Depuis la nuit des temps, des êtres humains naissent, vivent et meurent sur cette belle planète bleue. Bien des catastrophes ont mis fin à bien des civilisations. Les savants sont sûrs que la seule civilisation avancée est la nôtre. Ne comprennent-ils pas que cette civilisation n’est pas civilisée ? Notre espèce est d’une extrême ancienneté, le mur de la mémoire est l’écran infranchissable au-delà duquel notre passé devient opaque. 

 

Rongo Rongo

Des traces de ces civilisations pré-antiques existent tout autour du monde, que les savants n’étudieront jamais. L’écriture Rongo Rongo gravée sur bois en l’île de Pâques n’a toujours pas été déchiffrée. Ces glyphes ont été formellement identifiés comme étant une langue, aucun doute là-dessus. Les Pascuans actuels ne savent rien à ce sujet, répétant qu’il s’agit de pierres très anciennes, qui étaient déjà sur l’île quand leurs ancêtres y sont arrivés. Tout comme les mohaïs, les statues géantes.

La solution Eden Saga: mettre tous ces glyphes sur informatique, comparer avec les glyphes des cinq continents, et découvrir avec stupeur (les chercheurs sont souvent stupéfaits, sinon stupides) qu’il s’agit d’une seule et même langue, extrêmement ancienne, du temps où les humains, beaucoup plus grands que nous, chevauchaient les dinosaures. Comme ces humains sur le bas-relief précédent, juchés sur des chevaux aux trop longues jambes pour être honnêtes. Des équidés disparus depuis des millions d’années.

Il n’y a pas que ça. De nombreuses preuves sont là, que les scientifiques négligent, enfouissent ou contestent. On se souvient de l’ultime scène d’Indiana Jones, quand un employé descend la précieuse arche perdue dans un vaste sous-sol où des milliers d’objets, soigneusement cloués dans des caisses, attendent une époque moins incrédule pour être examinés sans a-priori. Dans un tel hangar, pas de doute, l’arche retrouvée est perdue pour de bon.

 

 

Piska Nagri

Un village dans le centre de l’Inde a alimenté de nombreuses discussions sur les réseaux sociaux pour la découverte d’un mystérieux ensemble d’«empreintes» dans la roche à côté de représentations d’un objet volant.

Le village en question est appelé Piska Nagri, et il est situé dans la périphérie de la ville de Ranchi dans l’État de Jharkahnd. C’est là que le géologue Nitish Priyadarshi a étudié ces traces mystérieuses.  Selon ses estimations, l’âge de la roche est évalué à 200 millions d’années. Wahou !! C’est bien longtemps avant l’apparition de l’espèce humaine… À moins que cette dernière date soit bidon ?

Ces empreintes ressemblent à des semelles modernes, sans talon, pour évoluer dans des sols instables. Comme les bottes des astronautes ? En conformité avec une légende locale, elles pourraient attester la présence de dieux qui ont débarqué du ciel dans un passé lointain. Une d’elles mesure 28 centimètres de long et 11 centimètres de large. Les fidèles croient que les dieux-princes de la mythologie hindoue, le Seigneur Rama et le Seigneur Lakshmana ont passé du temps ici quand ils recherchaient Sita, la femme de Rama, enlevé par un démon géant. (source)

 

L’archéologie interdite

Mais ces preuves n’en sont pas pour les spécialistes. Comme d’hab, la science les récuse. Pour les archéologues il s’agit d’une singularité sans conséquence ni signification, mais pas pour Michael Cremo, le redresseur de torts. Il a rassemblé toutes les singularités archéologiques dans un fort volume de 850 pages.

On y trouve des crânes de géants et de nains, des squelettes d’hominidés effarants, des clous et des vis vieux de centaines de milliers ou de millions d’années, des nano-technologies extraterrestres ou pas, des engins volants dans la préhistoire, lisez-le plutôt. (source)Michael Cremo, Forbidden Archaelogy  Un tel nombre de singularités, voilà qui est singulier. La science du passé se ment et nous ment, c’est son affaire.

Chacun de nous est libre de se poser la question : quand est-ce que l’histoire humaine a vraiment commencé ? Les singularités archéologiques vont-elles reculer notre origine de plus en plus loin dans le temps, jusqu’à toucher ses limites, celles de la matière ? De là à affirmer que l’homme actuel ne descend ni du singe, ni d’aucun hominidé connu, le pas a déjà été franchi.

 

 

Darwin et Darloose

Ah Darwin, Darwin ! Quelle idée tu as eu d’écouter tes émules ! Pourquoi n’as-tu pas renié ta théorie, comme tu t’apprêtais à le faire, en constatant le nombre grandissant d’exceptions qui l’invalident ? Mais ton entourage de fans, à coup de « Maître! Divin Génie! Surhomme de tous les talents! » t’a supplié de n’en rien faire et ton ego a triomphé. Tant pis pour nous.

Bon, mais Darwin n’a pas pu se tromper partout, ni ses émules paléo-anthropologues depuis 150 ans. Les dates d’apparition des autres hominidés sont peut-être justes. Auquel cas, ni l’Homo erectus ni l’Homo faber ne seraient nos ancêtres, mais d’autres espèces apparues beaucoup plus tardivement que nous. À une époque où la science était développée ? Qu’on le veuille ou non, ces semelles de bottes spatiales ont de quoi dégommer tous nos clichés sur la préhistoire. Il semble y avoir eu, à des époques reculées, des civilisations comme la nôtre.

Des nations assez développées pour que leurs généticiens puissent créer des sous-êtres qui travailleraient pour eux. Ne riez pas, l’encyclopédie assyrienne dit que ce scénario s’est déjà produit : des dieux ont fabriqué une variété d’êtres à leur service. Et ces larbins des dieux, c’est nous. D’où le danger de tenir pour acquises les théories et les croyances de la science. Dans chaque discipline scientifique, le poids des honnêtes gens semble insuffisant par rapport à celui des caciques.

Mais ces vestiges qui décoiffent soulèvent une foule d’autres questions inouïes, dont la plus pressante concerne notre âge en tant qu’espèce. La science garde un silence assourdissant, empêtrée qu’elle est dans ses contradictions et son credo. Franchement, cette myopie devient agaçante. Elle témoigne d’un refus de voir les preuve en face. Ce qui ne vaut pas mieux que les œillères créationnistes.

La paléo-anthropologie va-t-elle connaître sa révolution quantique ? Rejoignant la métaphysique par le biais de la théorie des champs, osera-t-elle s’aventurer dans des confins de plus en plus flous, de plus en plus ontologiques ?

 

 

Un marteau de 400 millions d’années !

Célèbre physicien écossais, fondateur de l’Association britannique pour le progrès de la science, Brewster a fait d’importantes découvertes dans le domaine de l’optique. C’est un scientifique pointu, un homme digne de foi. David Brewster a mené son enquête sur cette question qui sortait de sa spécialité.

« Le Dr A. W. Medd du Service de recherches géologiques britannique nous a informés dans un courrier daté de 1985 que cette roche fait partie d’une formation de « vieux grès rouge inférieur » datant de 360 à 408 millions d’années. » (source)Cremo et Thompson, L’histoire secrète de l’espèce humaine Notons que la datation retenue pour le grès dévonien, donc le marteau, nous met en plein dans la période où les dinosaures régnaient en maîtres sur la Terre. Serait-ce l’un d’eux qui l’a perdu en retapant sa maison ?

Si ça se trouve, croyant galéjer, je ne fais qu’évoquer un fait. De nombreuses légendes tirées de mythologies mondiales laissent entendre que nous descendons des reptiliens, c’est à dire des dinosaures… De là à penser que ces grosses bêtes, au cours de leur très long règne, ont eu le temps de développer une espèce intelligente, il n’y a qu’un pas que je m’empresse de franchir. Oui, messieurs les scientifiques, si ce marteau n’appartenait pas à un être humain, alors il fut la propriété d’un dinosaure humanoïde.

Quel est ce bruit dans les coulisses ? Ah, les savants viennent de s’évanouir ? Qu’ils reposent en paix..

 

L’aube du monde

En ces temps improbables où le temps n’était pas, à l’aube du monde où l’esprit s’est incarné, ivre d’une puissance qu’il découvre en se confrontant avec la matière, l’humanoïde a-t-il pris des formes que nous attribuons aujourd’hui à l’animal ? L’esprit créateur a pris toutes sortes de corps physiques, mélangeant l’homme et l’animal, usant de tailles démesurées. Mais qui est l’esprit créateur ? Un être à notre image. Un surhomme qui est en nous. Ou pour mieux dire, une surfemme. La vierge mère, créatrice de tout ce qui vit sur cette planète et sur mille autre. La Déesse qui nous a donné sa lumière et sa paix.

Il n’y a pas de différence de nature entre l’humain et le divin. Juste une différence de degré.

Lao Surlam

 

Même si nous l’oublions souvent, nous sommes des êtres de lumière, et cette lumière-là n’est pas du domaine de la science. Edgar Cayce évoque ces temps précédant l’arrivée d’Adam sur terre, quand les hommes étaient des projections de pensées, quand le corps, moins matériel que le corps actuel, comportait les deux sexes. Il date cette première incarnation de dix millions cinq cent mille ans. 

 

 

L’éternité, notre origine

Alors d’où viennent ces traces de pas vieilles de 200 millions d’années ? D’où vient ce marteau de 400 millions d’années ? Mais d’abord, peut-on être sûr de ces dates ? Le temps a-t-il toujours été ce qu’il est devenu ? Les conditions géologiques et cosmo-telluriques n’ont-elles pas changé ? Questions innombrables qui restent sans réponse. Mais qui en soulèvent beaucoup d’autres…

En face de tels espaces d’éternité, la raison raisonnante n’est sans doute pas l’outil d’investigation adéquat. Ni la démarche scientifique, ni aucun dogmatisme. « Pour découvrir quelque chose sur l’homme, il faut aller voir le mythologue, tranquille collectionneur de fiction cosmique, qui n’a pas été pris vraiment au sérieux jusqu’à présent. Lui seul nous donnera le sens véritable des récits qui nous ont été transmis depuis des temps immémoriaux. » (source)Bellamy, Moon, Myth and Man

Je suis mythologue, et je remercie Bellamy qui écrivait ces lignes en 1938. Elles restent prophétiques. Depuis lors, le statut du mythologue, hélas, ne s’est pas amélioré. Pire : les tout-puissants néo-darwiniens nous vouent aux gémonies. Fantaisie et parti-pris seraient nos dogmes. Assurés d’être plus scientifiques que ces nouveaux prêtres, les mythologues s’en tiendront à leur spécialité.

Passer pour un idiot aux yeux d’un imbécile est une volupté de fin gourmet.

Georges Courteline

 

J’ai rédigé il y a peu un gentil délire qui m’est venu en songe : ma version du Big Bang. Eh bien, croyez-moi si vous voulez, le Big Bang est œuvre humaine. Mais oui, ce sont des humains comme nous, dans leur labo d’apprentis sorciers, qui ont eu cette idée marrante : si on inventait un nouvel univers ? Rigolez tant que vous voulez, ils y sont bel et bien arrivés. La preuve ? C’est nous.

 

Xavier Séguin

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