Dolmens, menhirs, cromlechs, alignements, allées couvertes, les monuments mégalithiques qui couvrent toute la planète n’ont pas été érigés pour servir de tombes. Alors à quoi servaient-ils ? Les hypothèses les plus fantaisistes ont été émises, aucune n’a pu rassembler la moindre preuve. Une chose est sûre: ils étaient extrêmement nombreux en Europe aux premiers siècles de notre ère, avant que la nouvelle religion détruise toute trace de l’ancienne.
On estime que près de 80% des monuments mégalithiques ont été détruits par le zèle très-chrétien de Charlemagne et de ses successeurs. On sait aujourd’hui qu’ils n’ont pas été bâti par les Druides celtes. Ils sont beaucoup plus ancien. Quant à savoir qui les a construits et pourquoi, le mystère reste entier.
Certains auteurs ont vu dans les menhirs un réseau d’acupuncture terrestre. La formule a fait florès, issue des travaux des géobiologues du siècle dernier, qui ont mis en évidence les émissions d’ondes de formes des mégalithes. J’ai vécu la chose des centaines de fois. Pour s’en assurer lui aussi, Michel Manciet a testé un dolmen de Saint-Emilion. « Si les menhirs ont des auras et des pouvoirs, ils rayonnent des ondes de forme. J’allais tenter une expérience unique, bonifier du vin jeune contre un menhir du néolithique moyen. »
Après vérification, glou-glou-glou, il a constaté qu’une heure de menhir de Saint-Emilion bonifiait le vin autant que six ans de fût ! « La modification est significative. En effet, le vin témoin est rugueux et il n’a pas de consistance en bouche. Le même vin traité sur le menhir par contre est très agréable à boire. Il est arrondi, souple et il sature bien le palais avec une excellente longueur en bouche. Le vin jeune a été bonifié, cette deuxième expérience est aussi une réussite.
Ce qui paraît surprenant également, c’est la puissance des ondes de forme engendrées par le menhir. En effet, la pyramide de type Kheops bonifie un vin jeune en quatre à cinq semaines. Avec ce menhir, une heure est suffisante pour bonifier un vin jeune, soit une différence de temps de 1 à 600 par rapport au vieillissement d’un vin sous une pyramide ! La tradition attribue également à ce menhir de soulager les personnes atteintes de rhumatismes. » (source)http://www.ldi5.com/
La bonification du vin se fait aussi dans les cryptes romanes. Dans certaines abbayes, des moines gourmands le font encore. A vrai dire, il existe un rituel de bonification qui se passe de toute pierre, mais pas d’énergie Vril. Les prêtres d’antan s’en servaient à chaque messe : c’est la consécration du vin. Son effet sur la qualité et la rondeur du breuvage consacré n’était pas un secret pour eux. Toutefois, les qualités ondulatoires des cryptes et des nefs médiévales n’égalent pas celles des menhirs et des dolmens.
Les Celtes l’avaient senti, et ils ont utilisés les tables de pierreC’est le sens du mot celte Taol-men, qui a donné dolmen en breton pour des rituels d’initiation, car les druides, comme tous les sensitifs, savaient que ces monuments étaient sacrés sans être des objets de culte, comme le croient les gens simples. Ils ressemblent plus à des machines qu’à des calvaires : les pierres dressées remplissent une fonction technique tout à fait précise et mesurable, créer un champ polarisé qui canalise les flux sacrés où se concentre l’énergie Vril planétaire.
La plupart des menhirs faisaient partie d’alignements plus ou moins longs, les lignes de transmission des machines à foudre. Sur cet autre piège à foudre qu’est la pyramide de Khéops, l’électricité suivait des conducteurs métalliques. Ici, pas de métal, mais la création de champs conducteurs. Des ingénieurs étasuniens travaillent sur ce mode de transmission de l’électricité. Ils nous font rêver que sous peu nous n’aurons plus à brancher nos appareils sur le secteur.
Bientôt, selon eux, le courant sera acheminé par la voie des airs, le long de champs, ionisés ou non, la suite nous le dira. Le vieux rêve de Nikola Tesla serait-il en passe de devenir réalité ? Si c’est le cas, craignons les nuisances psychiques et physiologiques que ces émissions électriques exerceront sur les personnes sensibles. Pour ceux que perturbent déjà la proximité d’une ligne à haute tension, le pire est à craindre.
Mais la question n’est pas là. Ces recherches sont la preuve que ce type de conductivité électrique est possible, et que l’hypothèse qui consiste à voir dans les alignements des lignes à énergie Vril n’est pas une hypothèse absurde. Pour créer ces champs particuliers, il ne suffit pas de planter une grosse pierre, sinon nos bêtes poteaux électriques n’auraient pas besoin de porter des câbles. Avant de planter des grosses pierres, il faut savoir où et comment. C’est le travail d’un chamane.
D’abord, le clairvoyant désignera les points vibratoires où seront plantés les menhirs. Pour un alignement, il suivra une ligne de faille énergétique généré par un accident géobiologique de type « puits druidique » par exemple. Ensuite, on respectera la polarité de chaque pierre, qui dépend de son orientation originelle dans la carrière. Le haut ou zénith de la pierre est positif. Le bas ou nadir est négatif. Les orientations latérales, nord, est, sud, ouest, sont de moindre importance.
Un sensitif peut facilement sentir la polarisation d’une pierre. Dans les années soixante, c’était un régal d’observer les paveurs de rues à Paris. Presque tous Portugais, ils avaient coutume de rouler le pavé en tout sens devant leur estomac, jusqu’à trouver le bon côté, celui qu’il fallait poser sur le sable. En fait, et bien qu’ils n’aient pas su l’exprimer en mots, ils ne faisaient que rechercher la polarité de la pierre, afin de l’orienter comme elle l’était dans la roche mère de la carrière d’où elle a été extraite.
Cette précaution judicieuse permettait aux véhicules de rouler plus confortablement sur des pavés qui renvoyaient la charge vers le haut. La qualité vibratoire des pavés posés selon la méthode du respect des polarités est infiniment supérieure à celle des pavages contemporains, tels ceux des centres villes qui se muent en zones piétonnes. Sur le pavage moderne, trop angulaire, non polarisé, posé sans connaissance intérieur, on trébuche plus souvent et l’on peine plus vite. Mais la recherche des polarités offrait bien d’autres effets.
Pour créer un champ de force, le chamane faisait planter les grandes pierres aux points qu’il avait repérés, en ayant soin d’alterner les polarités des pierres : l’une en polarité vraie, positif en haut, et la suivante en polarité contrariée, positif en bas, et ainsi de suite. Cela crée tout naturellement un champ conducteur qui relie les pointes des menhirs. De cette façon, le courant peut parcourir de grandes distances. Et les Atlantes s ‘en servaient dans un triple dessein.
Eveil + Energie + Engrais
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