La Terre chante en fa dièse

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L’univers est bien fait. Tellement bien fait qu’on en vient à se demander s’il n’est pas, disons, aménagé. Les routes de communications interstellaires sont mieux balisées que les autoroutes terrestres.

On sait que les pulsars émettent des pulsations spécifiques qui servent de radioguidage spatial, c’est très commode. De la même façon, les planètes émettent une modulation sonore, musicale, dont on retrouve trace dans l’antique théorie de la musique des sphères.

Les astronomes ont noté que les intervalles des planètes du système solaire correspondent peu ou prou aux intervalles entre les notes de musiques : avec une exception notable, la planète manquante entre Mars et Jupiter, qui a existé et qui fut détruite, si l’on en juge par la ceinture d’astéroïdes et de poussières qui marquent son ancienne ellipse. 

La note particulière émise par chaque planète donne la dominante planétaire. Il est possible que cette note subisse des altérations, résultant d’une modification d’orbite ou d’autres causes inconnues.

Au fil de mes recherches sur les vibrations et ondes sonores, mes expériences m’ont amené à la conclusion que la note émise par la Terre est le fa dièse. Avis aux musicos : accordez-vous en fa dièse, vous allez booster le taux vibratoire planétaire !!! Ainsi ai-je redécouvert la sonologie.

Cette science très antique était encore connue dans l’antiquité greco-romaine, par le biais de l’Egypte et de la Celtie, conservatoires de la sagesse pré-diluvienne. Malheureusement nous ne possédons plus rien de la musique antique.

 

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Le sistre, instrument de mesure et d’émission du son, en témoigne amplement. Ce diapason émettait une longue pulsation vibratoire oscillant entre le mi et le sol de notre gamme, dont la résultante recomposée par le cerveau des auditeurs était, vous l’avez deviné, un fa dièse.

Le modèle ci-dessus est une copie antique des instruments atlantes qui n’a jamais eu la puissance ni l’opérativité des originaux. Les instruments d’Atlantide étaient électroniques, de petits bijoux high-tech qui fonctionnaient à l’énergie vril.

Les instruments atlantes émettaient un son vibrant, englobant, le son qui vient de nulle part. La musique atlante était tournée vers l’éveil par la transe. Elle se servait beaucoup de la voix humaine, celle des maîtres et maîtresses de transe, qui donnaient le ton à l’assemblée, la menant peu à peu à la catharsis. On a pu en trouver le reflet dans le théatre antique grec, celui d’Eschyle. On peut en retrouver la ferveur, sinon l’efficacité finale, dans les transes qui s’emparent du public d’un match de foot, d’un fest-noz ou d’une goa. 

Les astres ont aussi leur note, ou plutôt leur bouquet de notes, comme le sistre qui tentait de les imiter. Ils émettent un accord plutôt qu’une simple note. Le soleil donne un accord de la, ré et mi-7ème. S’accorder en la – ce qui est la règle dans la musique folk et western des USA par exemple, et dans bien des musiques traditionnelles ailleurs – jouer en la ou en ré est le plus sûr moyen d’ensoleiller sa musique. Le blues raffole du mi 7ème, il y a aussi des raisons stellaires à cette préférence spontanée.

N’oublions pas que les folk singers comme les bluesmen n’ont pas d’autre éducation musicale que celle de leurs oreilles et de leur coeur. Voilà pourquoi leur musique nous touche si fort.

La vérité est que chaque corps céleste émet une note particulière et participe ainsi de l’harmonie universelle. Chaque planète joue sa partie dans la symphonie cosmique… Cette idée n’a rien d’invraisemblable, encore moins d’anti-scientifique. Je parie que ces notes distinctes servent de système de radioguidage pour les spationautes extraterrestres… On sait déjà que les pulsars sont utilisés comme balises spatio temporelles dans tous les bons bouquins de SF.

Selon moi il n’y a rien d’inventé là-dedans : qu’ils en soient conscients ou non, leurs auteurs sont allés puiser les infos dans la grande banque de données des mémoires akashiques, où sont stockées tous les détails de toutes les vies conscientes universelles. De quoi lire… et pas besoin de tablette ni de liseuse électronique. C’est en wifi depuis la nuit des temps, gratos.

Si ces notions étaient bien connues dans l’Antiquité, ce n’est pas parce que les Anciens étaient stupides, bien au contraire, c’est parce qu’ils étaient mieux informés que nous. La source de leurs connaissances est enfouie dans leur passé – qui est aussi le nôtre. Seulement nous, nous en sommes plus éloignés. Une civilisation planétaire a développé le monde pendant des dizaines de millénaires : les Atlantes. Ou les Hyperboréens, ce sont les mêmes.

 

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Peuple de savants, d’inventeurs et de spationautes, comme  l’a montré la civilisation olmèque, les géants d’alors n’ignoraient rien de la navigation interstellaire. Ils se servaient chaque jour des données radiométriques et sonores pour guider leur innombrables vaisseaux spatiaux – certains grands comme des villes.

Le prophète Enoch, le Popol Vuh amérindien ou les textes sacrés de l’Inde en parlent avec une précision qui ne laisse pas la place au doute : ils évoquent ces différents mondes où les êtres vivants peuvent aller : nos ancêtres ont connu les étoiles.(sources)Mahabharata, les trois cieux où l’homme peut vivre

Certains spécialistes auront beau considérer ces faits comme des sornettes sans queue ni tête, méfions-nous de la suffisance : à trop prendre les Anciens pour des idiots c’est nous qui n’avons pas de tête. Et si nous n’avons pas de tête, avec quoi allons-nous écouter la douce musique des sphères ?

Nous l’écoutons sans la tête.  Avec le ventre, avec le coeur. <3

 

Putain, ça penche ! On voit le vide à travers les planches !
Alain Souchon