L’existence de piles et de lampes électriques est attestée depuis la plus haute antiquité. Par la suite, le secret de l’électricité s’est perdu …jusqu’à ce qu’on la redécouvre récemment.

En Asie, en Afrique, en Europe ou en Amérique, l’antique histoire de l’électricité est contée par des textes, mais aussi par des objets, des statues, des fresques, des sculptures ou des bas-reliefs avec un luxe de détails qui pourrait en faire une véritable encyclopédie de l’électro-magnétisme. A quelques nuances près…

 

La pile de Bagdad

Pour ceux qui douteraient encore du lointain passé de la fée électricité, la pile ou batterie de Bagdad apporte une preuve digne de Saint Thomas : elle est censée avoir environ 2000 ans.datée de la période parthe, env. 250 AEC à 250 EC La jarre a été découverte à Khujut Rabu aux portes de Bagdad. La jarre en argile possède un bouchon isolant en asphalte percé d’une tige de fer entourée d’un cylindre de cuivre. Remplie de vinaigre – ou de toute autre solution électrolytique – la jarre produit environ 1,1 volt. Les anciens savaient produire l’électricité à l’aide de piles, et plus encore. Ils avaient également maîtrisé une source d’électricité que nous nous obstinons à négliger, pour une raison sordide. Une affaire de gros sous, comme d’hab. Incroyable mais vrai : les anciens utilisaient l’électricité atmosphérique, ou géo-énergie, qui a toujours été gratuite. Elle existe partout, il suffit d’une antenne pour la capter, mais elle ne marque pas au compteur EDF. Au siècle de l’argent roi, l’énergie gratuite n’a pas d’intérêt. Faut-il en conclure que les « dieux d’avant » se foutaient du pognon ? Quoi qu’il en soit, ils connaissaient très bien la foudre : « Le temple de Salomon et la bibliothèque d’Alexandrie possédaient des paratonnerres. » (source)Histoire magazine, juillet-aout 1997 C’est vrai, et la Maison du Ciel que Gilgamesh construisit à Uruk en possédait aussi. 

 

Capteurs de foudre

S’agissait-il de paratonnerres ou de capteurs de foudre ? Jadis, on piégeait la foudre pour en extraire le précieux Vril. Les pyramides du Mexique ont à leur base une couche de mica pour éviter que cette précieuse énergie soit remise à la terre. 

Aujourd’hui, nous piégeons l’énergie Vril dans nos paratonnerres, mais nous nous empressons de la remettre à la terre malgré nos besoins énergétiques.  Et il n’y a pas que le Vril fulgural qu’on néglige. « Très curieusement, l’énergie électrique qui se construit sur toutes les surfaces métalliques et paratonnerres de la planète, nous la jetons dans les mises à la terre, où elle se dissipe aussitôt » (source)Nikola Tesla, mémoires Pendant qu’on nous revend à prix d’or l’électricité d’un giga-barrage ou d’une centrale nucléaire, graves nuisances environnementales.  Est-ce un complot ?

 

 

Fantôme dans la machine 

Y a-t-il un fantôme dans la machine, ou un diable aux commandes ? Cette hypothèse n’est pas nécessaire. L’appât du gain suffit. « Plus curieusement encore, les codes électriques d’une bonne partie des pays industrialisés interdisent l’utilisation ou la commercialisation d’un équipement qui utiliserait une telle source d ‘énergie atmosphérique. » (source)Nikola Tesla, Mémoires 

Quand c’est gratuit, c’est illégal. Chacals. Si jamais vous pensez qu’on nous prend pour des cons, vous avez raison. Au-delà de la sordide question d’argent, il y a là un gaspillage qui n’est pas seulement quantitatif, mais qualitatif. L’énergie Vril est beaucoup plus que de l’électricité. La physique quantique nous enseigne que dans chaque transmission d’énergie, il y a transmission d’information. L’énergie Vril apportait aux anciens les connaissances de l’esprit de la Terre (électricité atmosphérique) et de l’esprit de la Lumière (électricité fulgurale éclatée en boules de foudre). Quelle information peuvent bien véhiculer nos lignes à très hautes tension, mortifères, désastreuses pour l’environnement et le psychisme humain ?

 

 Un générateur Tesla

Feuilletant un livre d’art sur l’Egypte ancienne, un particulier bricoleur est tombé sur plusieurs images qui ont suscité son intérêt. Il a tout de suite identifié un générateur électrique, comme il en démonté et réparé des dizaines dans sa vie. Aussitôt il décidé de fabriquer l’engin qui fonctionne selon les expériences d’un certain… Nikola Tesla !!! Ce génial inventeur avait des théories sur l’électricité atmosphérique qui font penser, vraiment, aux conceptions des dieux d’avant sur le vril et son usage. En tout cas, ce générateur électrique fonctionne, c’est une preuve supplémentaire de l’électricité antique.

On peut se demander si le chandelier à sept branches –sacré pour les Juifs– ne serait pas une copie de cet antique générateur ? Beaucoup d’objets technologiques antiques ont ainsi été pris pour des symboles religieux, dès que leur véritable usage fut oublié. Les rabbins ont jalousement conservé la forme, comme Platon avec sa caverne. Mais le fond a disparu.

 

Les pyramides électriques

Garzia nous parle avec passion d’une Egypte antique qui possédait une grande expertise en électricité atmosphérique. La captation et l’utilisation de cette énergie étaient, tout comme aujourd’hui, sous la responsabilité d’un ingénieur électricien. Selon Garzia, à cette lointaine époque, les charges d’électricité entourant la terre étaient beaucoup plus élevées qu’elles ne le sont aujourd’hui. La pyramide était alors coiffée du fameux pyramidion en alliage polymétallique, maintenant disparu. 

 

 

Le pyramidion, paratonnerre antique, servait à capter les éclairs pour les éclater en boules de foudre, moins dangereuses. La foudre en boule est la forme la plus pure d’énergie vril. Mais il y en a d’autres : l’énergie atmosphérique, qui s’accumule dans toutes les surfaces métalliques, la géo-énergie ou énergie subtile, produite par la rotation terrestre. Le pyramidion était un supraconducteur en orichalque, qui est un alliage oublié or-argent-cuivre-radium. Il attirait la foudre et l’électricité atmosphérique.

L’électricité suivait les plaques d’or qui revêtaient la pyramide, puis les tiges métalliques par les fameux « conduits d’aération » jusqu’à la chambre du roi. Ces conduits sont une énigme : malgré leur nom, ils n’ont jamais servi à aérer la chambre du roi. Ils n’ont pas servi non plus à observer telle ou telle étoile, n’en déplaise à Robert Bauval. D’ailleurs l’utilisation de conduits de pierre pour observer une étoile semble d’un intérêt douteux, surtout quand on possède des téléscopes.La découverte de très antiques loupes et objectifs de cristal taillé ne laissent aucun doute sur ce point   Aussi la majorité des égyptologues s’en tient à l’hypothèse de conduits d’aération, faute de mieux. 

 

 Upuaut, l’ouvreur de voie

Il y a quelques années, un petit robot surnommé Upuaut a été chargé d’explorer l’un de ces fameux conduits. Dans l’Egypte antique, le dieu Upuaut était l’ouvreur de voie. Un nom tout indiqué ! A mi-pente, le petit robot a buté sur une porte de pierre -ce qui ruine l’hypothèse de Bauval. Cette pseudo-porte comportait deux tiges métalliques où les scientifiques responsables du programme Upuaut ont cru identifier d’antiques poignées. 

Selon moi, ce ne sont pas des poignées mais les restes des barres de métal qui reliaient le pyramidion aux installations électro-psychiques de la chambre du roi. Comme je l’ai dit, la Grande pyramide, recouverte d’or, était couronnée d’un pyramidion d’or aussi, qui captait les éclairs. L’or est un excellent conducteur. Les « conduits d’aération » étaient en réalité des gaines destinées à recevoir deux tiges métalliques chargées de courant positif et négatif, la « porte » ne servant qu’à en maintenir l’écartement pour éviter un court-circuit. Sur la photo, on notera que les tiges de métal ont fondu, sans doute à la suite d’une surcharge électrique.

La connaissance et la maîtrise de l’électricité atmosphérique ou vril sont pour moi choses établies. Son utilisation semble encore banale aux premiers temps de l’Egypte antique, tout comme les engins volants. Puis les lampes, les arcs électriques et les dispositifs divers utilisant le vril sont tombés en panne, nul ne savait plus les remettre en marche, et il a fallu attendre l’époque moderne pour qu’on « invente » l’électricité. Non, oh que non, nous ne sommes pas les premiers. Et sur tous les plans, sans exception, les Anciens ont fait mieux que nous. Avant d’être souillé par ces connards de nazis, le vril fut longtemps un instrument d’éveil.

 

Xavier Séguin

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