)
Hypercommunication
« D’après la théorie de Pitkänen, cette communication ne se fait pas de manière classique, mais à travers les vermoulures magnétisées, c’est-à-dire hors de l’espace-temps, à travers les dimensions plus élevées de l’hyper-espace. On parle de ce fait d’hypercommunication. Comme dans l’internet, l’ADN peut : – Introduire ses propres données dans ce réseau – Extraire des données de ce réseau – Etablir un contact direct avec d’autres participants de ce réseau.
On peut dire, d’une certaine façon, que l’ADN possède sa propre page internet, qu’il peut surfer et qu’il peut échanger avec d’autres participants. » (source)
J’en donne un bon exemple avec les aventures astrales du patriarche Hénoch et du grand maître du temple Jacques de Molay. Ils communiquent parfaitement entre eux, alors que le Templier est mort brûlé vif au Moyen Age, et que le patriarche… D’Hénoch, on ne sait pas grand’chose. J’imagine même qu’il est encore vivant quelque part. Sous forme organique, ou sous forme de simple trace ? Je n’ai pas la réponse. Pas encore ! Mais son histoire est en cours, ne manquez pas la suite !
« Ce qui est plus incroyable encore, l’ADN n’est pas limité à sa propre espèce, comme on pourrait peut-être le croire. L’information génétique d’êtres différents peuvent également « échanger » entre eux (entre différentes formes de vie). L’hypercommunication devient donc la première interface à travers laquelle les formes d’intelligence les plus variées sont unies entre elles. » (source) Ce qui attesterait l’existence de la conscience de groupe. C’est pour des groupes humains ou animaux, la possibilité de transmettre des savoir-faire et d’agir de manière coordonnée sans faire usage d’aucun langage. Dans la compréhension du processus d’apprentissage et des ressots inconnus de la conscience, les conséquences sont immenses.
« Chacune de nos cellules contient une molécule d’ADN. Par cette voie, des milliards d’antennes de communication seraient en action permanente. Notre conscience, apparemment, ne s’en est pas rendue compte à ce jour. » (source) S’il parle de la conscience de l’individu moyen, il a raison. Mais la conscience supérieure s’en rend compte depuis qu’il y a des éveillés. Et ça fait un fameux bail.
« Au cours de l’histoire, il y a toujours eu quelques individus spéciaux qui ont fait évoluer l’humanité, par des idées révolutionnaires, scientifiques ou culturelles. Mais personne ne s’est sérieusement posé la question de la manière dont ceci était possible. On a parlé de créativité, donc de la faculté à penser de manière nouvelle et différente, de créer des réalités virtuelles qui ont pu être appliquées dans la réalité. Mais l’étincelle, l’inspiration, l’acte de découvrir, n’ont jamais été expliquées. Elles ne résultent pas d’une pensée logique et rationnelle. » (source) La découverte apparaît comme un flash, une évidence surgie de nulle part. Ou surgie du vide quantique ? Acheminée par les micro-canaux de l’ADN ? En ce cas, d’où vient-t-elle ?
« La science exige, comme preuve, la répétitivité d’une expérience, dans des conditions contrôlées d’un laboratoire. Peut-on provoquer la créativité ou l’inspiration en laboratoire, et générer dans un être humain un savoir jusque-là inconnu et inédit ? » (source)
Mouais… Certains individus ont accès à ce savoir. Ils utilisent ces vermouluresou autre chose pour se connecter avec le Grand Tout. Qui sont-ils ? Les tout-petits, du nourrisson jusqu’à l’âge de 3 ans, sont reliés au cosmos. Et les éveillés retrouvent ce pouvoir. Amusant de voir des scientifiques se pencher sur ces questions et tenter d’y apporter des réponses enregistrables. C’est ainsi qu’elle progresse. Mais les éveillés ne les ont pas attendus pour pratiquer l’hypercommunication. Quand votre serviteur se déplace sur la ligne de temps, quand il se rend aux annales akashiques pour y piocher les infos qui lui manquent, que croyez-vous qu’il fabrique ? De l’hypercomm ! Savoir si elle passe par les trous de vers ou par les trous de nez lui fait une belle jambe ! Elle pourrait aussi bien passer par son trou du (censuré), l’important est qu’elle passe.
Trous de ver et ondes scalaires
L’auteur ajoute ceci, qui m’a comblé de joie : Notre corps ne peut pas seulement générer de la lumière, sous forme de biophotons, mais il est également en mesure d’extraire de la lumière de l’environnement. Il peut même stocker cette lumière, notamment dans l’ADN, qui est également le plus impliqué dans la radiation biophotonique. Par sa forme caractéristique de double-hélice, l’ADN est une antenne électromagnétique idéale. D’une part, il est allongé, et par là une antenne droite qui peut très bien capter les impulsions électriques. D’autre part, il est également circulaire (vu d’en haut) et par là, il est aussi une excellente antenne magnétique. (source)
Voilà qui confirme parfaitement mes travaux sur les ondes scalaires ! Ce sont des ondes spirales, comme l’ADN. Elles se déplacent instantanément à travers de longues distances, comme si elles passaient par des trous de ver. Elles ont la capacité de transmettre la lumière et de susciter son élaboration à l’intérieur du corps, comme je l’ai indiqué. La lumière émise par le cerveau (et sans doute d’autres parties du corps) peut se lire dans le regard. Plus l’individu émet de lumière, plus ses yeux brillent. Là encore je souscris à la théorie de Pitkänen. Encore une question : pour émettre et recevoir les ondes scalaires, quelle antenne utilisons-nous ? Il se pourrait en effet que ce soit l’ADN. Sa forme hélicoïdale et son incroyable longueur le rend apte à cette fonction, d’autant mieux s’il est connecté aux vermoulures cosmiques.
Comme vous le voyez, tout se rejoint, le puzzle se complète d’admirable façon, et décidément tous les chemins mènent à Rome. Je n’ai pas besoin de chercher des preuves, elles viennent à moi comme attirées par un aimant. Aimant, je le suis. J’aime. Là est l’origine du mot et la source de tout.