Les vimanas sont souvent mentionnés dans les textes sacrés de l’Inde ancienne. Ce sont des éléments architecturaux, construits à mon avis en mémoire de prodigieuses machines anciennes. La plupart des savants indiens admettent aujourd’hui qu’à l’origine, il s’agissait de machines volantes…
Mon parti est pris. Après avoir lu dans d’innombrables textes anciens, y compris dans la Bible, j’ai acquis la conviction que les machines volantes existaient il y a longtemps. Ils étaient nombreux et différaient selon leur fonction et l’époque. Le chercheur américain Richard Thompson fait une distinction fondamentale entre deux types de vimanas, qui correspondent à deux approches technologiques différentes, deux époques différentes aussi.
« Les Vimanas se partagent en deux catégories : (1) des engins faits par l’homme qui volent avec des ailes façon oiseau, et (2) des structures non profilées qui volent d’une façon mystérieuses et ne sont généralement pas faites par des êtres humains. Les machines de la catégorie (1) sont principalement décrites dans des textes sanskrits médiévaux qui traitent d’architecture, d’automates, de machines de guerre et autres appareils mécaniques. Ils sont en bois, et volent avec des ailes comme nos avions modernes.
Quoique ces anciens véhicules soient aussi appelés vimanas, la plupart des vimanas ne ressemblent pas du tout à des avions. Ceux de la catégorie (2) remontent à une antiquité très lointaine. Mentionnés dans d’anciens ouvrages sanskrits, ils ont beaucoup de points communs avec les OVNIs, et les êtres qui les pilotent possèdent les mêmes pouvoirs que ceux attribués aux pilotes d’OVNIs.
Un intéressant exemple de vimana est la machine volante de Salva, un ancien roi Indien. Il l’avait acquis auprès de Maya Davana, venu d’un système planétaire appelé Taltala. » (source)Richard L. Thompson, Alien Identities
Le Mahabharata nous donne la suite de ce récit ahurissant par la bouche de son héros Krishna : « Le cruel Salva arriva sur le chariot volant Saubha qui peut aller partout, du haut duquel il tua beaucoup de jeunes Vrishni et dévasta férocement tous les parcs urbains. » Et tandis que Krishna s’élance dans le ciel à la poursuite de Salva : « Son Saubha s’accrochait au ciel avec une bonne longueur d’avance… Il me lançait des rockets, des missiles, des sabres, des épées, des haches de guerre, des javelots à trois lames, des jets de flammes, sans répit…
Le ciel semblait porter vingt soleils, cent lunes et mille myriades d’étoiles. Il n’y avait plus ni jour, ni nuit, et on ne pouvait plus faire le point à la boussole. L’avion de Salva était très mystérieux, poursuit Krishna. Il était si extraordinaire qu’il semblait parfois se multiplier dans tous les points du ciel, et d’autres fois il n’était plus nulle part. »
Une sorte de MHD, un interplan ? On a l’impression que cet engin peut se dématérialiser – matérialiser ailleurs quasi instantanément, ce que lui donne un avantage considérable sur l’engin plus conventionnel de Krishna. Ce qui expliquerait l’illusion de Krishna qui voit l’engin de Salva à vingt endroits différents en même temps. Le temps et l’espace sont des notions relatives et non absolues. Acquérir la maîtrise de ces deux dimensions est assurément un accomplissement digne d’une science extraterrestre… mais l’était-elle ?
On peut aussi penser que le Saubha du cruel Salva parvient à changer de plan, à passer dans un univers parallèle à son gré, et très vite. D’où sa disparition soudaine. Je ne peux m’empêcher de faire le parallèle avec certains accomplissements des sorciers du nagual, comme la bilocation, la multilocation, la téléportation, la disparition instantanée, etc.
Mais au lieu que ces accomplissements viennent d’une pratique magique, ils sont ici liés à un développement technologique, comme le montre l’arsenal guerrier embarqué dans l’engin de Salva.
« L’avion était parfois visible et parfois invisible, et les guerriers de la dynastie Yadu étaient décontenancés devant les performances de cet appareil. Parfois ils voyaient l’avion au sol, parfois en haut du ciel, parfois posé au sommet d’une colline et parfois flottant sur l’eau. L’avion merveilleux volait dans le ciel comme un feu d’artifice – il ne tenait pas en place un seul instant. » (source)Mahabharata, Bhaktivedanta
Ceux qui ont observé des OVNIs font exactement le même genre de description. Troublante constance ! Doit-on en conclure que les OVNIs actuels sont pilotés par les mêmes surhommes que ceux du Mahabharata ? Des dieux, des demi-dieux ou dévas, des héros ? En tout cas, leurs pouvoirs viennent d’abord d’une prodigieuse avancée technologique sur laquelle sont données des détails réalistes et des précisions cohérentes.
« Les Vimanas étaient propulsés par un carburant de couleur jaune-blanc ainsi que d’un cœur alimenté par un mélange à base de mercure. » (source : oeildusphinx.com)
Le renseignement est intéressant, car l’antiquité semble avoir apprécié l’aptitude au transport de ce métal liquide qu’on appelait alors le vif-argent. Vif comme rapide. Et le véloce messager des Olympiens s’appelait Mercure. Eh oui. De grands dépôts de ce métal rare ont été trouvés sous les pyramides de Teotihuacan au Mexique, ainsi que sous certaines pyramides chinoises. Preuve que ces antiques pistes d’aviation, les Trônes de Salomon ou pyramides tronquées, utilisaient de grandes quantités de mercure pour alimenter leurs OVNIs.
J’ai expliqué ailleurs que le mercure devait être considéré, non comme un carburant, mais comme un comburant, une sorte de catalyseur permettant de capter une autre source énergétique, je pense au vril omniprésent. Alimenté par la foudre notamment, décuplé par les ondes scalaires, l’énergie vitale – au sens où Henri Bergson parle d’élan vital – est partout, en surabondance, et pourtant presque inutilisée… pour la bonne raison qu’on ne peut pas la facturer. Alors cette époque mercantile la juge totalement dénuée d’intérêt.
Toutes ces précisions doivent inciter les scientifiques à réviser leur position, pour le moins dubitative, sur la science très antique transmise par des survenants hyper développés. Cette thèse qui est la mienne est partagée par de nombreux chercheurs – des francs-chercheurs, comme on dit des francs-tireurs. J’ai l’honneur d’être compté dans leurs rangs. Et vous avez l’avantage de lire en direct le résultat de mes recherches les plus avancées.
Cette antique science antique comportait des chapitres terribles, décrivant des bombes surpuissantes, des rayons mortels et d’autres armes de destruction massive. L’empereur indian Ashoka s’en est ému, il a fondé un ordre scientifique investit d’une mission sacrée : mettre à l’abri ces terribles textes; afin de protéger l’humanité future.
Jouons un peu. Imaginons qu’une superpuissance actuelle mette la main sur ce dépôt caché. Rien n’est assez dissimulé pour qu’aucun homme ne le trouve jamais. Imaginons que ce soit déjà arrivé. Imaginons que ces secrets soient actuellement aux mains d’une puissance assez immorale pour en faire usage. Voilà un scénario de fin du monde que je n’ai pas encore trouvé dans la SF.
Les Vedas, considérés comme les plus anciens des textes indiens, décrivent des Vimanas de formes et de dimensions diverses, avec différents designs adaptés à leur missions. L’empereur indien Ashoka était si convaincu de l’authenticité de ces écrits qu’il consacra une grande partie de son règne à protéger son peuple de leurs néfastes effets.
A cette fin, il créa la Société Secrète des Neuf Inconnus, neuf grands scientifiques indiens ayant pour tâche de cataloguer les sciences mentionnées dans les vieux textes et de les dissimuler à la population. Il tremblait à l’idée que les sciences avancées décrites dans les textes anciens amènent la dévastation de son empire, dans un destin similaire à celui qui foudroya l’ancien Empire Rama.
Pour dissimuler ces anciennes sciences à la population, les Neuf Inconnus ont eu la main lourde. Il y a fort à craindre que d’inestimables trésors archéologiques aient été détruits parce que jugés trop dangereux. Eh bien tant mieux. Les hommes aiment trop jouer avec le feu. Jusqu’au 7e siècle AECavant l’ère commune à Babel (Babylone), il y avait aussi des avions : « Le privilège d’utiliser une machine volante est grand. La connaissance du vol se trouve parmi les plus anciens de nos héritages. Un cadeau de ce qui est plus haut« .
Qui ça ? Des spationautes atlantes ? Des dieux de Sumer ? Des savants de Tiahuanaco ? Le manuscrit ne le dit pas. Il ajoute seulement : « Nous l’avons reçu d’eux afin de pouvoir sauver beaucoup de vies. » (Source) La tour de Babel serait-elle une tour de contrôle aérien ? Edgar Cayce a vu que les Atlantes avaient des aiguilleurs du ciel, donc des tours de contrôle. Pourquoi pas à Babel aussi ?
Babel n’était pas une tour mais une pyramide tronquée, un trône de Salomon. L’élément clé d’un astroport que des géants jaloux des dieux avaient construit pour leur rendre visite. Les dieux jaloux n’ont pas apprécié. Pour conserver l’exclusivité des vols spatiaux à partir de leur astroport de Baalbek, ils n’ont pas hésité à détruire ces rebelles à coup de bombes, comme Yahveh a détruit Sodome et Gomorrhe…
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