Que les nostalgiques de Zeus ou de Shiva se consolent : les Dieux de l’âge d’argent n’étaient certainement pas aussi cool qu’on pourrait le croire. Ils avaient un éventail d’armes aussi effroyables que variées.
Nous avons vu les armes de destruction massive que gardait Shiva. Et celles que Yahveh a utilisé pour détruire Sodome et Gomorrhe. Et dans les deux cas, nous avons reconnu ce qui semble être une bombe nucléaire, mais les armes que je vais évoquer ici n’ont pas encore été réinventées par nos Docteurs Folamour. « Le fils de Drona, ayant établi le contact, déchargea la Narayana. » Ainsi se nomme l’arme divine. Aussitôt, ce ne fut qu’explosion de vents violents, trombes, tonnerres, séïsmes, tsunamis… « Et les montagnes se fendaient. Quand le rayon frappait les guerriers, ils devenaient transparents et disparaissaient. » (source)Mahabharata, Drona Parva, cité par Michel Bougard, La chronique des ovnis, p. 38
AVIS AUX LECTEURS J’ai écrit une première mouture de cette page il y a 7 ans, elle vient d’être considérablement augmentée, aussi l’ai-je postdatée.
« Un énorme projectile flamboyant fut lancé. Il brûlait d’un feu sans fumée. Une obscurité profonde enveloppa les troupes et leurs armes. Un vent terrible commença à souffler, d’épais nuages couleur de sang descendirent à ras de terre, la nature semblait folle et le soleil tournait sur lui-même. Les ennemis tombaient comme des brindilles calcinées. L’eau des fleuves se mit à bouillir, tous ceux qui tentaient de s’y réfugier périssaient aussitôt.
Brûlés atrocement, des milliers d’éléphants et de chevaux remplissaient l’air de leurs cris, tandis qu’ils couraient affolés parmi les flammes. Après toute cette terrible confusion, une brise forte et fraîche dissipa la fumée et éclaircit l’horizon. Spectacle terrifiant ! Sur le champ de bataille, brûlés par une arme épouvantable dont nous n’avions jamais entendu parler, des milliers de tués étaient réduits en cendres. Ce projectile puissant et terrible avait pour nom l’Arme d’Agneya. Il ressemblait à un long fuseau pointu et était introduit dans un gros tube de guidage, dont la portée pouvait être réglée.« (source)Mahabharata
Ces dernières lignes, surtout, nous font toucher du doigt l’évidence : il est bel et bien question d’un arsenal moderne, avec des rockets, des fusées, des bombes de plusieurs sortes, des lasers, des bombardiers lance-missiles, sans doute des chars d’assaut ou autres blindés.
On trouve des descriptions très réalistes de combinaisons et de casques de protection : « Les guerriers attachés aux superarmes avaient des vêtements très collants ou des tuniques spéciales et tous portaient sur la tête des casques qui s’appuyaient sur les épaules » (source)extrait du Ghatotrachabadma
« Nous aperçûmes dans le ciel quelque chose qui ressemblait à un nuage écarlate comme les flammes cruelles d’un feu ardent. De cette masse émergea un énorme vimana peint en noir qui lança de nombreux projectiles flamboyants; le bruit qu’il faisait en se rapprochant de la terre ressemblait à celui de mille tambours roulant tous ensemble.
Le vimana se rapprochait du sol à une vitesse incroyable. Il lançait des armes étincelantes comme l’or, des milliers de foudres accompagnées d’explosions violentes et des centaines de roues de feu. Ce fut un tumulte affreux, pendant lequel on vit tomber les chevaux, les éléphants de guerre et des milliers de soldats tués par les explosions. L’armée en déroute fut poursuivie par le terrible vimana jusqu’à ce qu’elle fût anéantie. » (source)Drona Parva, 18e siècle EC
Des mouches pour des gamins méchants, voilà ce que nous sommes pour les dieux; ils nous tuent pour s’amuser.
Descriptions éloquentes : on dirait des armes modernes, comme celles du haut-relief égyptien d’Abydos qu’on peut voir ci-dessous.
Le haut-relief égyptien ici, antérieur à 3500 BPBP = Before Present. 3500 BP correspond à -1500 nous montre des armes modernes : on peut y reconnaître un hélicoptère, un jet de chasse et un autre avion, proches de modèles actuels. Chez les archéologues coincés, cette fresque a nourri une polémique de la plus mauvaise foi. Et pourtant ces fresques sont l’exacte illustration des textes Hindous. Oui, je crois que les anciens possédaient des armes modernes et des avions, des fusées, des modules spatiaux et des vaisseaux-mères… Mais je ne suis pas diplômé en archéologie…
Davenport et Mohenjo Daro
Une ancienne ville très peuplée du Pakistan a été instantanément détruite 2 000 ans avant Jésus-Christ par une incroyable explosion qui n’a pu être provoquée que par une bombe atomique ou l’équivalent. C’est la conclusion déconcertante d’un chercheur britannique d’origine indienne, David Davenport. Cet expert du sanskrit a passé 12 ans à étudier d’anciens textes et preuves hindous sur le site de la grande ville antique Mohenjo Daro.
Pour Davenport, une explosion thermonucléaire n’est pas une hypothèse absurde. La description de l’immense puissance d’une telle arme figure dans le Mahabharata, section Drona Parva. L’arme s’appelle Agneya : C’était comme une fusée brillante dont la chaleur brûlait le monde comme une fièvre. Puis, les vents froids, les points cardinaux sont devenus clairs et légers. Apparemment, Indra mène une invasion cruelle. Dans le Rigveda, il est écrit: « Dévastez les plus forts comme le temps déchire les vêtements. »
Tous ceux qui n’ont pu fuir ont été massacré sur place. La touche finale était un holocauste soudain de feu. Davenport est revenu du Pakistan avec quelques échantillons de restes de la ville. Le CNR a mené une analyse sérieuse qui a surpris les chercheurs: les objets apportés par lui semblaient être soudés, vitrifiés par une chaleur pouvant atteindre 1 500 ° C, puis par un refroidissement soudain.
Quel phénomène naturel peut faire ça ? Aucun, pour Davenport. Selon lui, les destructions du royaume Danda décrites dans le Ramayana n’étaient que la fin de Mohenjo-Daro, également identifiée comme Lanka, signifiant « île », sur laquelle Mohenjo-Daro a été construit. Ce qui a été trouvé sur le site de Mohenjo Daro est identique à Nagasaki, déclare Davenport, qui a publié ses découvertes dans un livre étonnant, « Atomic Destruction in 2000 BC », à Milan, en 1979. Il y avait un épicentre d’environ 50 mètres de large où tout était cristallisé ou fondu, écrit-il.
A soixante mètres du centre, les briques sont fondues et portent les traces d’un souffle violent. L’événement horrible et mystérieux qui a détruit Mohenjo Daro il y a 4 000 ans a été consigné dans un ancien manuscrit hindou appelé le Mahabharata :
Une fumée blanche et mille fois plus brillante que le soleil se levait avec une brillance infinie et réduisait la ville en cendres, lit-on dans le récit. De l’eau bouillie … des milliers de chevaux et de chars de guerre furent brûlés. les cadavres des soldats tombés au combat ont été mutilés par la chaleur accablante pour ne plus ressembler à des êtres humains …
La description se termine ainsi :
C’était un spectacle terrible à voir … jamais auparavant nous n’avions vu une telle arme horrible.
Les 30 000 habitants de la ville ont eu sept jours pour sortir – cet avertissement clair montre que la destruction était programmée. De toute évidence, certaines personnes n’ont pas tenu compte de cet avertissement, car 44 squelettes humains y ont été découverts en 1927, quelques années seulement après la découverte de la ville.
Voilà qui rappelle l’épisode de Sodome et l’avertissement de Yahveh à Loth pour qu’il quitte la ville avant sa destruction. Et ça rappelle aussi Noé, dans les multiples versions internationales du déluge, qui est prévenu avant la catastrophe. On peut léguitimement en conclure que toutes ces catastrophes ont été causées par les dieux d’avant, les terraformeurs de cette planète, nos chers créateurs aux-mêmes.
A Mohenjo Daro, beaucoup d’habitants n’ont pas pu s’enfuir. Toutes les victimes ont été surprises. Par exemple, on a retrouvé un père, une mère et un enfant aplatis dans la rue, face cachée et toujours en se tenant la main. Il est intéressant de noter que les textes anciens se réfèrent à plusieurs reprises aux Vimanas, ou engins volants. Ils savaient s’affranchir de la gravité, semble-t-il. Les temples indiens ont des coupoles qui évoquent la forme de ces anciens ovnis.
La théorie de Davenport a suscité un vif intérêt dans la communauté scientifique. William Sturm, expert de renommée nationale, a déclaré: la fonte des briques à Mohenjo Daro n’aurait pas pu être causée par un incendie normal … Le professeur Antonio Castellani, ingénieur spatial à Rome, a ajouté: il est possible que ce qui s’est passé à Mohenjo Daro ne soit pas un phénomène naturel. (source)