Sur l’Altiplano de Bolivie et du Pérou s’élèvent les ruines fantastiques de murs cyclopéens auprès desquels nous avons l’air de fourmis. Les cités des cimes andines ont leur fleuron : Sacsayhuaman. Cette inconcevable forteresse remonte à un passé si lointain que les mots nous manquent pour l’évoquer.
La taille énorme des blocs, leur ajustement si parfait, leur poli magnifique, et surtout l’absence totale de gravure, sculpture ou autre décoration sont caractéristiques de l’époque cyclopéenne. Comme d’habitude, les archéologues occidentaux se sont fourrés les dix doigts dans l’oeil en datant cette merveille de la période inca. Une telle inconséquence a stupéfait la communauté des chercheurs de vérité.
Le Britannique David Childress exprime cette stupeur :
« Cette forteresse extraordinaire aurait été construite il y a quelques siècles seulement par les Incas. Pourtant, ceux-ci n’ont laissé aucun texte à ce sujet et n’en parlent pas dans leurs légendes ; comment croire que les Incas, qui ignoraient les mathématiques avancées, l’écriture, les outils en fer et même la roue, aient bâti ce complexe cyclopéen ? De toute évidence, il y a là une énigme pour laquelle nous n’avons que des balbutiements de réponse. » (source)Les technologies des dieux de David Childress
On notera l’extrême amabilité de Childress, de qui je ferais bien de m’inspirer davantage. Face à l’incohérence et à la stupidité des thèses officielles sur la datation de Sacsayhuaman ou d’autres ruines cyclopéennes, j’ai parfois bien du mal à conserver son flegme tout britannique. A la place, c’est une fureur sacrée toute gauloise qui s’empare de moi, me poussant à écrire des diatribes vengeresses à l’intention de ces jean-foutres.
Pourquoi attribuer aux Incas ces constructions qu’ils n’ont pas bâties ? Pourquoi attribuer aux Mayas des pyramides atlantes ? Non loin de Sacsayhuaman se dressent des vestiges tout à fait émouvant, car leur architecture en évoque une autre, très voisine, à l’autre bout du globe : ce qui accrédite encore un peu plus la thèse d’une civilisation des pyramides répandue sur toute la terre.
Ce site est celui de Vitcos, et il dénote une ancienneté digne de Mu. C’est précisément les ruines supposées d’un fragment de ce vaste empire du Pacifique qui ressemblent étonnamment à ce site : la pyramide submergée de Yonaguni au Japon.
Voici le détail d’une muraille de Sacsayhuaman, Pérou. Que penser de ce trou où se logeait il y a peu une toute petite pierre ? Était-elle là pour rattraper un défaut dans un des blocs ? Pas du tout, car cette petite pierre faisait toute l’épaisseur de la muraille. On la voyait ressortir, identique, de l’autre côté d’un mur de près de deux mètres. Pourquoi faire une chose pareille ? A quel secret dessein obéissait l’architecte, le tailleur et les ajusteurs ?
Ce détail est à l’image de l’ensemble : incompréhensible. Pourquoi cet énorme travail de taille et de transport ? Pourquoi cette précision d’assemblage ? Et pourquoi de tels blocs ?
Cela suppose un but tout aussi démesuré. Était-ce un précaution visionnaire contre la Vague du déluge ? Les savants atlantes avaient-ils prévu la hauteur du tsunami géant ? Ce qui expliquerait la solidité des murs extérieurs, mais aussi l’altitude des cités : pour les mettre hors de portée.
Si ces forteresses furent les arches où les Noés atlantes devaient résister au grand cataclysme, elles avaient intérêt à être solides. Pourtant un doute subsiste.
Ces Cités purent être utilisées comme refuges lors du déluge, mais elles peuvent être beaucoup plus anciennes. Des questions fusent de toutes parts. Et si la haute altitude des Cités venait d’une autre nécessité ? Et si leur extraordinaire solidité avait eu d’autres objectifs que de résister à des apocalypses ? Si ces énormes blocs étaient aussi les rouages de machines ? A contempler l’Osireion d’Abydos, on a le sentiment puissant de se trouver face à une usine, ou plutôt une centrale d’énergie.
Et à examiner les « arcs de décharge » de la chambre du roi, dans la grande pyramide de Gizeh, ce sentiment ne peut que s’exacerber…
Drôle de dispositif pour un prétendu tombeau : ce n’en est évidemment pas un. De nombreuses recherches ont montré quel fut leur très antique usage. Pour en savoir plus, découvrez quel est donc le secret des Grandes Pierres… Manifestement, ces structures ultra-lourdes sont conçues pour résister en tension, comme les voûtes des cathédrales. Il suffit d’entrer dans la mémoires de ces pierres gigantesques, il suffit de voir les images qu’elles ont enregistrées pour nous. Tous à Abydos !
…en attendant de s’émerveiller devant les pierres taillées de manière industrielle sur le site andin de Puma Punku. Là, même les archéologues devraient rougir de honte devant les inepties qu’ils ressassent depuis des décennies. Non, ceux qui ont taillé ces pierres n’étaient pas des sauvages en peau de lamas. Ceux qui ont habité ces villes et ces forts n’étaient pas des Cromagnons débiles. Ils vivaient exactement comme nous. Mieux peut-être…
Qui a creusé ces galeries et ces villes souterraines, et pourquoi tout ce travail ?
"J'en ai haussé des femmes ! J'en ai osé des flammes !" (Cahiers Ficelle, inédit)
En 1312, l'empereur du Mali regagne l'Amérique, le continent de ses lointains ancêtres.
Le symbole suggère, l'image montre. Que montre le caducée, arme d'Hermès ?
Ils viennent de la littérature, de la bd, de la pop, de ce qui court,…
Leur mouvement permet la vie, leur ouverture permet la clarté, leur vigueur permet l'éveil.