Souvenirs d’Hyperborée
Je me souviens d’Hyperborée. J’y ai grandi bercé par les fées, allaité par les muses.
Je me souviens d’Hyperborée. J’y ai grandi bercé par les fées, allaité par les muses.
Il se réveille encore, sans hâte, comme on revient d’un voyage qui ne peut pas s’écrire.
Quand la pluie crépite sur les tuiles de sa maison, rue du Gué aux Aurochs, il s’abandonne aux songes.