Il y a beau temps que des visiteurs des étoiles se sont manifestés aux hommes : étaient-ils vraiment des visiteurs extra-terrestres ou plutôt des terriens appartenant à une antique civilisation de spationautes ? La science, comme d’habitude, regarde ailleurs… avec une absence totale de conscience, d’imagination et de courage.
Un peu partout dans le monde et à des époques parfois très reculées, on peut suivre les traces des visiteurs de l’espace. Passons en revue les évidences de leur présence, en soulignant d’emblée qu’elles sont extrêmement nombreuses. Moulées, peintes ou gravées, sous forme de statuettes, peintures murales, fresques, art rupestre, galets gravés, parchemins, coquillages…
Certaines attestations datent du néolithique, d’autres sont encore plus anciennes. Sur cette épineuse question comme sur tant d’autres, les archéologues observent la plus totale pleutralité.Comme dit Jules-Edouard Moustiq le Grolandais
On a vu aussi qu’en l’espèce les anthropologues ne valent guère mieux. La science croit l’homme plus récent qu’il ne l’est. Pour éviter l’hypothèse d’une technologie extrêmement ancienne qui heurte de plein fouet les tabous des plus conservateurs, on a vu comment les archéologues russes, toute honte bue, avaient eu recours à l’hypothèse extra-terrestre. Un rapport scientifique russe avait évoqué un crash d’OVNI en pleine préhistoire ! Il faut dire que les Russes sont moins coincés que nous…
On a vu aussi, en Ecosse, l’extraordinaire affaire du marteau de Kingoodie, qui daterait lui aussi des dinosaures. Les photos dudit marteau ont été toutes publiées par notre site. On a vu le computer d’Anticythère, découvert il y a plus d’un siècle, vieux de plusieurs millénaires, et d’une inimaginable complexité que bien des chercheurs étudient encore. On a vu surtout combien peu d’importance ont ces évidences sur une profession tétanisée par les dogmes et les anathèmes.
La vérité est que l’on trouve des traces de spationautes et d’engins spatiaux, OVNIs ou fusées, dans les cinq continents,et datant de toutes les époques, même les plus reculées. Alors, comme les scientifiques russes, les intrépides archéologues occidentaux auront-ils recours à l’hypothèse extraterrestre ? Vont-ils eux aussi invoquer les petits hommes verts? Car si nous avons des preuves de la présence d’antiques spationautes, encore faut-il prouver qu’ils ne fussent pas terriens comme nous.
Admettre les petits hommes verts venus d’ailleurs, ça a l’air d’une farce, on se marre un bon coup et ça n’engage à rien. Cette attitude m’a toujours paru plus facile que d’admettre que nous ne sommes pas les premiers hommes développés. Pourquoi flanquer par terre le patient édifice de sottises bâti depuis des siècles ? Comment confesser qu’on s’est fourvoyé grave ? La science a une trop haute opinion d’elle-même pour avouer la queue basse qu’elle s’est gourée dans les grandes largeurs.
Plutôt que d’en finir avec le mensonge officiel, les scientifiques préfèrent se taire. Et le mensonge officiel continue ses ravages. Et de jour en jour la science perd ses couleurs. Tout scientifiques qu’ils se prétendent, ils ont les deux pieds dans la merde et ça ne leur porte pas bonheur. Quant à moi, j’ai acquis l’intime conviction que jadis, en des temps très reculés, a prospéré sur cette planète une civilisation développée, technologique et magique, qui étendait ses ramifications sur toutes les terres émergées.
Terres émergées qui sont en bonne part englouties à présent, suite à l’inexorable montée des eaux de la grande déglaciation du Würm/Wisconsin, il y a environ douze mille ans. Il semble d’ailleurs que ça n’ait pas été le seul déluge dévastateur, loin de là. N’en doutons pas, notre bonne vieille planète a connu son lot de catastrophes en tous genres au cours de ses centaines de millions d’années d’existence. Quant à notre espèce, Homo sapiens, elle aussi a connu des hauts et des bas…
Notre espèce vénérable a connu une existence beaucoup plus longue que ne l’admettent actuellement les paléo-anthropologues. Mais systématiquement, d’une façon ou d’une autre, la Terre efface les traces. Tout se passe comme si la planète faisait page blanche après chaque civilisation. Fait incroyable, elle possède même un dispositif particulier pour effacer l’ardoise magique, et c’est la tectonique des plaques : un petit coup de tapis roulant, et zou, on met les vestiges sous le tapis. Circulez, y a rien à voir !
Les traces sont innombrables, il suffit d’ouvrir les yeux, mais les élites religieuses veillent au grain : qui les nourrirait si chacun devient son propre guide ? Est-ce la bonne question ??
La Terre pourrait-elle être le terrain de jeu d’extra-terrestres ? Ils s’amusent, ils tentent des trucs, si ça marche pas, zwouff ! ils n’ont qu’à effacer l’ardoise magique et hop ils remettent ça. Mais qui sont-ils ? Viennent-ils d’ailleurs, sont-ils d’ici ? Où est le problème ? Ne peut-on pas imaginer que des Terriens développés soient allés dans les étoiles et en soient revenus avec leurs nouveaux copains ?Incontestables sont les présences extraterrestres dans bon nombre de peintures rupestres ou de sculptures. Cherchez-les sur le web, je ne puis les reproduire ici en vertu de la loi sur le copyright. On n’a que l’embarras du choix sur les cinq continents.
Alors ? Faut-il tenter, pour chacune d’elles, d’imaginer une jolie fable qui ferait tout rentrer dans l’ordre ? Certains scientifiques s’en sont fait une spécialité. On se souvient de la triste affaire du palimpseste d’Abydos. Un palimpseste ! On rêve tout debout.
Pour nous rouler dans la farine, les savants ont leurs combines bien rôdées, ils nous font le coup du garagiste qui change le moteur au lieu des bougies. Ce faisant, ils ne savent pas qu’ils s’abusent eux-mêmes. Il ne faut changer ni les bougies, ni le moteur, il suffit de changer de paradigme. Regardons la vérité en face, nous avons connu jadis la présence d’êtres capables d’évoluer dans l’espace avec des combinaisons et des casques qui ressemblent diablement à ceux d’aujourd’hui.
Comment la science explique-t-elle tous ces ovnis, ces fusées, ces casques spatiaux gravés dans la pierre ? Facile : elle n’explique pas. Elle n’a rien vu, elle regarde ailleurs. Nos ancêtres dessinaient ce qui les frappaient le plus. L’art rupestre ou la statuaire primitive n’a rien à voir avec notre art. Ces objets votifs, totems ou peintures participent d’un rituel chamanique animiste. Si les Néolithiques ont représentés ces êtres, n’est-ce pas parce qu’ils les considéraient comme des dieux ?
Ce qui, somme toute, serait assez compréhensible. Vous êtes là, peinard, à pêcher l’iguane dans un marigot, et voilà un grand oiseau de fer qui se pose en crachant du feu par le cul. Des gusses sortent de l’oiseau, bonjour le look ! Ils n’ont pas de slip en peau de bison comme vous autres, mais des pelures brillantes comme une peau en fer et des écailles transparentes devant le visage. La foudre sort de leur doigts palmés. Ils n’ont pas l’air commodes et vous feriez mieux d’obéir sans discuter.
Ils veulent à manger ? Tiens, voilà de l’iguane frais pêché. Ils veulent dormir ? Tiens, voilà ma hutte et ma natte. Ils veulent ma femme ? D’accord, ça leur fera les pieds. Ils veulent qu’on les appelle Dieu ? Pas de problème ! Là-dessus, en cachette, vous inventez une nouvelle activité : la prière. Ça consiste à demandez quelque chose à quelqu’un quand il ne risque pas de vous entendre. Première prière : « Mon Dieu qui venez du ciel, retournez-y et fichez-nous la paix. Ainsi soit-il. »
Les Dieux n’ont pas exaucé la première prière, pas plus que les suivantes. Tant pis. La religion était inventée c’est ce qui compte. Alleluya ! Au fil du temps, on s’est aperçu que les prières n’étaient pas efficaces, quelque soit le dieu. On s’est mis à réfléchir. On a inventé la Science. Ça a marché au début. Pas besoin de prier, il suffit d’étudier pour comprendre. Puis c’est devenu : pas besoin de comprendre, il suffit d’apprendre par coeur. Et après : pas besoin d’apprendre, fais ce qu’on te dit.
Une nouvelle religion a vu le jour. Celle de la Divine Science. Et son règne n’aura pas de fin… Espérons que si !! N’empêche que toutes ces images ont un point commun : elles nous parlent d’antiques visiteurs. Il faut tout de même une bonne dose de mauvaise foi pour faire comme si de rien n’était après les avoir vues, toutes autant qu’elles sont. La foi, bonne ou mauvaise, est affaire de religion. La mauvaise foi des archéologues témoignent de leur mauvaise religion.
En tout cas, si les Dieux reviennent, on n’a pas fini de se prosterner.
Les cathédrales ont été construites avec un mètre-bâton : pas d’autre calcul !
La peur ressemble à l'ego. Tant qu'on est vivant, on ne s'en débarrasse pas.
Il n'y a pas quatre éléments, mais cinq. Le premier s'appelle l'éther. On l'a oublié…
Oui, perdu. Mais qu'on ne s'inquiète pas, le remplaçant est prévu.
Je vous demande un ultime effort pour sauver Eden Saga. C'est maintenant !!
L’aventure Eden Saga aura duré dix huit années. Reste encore UNE chance, la toute dernière.