Dans les Andes toutes les cités des cimes sont impressionnantes. Mais peu d’endroits autant que Puma Punku, donnent l’impression de se trouver face à des vestiges indiscutables d’une haute technologie très ancienne.
Site archéologique de Puma Punku, près de Tiwanaku ou Tiahuanaco, en Bolivie, près de la frontière du Pérou. Épars sur une vaste surface, des blocs rigoureusement taillés font la démonstration d’un savoir faire et d’une précision hallucinante. Qui a taillé tous ces blocs ? Dans quel but ? Il y a combien de temps ? La taille si précise et régulière semble avoir été effectuée à l’aide de machines-outils modernes.
Aux dires des archéologues, ces vestiges dateraient des Incas. Ils auraient été taillés il y a quelques siècles par des Amérindiens ne possédant d’autres outils que de rustiques ciseaux de cuivre, d’or ou d’argent. Trois métaux, messieurs les archéologues, beaucoup trop mous pour découper ces pierres dures, de grès ou de diorite.
À quoi servaient donc ces blocs ? Là encore, les archéologues n’en ont pas la moindre idée. Aussi ressassent-ils leur sempiternelle rengaine : ce sont des pierres votives taillées pour honorer les dieux. Vous verrez dans les photos suivantes que de nombreux modèles sont répétés à l’identique, avec des angles parfaitement droits et une précision de réalisation inférieure au millimètre. Tout ça au burin de métal mou et pour des motifs religieux ? Raconte ça à un cheval blanc, il te foutra un coup de pied, aurait dit ma chère mère.
Quant à l’image ci-dessus, elle montre un mode original de fixation des blocs : l’agrafage. On y voit en effet l’emplacement d’agrafes ou crampons de fixation métalliques. Le métal des agrafes a disparu depuis longtemps. Dans les meilleures conditions atmosphériques, sa durée de vie n’excède guère trois millénaires. Et il y a fort à parier que ces gigantesques blocs taillés sont beaucoup plus anciens. Infiniment plus…
Ce que j’écris là, pour eux, ne peut être que des conneries. Mais qu’en savent-ils au juste ? Comment peuvent-ils en être aussi certains, sinon en s’appuyant sur leur catéchisme : « nous sommes et resterons la seule civilisation développée qui ait vu le jour sur cette planète. » Suffisance éhontée de fourmis ! Elle va de pair avec une totale ignorance de ces questions dont ils se prétendent pourtant sans rire les seuls spécialistes dignes de foi.
Les grandes pierres de taille des Andes ne sont jamais assemblés à l’aide de mortier, mais ajustées à sec, éventuellement fixées par ces crampons métalliques, ou bien d’un tel poids et taillées avec tant d’arêtes qu’elles sont autobloquantes. C’est le cas de toutes les constructions dites cyclopéennes. Cette appellation ne sous-entend pas qu’elles ont été bâties par des Cyclopes, pourtant c’est le nom qu’on leur donne. Il y a beaucoup de sagesse dans les noms anciens.
D’après la mythologie grecque et les textes sacrés de l’hindouisme, les Cyclopes ont occupé cette planète il y a plusieurs millions d’années …pour ne pas dire milliards ! Il existe des traces d’une présence intelligente aussi lointaine… Même si les archéologues occidentaux récusent la possibilité d’une telle ancienneté pour aucune civilisation. Encore moins admettent-ils la réalité de l’existence d’une espèce humaine si grande, si ancienne, possédant une technologie si avancée, et un troisième œil capable de lancer des éclairs mortels…
Les Cyclopes, d’après les diverses traditions planétaires, sont la première humanité ayant occupé cette planète. Nous appartenons à la cinquième. La taille des cinq humanités est décroissante. Ces super géants mesuraient plus de cinquante mètres, nous en faisons moins de deux… L’effort que les Cyclopes ont dû faire pour bâtir Puma Punku ou Sacsayhuaman est minime. Plus faible que celui déployé par un homme adulte pour construire une maisonnette en Lego.
Une question cependant. Pourquoi de tels géants auraient-ils construits des murs, des palais et des portes adaptés non à leur grande taille, mais à la nôtre ? Rien d’étonnant pour moi. Ici-bas, tout a été fait pour nous. À notre exacte mesure.
Les Cyclopes ont construit pour les humanités suivantes. Ce sont les premiers terraformeurs de cette planète. Leur règne s’est déroulé quand la Terre était encore sauvage. Ils ont façonné les montagnes, sculptés les grands rochers, creusé des tranchées pour dévier les fleuves, asséché les marais, rasé des monts pour tailler des plaines. Mais leurs mains n’étaient pas assez habile pour planter des graines et travailler la terre. C’est pourquoi leurs généticiens nous ont inventés. Ils nous ont construits des demeures et des palais. Ils nous ont laissé la Terre dans un bien meilleur état que celui dans lequel on va la laisser pour l’humanité future.
Nous sommes les protecteurs des bêtes et les jardiniers du grand jardin. Notre mission n’a jamais été de bétonner des routes pour nos sales bagnoles, ni de polluer l’éther avec nos sales avions. On n’était pas mandaté pour faire un septième continent de plastique au milieu du Pacifique. À quel moment a-t-on merdé, ça je n’en sais rien. Mais on a merdé. Ça c’est sûr.
Les archéologues, enfin ceux qui ont le courage de me lire, doivent s’arracher les cheveux devant de telle billevesées. Mais ce n’est pas pour eux que je raconte tout ça. Regardez cette image. Une séquence de blocs taillés en H et rigoureusement identiques. Cette forme caractéristique de Puma Punku m’a tout de suite évoqué des socles prévus pour de pesantes machines de précision. Les machines ont disparues depuis belle lurette, seuls les socles sont restés.
– N’importe quoi ! hurlent les archéologues. Ce sont de ex votos, des invocations, des actions de grâce, une prière au soleil !
C’est ça. H comme Hélios, le soleil …en grec !! Et mon cul, c’est quoi ? Du poulet ?
Pour moi, ces encoches régulières étaient destinées à accueillir des pièces métalliques. Encore de la mécanique oxydée par les millénaires. On retrouve la même idée sur les photos suivantes.
Ci-contre on reconnaît le visage d’un alien, de ceux qu’on nomme les gris. La présence de ces visages plus proche du robot que de l’être organique figure dans les plus anciens pétroglyphes connus, comme ceux d’Australie. On les retrouve également dans les Andes, comme ici. Dans les grottes de l’Inde du Sud et de l’Himalaya. Dans l’art religieux chrétien occidental, mais aussi dans l’art de l’icône orthodoxe, en arrière-plan dans des vitraux de cathédrales gothiques, etc.
Ici les grosses lèvres quasi négroïdes sont une particularité digne d’être soulignée. D’ordinaire les lèvres sont presque inexistantes, la bouche se limitant à une simple fente sans ourlet.
On notera que le travail de sculpture est beaucoup plus grossier que sur les blocs socles. Faut-il en conclure que le travail n’a pas été effectué par les mêmes sculpteurs ? La pierre de ce visage, plus tendre, peut très bien avoir été sculptée avec un burin de cuivre. Un hypothèse : et si le sculpteur de ce visage d’alien gris avait voulu montrer à la postérité à quoi ressemblaient ceux qui ont taillé les autres blocs ? Les aliens gris sont-ils des robots humanoïdes dûs au talent d’ingénieur et de forgeron des Cyclopes ?
Des fouilles archéologiques sont régulièrement entreprises sur le site de Puma Punku. Ci-dessous, une campagne de fouille datée de 2011. À force de creuser et de se creuser, les archéos finiront-ils par comprendre qu’ils n’y pigent rien ? Nous non plus, soyons honnêtes. Mais chacun a parfaitement le droit d’avancer des hypothèses. Elles ne pourront pas être plus débiles que celles des professionnels.
Qui a creusé ces galeries et ces villes souterraines, et pourquoi tout ce travail ?
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En 1312, l'empereur du Mali regagne l'Amérique, le continent de ses lointains ancêtres.
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Leur mouvement permet la vie, leur ouverture permet la clarté, leur vigueur permet l'éveil.