Je vous ai déjà beaucoup parlé de l’astre mort qui fait rêver les amoureux et darde sur nous son gros œil blanc qui cligne régulièrement. A vrai dire, tout est régulier dans la lune. Beaucoup trop régulier. Comme sa révolution autour de la terre qui dure exactement le même temps que sa rotation sur elle-même. Ce qui donne à penser

 

Ai-je dit que la lune est un astre mort ? Ai-je que tout y était régulier ? Je me suis trompé sur les deux points, comme vous allez pouvoir en juger. « Selon des sources tout à fait officielles, apparaissent à sa surface des lumières, des brouillards ou des fumées, parfois statiques, parfois mouvants. » D’autre part, la lune « a une activité sismique, elle n’est pas sèche, et lorsqu’elle reçoit un impact, elle résonne. » (source)les deux extraits précédents sont tirés de l’article « La lune n’est pas celle que vous croyez » de Kim-Anh Lin, Nexus n°122 Ce qui donne à penser qu’elle est creuse, comme je l’ai déjà montré.

 

Phénomènes Lunaires Transitoires

La très sérieuse et très bien informée agence spatiale étasunienne, NASA pour les intimes, a dressé en 1968 un catalogue des phénomènes lunaires inexplicables. Les auteurs ont dénombrés plusieurs milliers d’événements survenus entre 1560 et 1967. « Durant les dix dernières années, plusieurs observations irrécusables on rapporté une activité de couleur inhabituelle sur ou juste au-dessus de a surface lunaire. Ces phénomènes peuvent être divisés en deux catégories : les événements localisés sur quelques kilomètres carrés, et ceux qui couvrent une portion significative de la surface lunaire. » (source)NASA, 1966, rapport final du projet Moon Blink.  Ce rapport a été suivi par un autre catalogue, encore plus complet, qui dénombre pas moins de 2254 cas de Phénomènes Lunaires Transitoires (PLT). Il en distingue cinq catégories :

– PLT brillants : éclairs, points lumineux, scintillements, luminosité inhabituelle;
– PLT assombrissants : voiles ou nuages masquant le sol lunaire;
– PLT colorés rouges, roses, orangés, jaunes;
– PLT colorés bleus, verts, violets;
– PLT gazeux ou poussiéreux.

Certains phénomènes observés peuvent appartenir à plusieurs catégories. Ainsi l’observation du site Aristarque, le 1er décembre 1965, rapporte un rayonnement rougeâtre suivi d’un obscurcissement noir. À noter aussi, ces PLT sont localisés. « Sur les 30 000 cratères visibles au télescope, environ 200 seulement sont le site de PLT et douze d’entre eux regroupent 60% des observations » souligne Winifred Cameron, auteure du rapport en question. Certains phénomènes sont si intenses qu’on peut les observer à l’œil nu. (source)d’après l’article « La lune n’est pas celle que vous croyez » de Kim-Anh Lin, Nexus n°122 De nombreux astronomes amateurs en observent sans cesse. La revue Top Secret s’en est fait le porte-parole dans ses premiers numéros, il y a une douzaine d’années. 

 

Objets à déplacement rapide

Il existe une autre catégorie de PLT, encore moins faciles à expliquer : les objets à déplacement rapide (ODR). Quels sont ces objets ? Pourquoi se déplacent-ils ? Comment peut-on expliquer leur grande vitesse ? « Le docteur en astrophysique Alexei Arkhipov (1959) estime qu’environ 5% des PLT sont des ODR avec des zones privilégiées d’apparition comme la région de Mare Ombrium. Ces ODR se manifestent sous la forme de lumières ou de taches sombres se déplaçant rapidement pendant moins d’une minute. »  (source)« La lune n’est pas celle que vous croyez » de Kim-Anh Lin, Nexus n°122

Tout ça pose une série de questions. Par quoi sont causées les brillances ? Comment expliquer la présence de nuages sur un astre dépourvu d’atmosphère ? D’où proviennent ces dégagements de poussières en l’absence de vent ? Pourquoi voit-on des couleurs différentes, comment apparaissent-elles, d’où viennent-elles, et qu’est-ce qui les fait disparaître ? Les astronomes diplômés ont quelques explications naturelles, comme on va le voir. Mais ils ne sont pas convaincants. Ni convaincus, du reste… Mine de rien, l’explication de tout ceci serait plus simple si l’on acceptait d’emblée l’hypothèse d’une lune habitée. Impensable pour les pros, cette hypothèse est devenue banale chez les amateurs.

Si l’on veut détecter des signes certains de civilisation, il faut pouvoir les observer de près. Tout est dans les détails, le diable et même les dieux. Pour distinguer ces détails, tout est dans la résolution des images captées. Or les images analysées jusqu’ici, du moins celles qui sont publiées, ont des résolutions trop faibles pour permettre de statuer sur la question avec certitude. Il faudrait notamment pouvoir repérer des structures rectangulaires, qui n’ont aucune chance d’être naturelles. Il se trouve que les résolutions utilisées ne permettraient même pas d’identifier un stade de foot ! Pourtant on ne cesse de nous répéter que les télescopes géants, terrestres ou orbitaux, font apparaître sur la lune des détails de la taille d’une voiture. C’est totalement faux.

 

 

Mais revenons aux fameux PLTs. Des causes naturelles leur ont été attribuées tant bien que mal : blocs de glace qui se vaporisent, éruptions volcaniques, fluorescences dues aux vents solaires, gaz naturels… Pour moi, ces explications sont du même ordre que celles invoquées par la même NASA à propos des OVNIs : ballon-sonde météo, nuage, reflet solaire, etc…

Aucune de ces explications ne tient la route. Elles ne résistent pas à un examen scientifique rigoureux, et ça, la NASA le sait bien. Pourtant elle continue de lancer des bobards. En bon français, ça s’appelle endormir les gogos. Ce qui n’est pas si difficile, les gogos dorment déjà à poings fermés. Mais les autres n’y croient pas. Ils n’y ont jamais cru. Il est grand temps d’arrêter de les prendre pour des cons. Les plus cons, dans l’histoire, ne sont pas ceux qu’on croit.

 

Le mystère du cratère double

Des astronomes professionnels et autres scientifiques ont également noté d’autres types de phénomènes inexpliqués. Un exemple intéressant est fourni par un cratère double, formé de deux cirques jumeaux, qui se situe sur le sol grisâtre de la mer de la Fécondité. Ce double cratère présente derrière lui une traînée blanche singulière, qui rappelle la forme d’une queue de comète. Beer et Maedler l’ont examiné plus de trois cents fois, de 1829 à 1837. Ils ont étudié, décrit et dessiné avec un soin tout spécial cette formation lunaire

« Les deux cirques, disent-ils, sont absolument pareils l’un à l’autre. Diamètres, formes, hauteurs, profondeurs, couleurs de l’arène comme de l’enceinte, positions de quelques collines soudées aux cratères, tout se ressemble tellement, qu’on ne pourrait expliquer le fait que par un jeu étrange du hasard ou une loi encore inconnue de la nature. Cette double formation est encore plus remarquable par deux traînées de lumière, pareillement égales, rectilignes, dirigées vers l’orient. » (source

Laissez tomber le hasard, Messieurs les astronomes, chacun sait qu’il n’existe pas. Ce que vous appelez « un jeu étrange du hasard » serait mieux nommé la trace d’une activité produite par des créatures intelligentes, ou pour faire court un caprice des dieux. Et loin de moi l’idée d’en faire tout un fromage…  

En tout cas, « cette description est si détaillée, l’assertion relative à la parfaite ressemblance des deux monts circulaires est si précise, qu’on peut partir de là pour faire des comparaisons absolues. « Or, rien n’est plus curieux, je dirai même plus mystérieux, plus inexplicable, note Flammarion, que le résultat de ces comparaisons ». 

Mais le plus curieux reste bien que ces cratères ont semblé changer de forme. En 1855, Webb constata que le cratère oriental était le plus grand des deux, et que l’occidental, plus petit, était allongé de l’est à l’ouest. « La différence des deux cratères, en forme et grandeur, dit Neison en 1876, est aujourd’hui évidente, même avec la plus faible lunette astronomique.»
Toutefois, Klein ajoutera que, d’après ses propres observations, en 1877 et 1878, tel n’était plus le cas. » (source

Mouais. On dirait bien qu’il s’agit d’un artefact. La nature ne s’amuse pas à répéter deux formes identiques, qui plus est si rapprochées. J’en reviens à l’hypothèse extraterrestre. Des Sélénites -tel est le nom traditionnel donné aux hypothétiques habitants de la lune – pourraient être les créateurs de ces cratères. Par paresse ou par négligence, ils en ont fait deux identiques, l’un étant manifestement la copie de l’autre. Tout se passe comme si, se sachant démasqués, les auteurs de cette mascarade avaient voulu modifier la forme et la taille des cratères, pour cesser d’attirer l’attention des observateurs humains. Pas de chance : ils ont obtenus le résultat inverse… quoique finalement, bien peu de personnes s’intéressent à ces phénomènes qu’ils jugent anecdotiques.

 

La lune résonne

Ne crions pas trop vite au complot, même si on est en droit de se demander pourquoi on nous cache tant de choses. Parmi lesquelles l’inexplicable résonance de notre satellite. Au cours des missions lunaires Apollo, les astronautes étasuniens ont eu pour mission de lancer des éléments de fusée inutiles sur la lune, pour que l’impact permette l’étalonnage de sismographes. L’impact, pour violent qu’il soit, a permis bien autre chose. À chaque lancer, les sismographes de la NASA ont enregistré des vibrations d’une intensité disproportionnée et d’une durée allant d’une heure à trois ou quatre heures, beaucoup trop longue pour être honnête. Comme si on frappait sur un gong ou sur un tambour… ce qui tend à prouver que la lune est creuse, et que son enveloppe externe n’a pas une grande épaisseur. Mais ça, je vous l’avais déjà dit.

La NASA a une autre explication. Pour l’agence étasunienne, la structure interne de la lune n’est pas une masse solide. C’est un amalgame de pierres sur lesquelles l’énergie sismique rebondit d’autant plus longtemps qu’il y règne une extrême sécheresse. Pourtant, le 7 mars 1971, « l’un des instruments d’Apollo 14 a permis d’observer une série de vagues d’ions caractéristiques de la vapeur d’eau, vagues qui ont été qualifiées d’intense et de prolongées. » On savait que la glace était présente un peu partout sur la lune, mais depuis cinquante ans on est sûr d’y trouver aussi de l’eau liquide. (source)d’après l’article « La lune n’est pas celle que vous croyez » de Kim-Anh Lin, Nexus n°122

 

 

Un terrible secret

Bref, ces explications qui n’en sont pas se contredisent et s’annulent les unes les autres. La lune résonne ? Raisonnons. Il suffit d’écrire le résultat juste après le signe = et la lumière est faite. Et la vérité apparaîtra, claire et sans voiles. Tous ces phénomènes ne sont pas naturels. La lune n’est pas naturelle. La lune est un satellite, oui, mais un satellite artificiel. On aurait tout de même pu se demander pourquoi ni les Étasuniens ni les Russes n’y sont retournés depuis un demi siècle. Ils en auraient eu bien besoin pour faciliter la conquête spatiale, comme ils disent. Au lieu de ça, ils ont préféré collaborer à un projet hors de prix : la Station Spatiale Internationale (SSI) lancée en 1998.

Pourquoi investir tant d’énergie, d’intelligence et d’argent dans la construction hasardeuse et dans l’entretien ruineux de la SSI alors que la plus somptueuse plateforme spatiale gratuite nous tend les bras depuis toujours ? Pourquoi ne pas avoir fait de la lune une SSI ? Parce que c’en était déjà une. Et parce qu’elle appartenait à des gens plus puissants que nous. Cette SSI-là signifie Station Spatiale Intergalactique. La lune est la SSI des terraformeurs. La station d’observation de nos patrons. Un Satellite d’Observation Terrestre (SOT). 

Et maintenant les Étasuniens vont sur Mars. Mais pas sur la lune. Finie la lune. Rayée des projets. Ils y sont allés, ils ont pigé le truc, et les Russes aussi. Les Chinois ne sont pas dans la confidence. À leur tour, ils se sont engagés dans un programme lunaire. Ils vont bientôt comprendre leur douleur. Ils n’iront pas. Ou si par chance ils s’y posent, ils n’y retourneront pas. Et dans dans une dizaine d’années tout au plus, ils se joindront au projet étasunien de terraformation de la planète Mars. Comme les Européens. Alors qu’il serait beaucoup plus simple pour tout le monde d’aménager la lune…

Telle est ma conclusion. Je vous l’ai déjà livrée telle que mes explorations astrales avaient pu me la révéler. Voilà pourquoi il était important que je retrace dans un article reposant sur des sources scientifiques les différents faits qui vont à l’appui de mon hypothèse.

La lune est artificielle, elle est habitée, elle est tabou, il faut regarder ailleurs. La NASA le sait depuis les années 60. Les Russes, depuis les années 70. C’est le fardeau partagé de ce terrible secret qui a mis fin à la guerre froide entre ces deux puissances. Et qui a cimenté leur collaboration spatiale.

 

Xavier Séguin

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Xavier Séguin

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