Les textes très anciens, ceux qui sont réputés sacrés dans les différentes religions du monde, nous peignent un ciel terrestre chargé d’avions, de fusées et d’OVNIs. Parfois, la descriptions de ces engins modernes est voilée, dissimulée par des périphrases. Mais les textes sacrées de l’Inde, eux, ne cachent rien.
Le Ramayana, un des grands livres saints de l’Hindouisme, nous décrit en détail les homériques batailles rangées qui opposèrent les Ramas aux assauts vengeurs des Néo-Atlantes. Le Ramayana les appellent des Asvins, mon petit doigt me dit qu’il s’agit du même peuple.
Les valeureux guerriers de Rama ont défendu leur empire avec des armes terribles, d’une puissance destructive incroyable. Mais ils sont tombés sous les attaques des vailixis atlantes. Une scène dantesque, bataille navale et aérienne ! Les vailixis fuselés jaillissent hors de l’eau pour déchirer le ciel de leurs salves destructrices !
Les vimanas et les pushpakas explosent en plein vol. Les murailles se lézardent sous les bombes, des cités disparaissent dans les flammes. Ne dirait-on pas un épisode inédit de Star Wars ou une page d’Edgar Jacobs ?
Quand il a dessiné ses Espadons fuselés, aéro-submersibles eux aussi, Jacobs s’inspirait sans doute des vailixis atlantes, rencontrés dans ses rêveries akashiques.
Car tous les engins atlantes n’étaient pas fait d’écorce et d’osier. Certains, à l’instar des vimanas, étaient même très contemporains. Fabriqués en acier ou dans d’autres métaux dont certains sont perdus, comme l’orichalque, ces engins étaient équipés de moteurs subsoniques voire supersoniques. Epluchant certains passages de ces textes, j’ai même eu plusieurs fois le sentiment que des engins subluminiques étaient connus à ces très lointaines époques.
Michel Padrines a retrouvé des pierres sculptées représentant des têtes aux faciès de dieux barbus, aux cheveux bouclés, peut-être de type européen. Sur leurs robes, des dessins gravés ont une forte ressemblance avec les objets célestes qui hantent nos cieux depuis plus de soixante ans. (source)Wikipedia
De très nombreuses représentations d’ovnis sont visibles sur les images anciennes, enluminures, fresques, gravures, vitraux, peintures. Il semble que les apparitions d’engins volants datent de la plus haute antiquité. Plus étonnant encore, il semble que ces OVNIs aient toujours eu la même apparence, celle que nous connaissons actuellement.
La question qui me titille est celle-ci : comment les Atlantes ont-ils acquis un tel savoir, et maîtrisé une technologie qui nous est encore inaccessible ?
En physique comme ailleurs, pour comprendre les Atlantes, il faut changer de regard, changer de paradigme. Il se pourrait que la clé soit dans la poche des physiciens eux-mêmes.
« Les physiciens ont trouvé les clés de la 5e dimension », titre un magazine.Sciences et Avenir de février 2001 Voici en deux mots leur énorme trouvaille. Notre univers, avec ses quatre dimensions(les trois dimensions spatiales et le temps) serait comme un pliage en accordéon. Des raccourcis traversent l’accordéon sans suivre tout le parcours en zigzag. Ces raccourcis sont des trous de ver, sorte de tunnels Des tunnels dans quoi ? La physique multidimensionnelle se prend un peu les pieds dans le tapis, mais cette tentative reste féconde, donc louable. reliant un pli à l’autre. Une seule catégorie de particules peut les emprunter : les gravitons.
Toutes les autres particules, y compris les électrons et les photons, se cantonnent aux quatre dimensions spatio-temporelles. Donc, pour se déplacer quasi-instantanément sur d’énormes distances, il suffit d’emprunter la longueur d’onde des gravitons. (source)Sciences et Avenir de février 2001
Si c’est ce que faisaient les Atlantes, ça illustre leur maîtrise de l’antigravité. Ils étaient experts dans cette science que nous connaissons mal, la gravitologie. Aussi bizarre que ça puisse paraître, la clé de la gravitologie est un son.
Comme le son qui fait démarrer les moteurs polymétalliques, l’antigravité des anciens est une fréquence sonore. Un son très particulier, la note de la Terre. Comment un son peut-il faire décoller des objets pesants, ou faire aller plus vite que la lumière ? Le graviton ne va pas plus vite que la lumière, il prend juste un autre chemin. Il passe par les trous-de-ver, qui sont les « chemins de l’initié » décrits par les anciens Egyptiens, et dont le souvenir remonte à l’Atlantide. Les vibrations sonores sont un langage complexe.
Un langage qui s’adresse, non à notre raison, mais à l’autre hémisphère du cerveau, celui de la créativité sans limite. En tout premier lieu, il s’adresse à l’intelligence du ventre, qu’on appelle aussi l’instinct, ou l’inconscient. Quand nous nous syntonisons avec certains sons, nous pouvons atteindre des lieux de conscience fabuleux.
If music be the food of love, play on.
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