L’énergie d’éveil

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Une des grandes merveilles de la science atlante est sans conteste l’énergie vril. Nous avons vu comment était utilisée cette électricité atmosphérique dans la haute antiquité.

Le plus curieux, c’est que sa fonction triviale, qui est quasiment celle de l’électricité ordinaire, est restée en usage à travers les siècles jusqu’à une époque récente.

Tout se passe comme si la fée électricité n’avait jamais été oubliée très longtemps…

Mais à côté de cet usage trivial, j’ai acquis la certitude que l’énergie Vril avait une fonction sacrée, celle de transformer l’homme en dieu en restaurant les pouvoirs perdus qui résultent de l’utilisation synchrone des deux hémisphères cérébraux

Le vril soigneusement dosé augmentait la tension électrique du système nerveux central et déclenchait une montée de kundalini. 

 

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La technique en était probablement fort complexe, ce qui explique qu’après avoir été parfaitement maîtrisée par les Atlantes, la connaissance exacte s’en soit perdue graduellement, transmise aux seuls initiés, comme les Lévites qui étaient seuls habilités à manipuler l’Arche d’Alliance.

Quelles que soient l’époque, la latitude et les circonstances, il semble que nos ancêtres aient toujours recherché l’éveil, l’illumination et la plénitude intérieure.

D’innombrables techniques ont été utilisées dans ce même but. Le bas-relief égyptien qui suit montre l’utilisation de ce que je pense être des caissons à Vril, sur le modèle des caissons hyperbares des plongeurs ou des caissons de déprivation sensorielle des années 80.

On notera la présence de câbles électriques reliant les caissons à des générateurs. Allongé nu dans ce caisson, le postulant recevait son baptême au vril. La décharge convenablement réglée assurait l’éveil sans risques majeurs.

On notera aussi que les câbles se raccordent aux caissons par une grande fleur de lotus, symbole d’éveil : la fleur du lotus bleu était consommée pour ses pouvoirs psychiques, comme la stimulation de la kundalini qui provoque l’éveil. Sur le caisson figure un serpent, symbole de la kundalini qui se déploie. On peut y voir aussi le filament dans une ampoule électrique. Les deux interprétations sont très compatibles.

 

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Ce bas-relief montre des géants manipulant un appareillage, où l’on retrouve le pilier djed, ainsi que des êtres plus petits, qui participent à l’activité en cours, quelle qu’elle soit. Comme on peut s’y attendre, les égyptologues unanimes voient dans le pilier djed je ne sais quelle allégorie qu’ils sont les seuls à connaître. Moi qui ne suis pas égyptologue, j’y vois ce que tout le monde voit, un appareil, une machine électrique qui servait à quelque chose d’utile, comme provoquer une montée d’énergie, par exemple. Certes, il y a pour ça une foule d’autres moyens coquins que les Egyptiens devaient connaître aussi.  

Le pilier djed est souvent représenté avec des bras, qui soutiennent ici un des caissons.  Cette façon de créer le contact fait penser au vril. En Egyptien ancien, djed signifie stabilité, durée. Un indice qui m’amène à penser que le djed pouvait servir à prolonger l’existence des dieux mortels, comme le soma pour les dieux hindous, l’ambroisie pour les dieux olympiens et l’hydromel pour les dieux celtes. Un petit coup de survoltage, et hop, l’ADN était rectifié, le sujet rajeunissait.

 Voilà ce que cette image me raconte. Toutes les images parlent, même si peu de gens comprennent leur langue. Les différentes scènes des bas-reliefs ou des fresques égyptiennes sont si précises qu’on peut penser que chaque détail est signifiant. On n’a pas le droit d’en négliger un seul. Le djed n’est pas un symbole, c’est un appareil précieux, d’une utilité majeure, d’où son omniprésence dans l’iconographie égyptienne. Ce pays fascinant n’aurait rassemblé que des chevriers en guenilles s’il n’avait pas reçu l’héritage atlante.

Si Garzia n’a pas saisi l’aspect sacré du vril antique, il est néanmoins persuadé de l’utilisation électrique des pyramides : « Des pyramides américaines et égyptiennes étaient posées sur une couche de mica, isolant électrique naturel encore utilisé de nos jours » (source)Garzia, loc. cit. Cette couche de mica servait manifestement à isoler un édifice soumis à de fortes tensions électriques, de façon que la charge ne soit pas mise à la terre. Les anciens tenaient à récupérer cette précieuse énergie.

 

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La « pyramide » conique de Silbury, près d’Avebury dans le Wiltshire (UK) montre parfaitement les différentes utilisations de l’électricité atmosphérique dans un passé lointain. Ce type de pyramide abonde dans nos régions. La plupart d’entre elles ne sont pas répertoriées, ni même remarquées tant elle font partie du paysage.  S’il en existe près de chez vous, s’il vous plaît, envoyez-moi une photo !

Ces collinettes sont de deux types : certaines ont la cime arasée, de manière à former une vaste surface plane élevée, ce sont des Trônes de Salomon, c’est à dire des pistes d’atterrissage d’engins volants pré-antiques. D’autres, comme Silbury Hill, sont d’anciens capteurs de foudre et vibre très bas sur l’échelle de Bovis. Inutile d’y grimper, dangereux de prolonger votre présence à son sommet, sauf si vous savez prendre la foudre à mains nues…

 

« Car nous n’avons pas à combattre contre le sang et la chair, mais contre les principautés, contre les puissances, contre les Seigneurs du monde, gouverneurs des ténèbres de ce siècle, contre les malices spirituelles qui sont dans les lieux célestes. »
Éphésiens 6 : 12