Il y a des gens qui vivent sous nos pieds, dans les entrailles de la planète, au plus profond des lacs ou dans des villes sous la mer. Ils sont grands, ils sont forts, et on n’a pas intérêt à s’y frotter…
Dans les lacs sibériens, des plongeurs de l’armée rouge se battent contre des aliens. Les aliens gagnent. Eh non, ce n’est pas un remake de La guerre des mondes, c’est un témoignage incroyable, déclassifié par les services de renseignements russes, qui est tombé entre mes mains. Il fait partie des archives secrètes de l’ex Armée Rouge.
J’attire l’attention du lecteur pressé sur l’importance unique de tels témoignages. Une garantie de sérieux et d’authenticité les rend très spéciaux. Leurs auteurs sont des militaires, professionnels aguerris qu’on ne peut taxer de fantaisie. Ils sont entraînés aux pires situations, ce qui ne les a pas empêché de tomber au combat.
« Le général-major V. Demyanko, commandant des Plongeurs Militaires, rapporte un événement extraordinaire qui s’est produit en Sibérie. Des hommes-grenouilles ont été confrontés à des nageurs sous-marins semblables à des hommes mais de grande taille, environ trois mètres de haut. Ces nageurs, malgré l’eau glacée, étaient vêtus de combinaisons collantes argentées.
Par 50 mètres de fond, ils ne portaient pas d’appareils respiratoires, mais des casques sphériques masquaient leurs têtes. Alertés par ces rencontres, le commandant militaire local décida de capturer une de ces créatures. Dans cette intention, un groupe spécial de plongeurs poursuivit un des étranges nageurs. » (source)archives russes déclassifiées
On ignore si l’un ou l’autre a pu filmer l’événement. Sans doute que non. « Lorsqu’ils tentèrent de le coiffer avec un filet, le groupe entier fut projeté par une force puissante hors des eaux profondes vers la surface. Les hommes-grenouilles étaient en danger de mort, parce qu’ils leur auraient fallu observer des paliers de décompression. Tous les membres de cette malheureuse expédition furent atteints d’embolie gazeuse. Le seul traitement envisageable était de les placer en caisson hyperbare de décompression.
Mais le seul disponible ne pouvait contenir que deux personnes. On parvint à en serrer quatre dans le caisson, les trois autres étant condamnés à coup sûr par l’embolie gazeuse. Les quatre sortirent du caisson gravement handicapés, mais saufs. Aussitôt, le général-major s’était précipité à Issyk-Kul, autre lac sibérien, pour prévenir les plongeurs contre toute initiative du même ordre. Bien que le lac Issyk-Kul soit moins profond que le lac Baïkal, des créatures mystérieuses se trouvaient dans les deux. » (source)archives russes déclassifiées
En fait, six lacs sont occupés par ces géants.
Plus tard, les militaires du Turkménistan ont reçu l’ordre d’effectuer une analyse détaillée des événements du lac Baïkal. Pour démarrer leur enquête, on leur a remis des rapports des Forces du Génie au contenu stupéfiant : des litanies d’apparitions inexplicables, la présence de créatures sous-marines et de géants dans de nombreux lacs, les descriptions détaillées de disques géants et de sphères lumineuses rentrant et sortant des lacs, les lumières puissantes provenant des fonds, etc.
La diffusion de ces documents classés top secret dans l’Armée Rouge avait pour objet « d’éviter les rencontres inutiles ». D’autres rapports vont dans le même sens. Mark Steihnberg était basé près du lac Sarez, qui a 1500 m de profondeur. Chargé de suivre des satellites US SDI, il effectuait une mission d’observation sur des radars sophistiqués. Les radars repéraient régulièrement « des objets discoïdes qui plongeaient et disparaissaient dans le lac Sarez, puis refaisaient surface et décollaient. » Je ne peux m’empêcher de penser à Ummo, le dieu-poisson des Dogons, qui lui aussi serait sorti d’un lac. Je me souviens aussi de Viracocha, le Christ des Andes, qui serait sorti du lac Titicaca.
Ce lac des Andes atteint, lui aussi, une profondeur abyssale et ses eaux troubles empêchent toute exploration, comme Cousteau a pu le constater.
Que doit-on conclure ? Chacun se fera son idée. L’hypothèse d’une race de géants, survivants de temps très lointains, n’est plus tout à fait aussi rocambolesque qu’il paraît. Même chose pour l’hypothèse de créatures mi-homme, mi-poisson, tel Ummo, Viracocha, le dieu Vichnou ou le dieu Oannès des Macédoniens. Le mythe planétaire des sirènes prend un coup de jeune. Quant aux disques argentés entrant et sortant des eaux profondes, le phénomène a été signalé à maintes reprises au sud du Japon, ou encore du côté de Bimini dans le Triangle des Bermudes et même sur la côte Pacifique.
Tout se passe comme si Poséidon continuait encore son aventure. Des géants sans masque de plongée. Ont-ils des branchies ? Ils projettent les plongeurs sans les toucher. Manieraient-ils l’énergie Vril ? Grâce à leurs combinaison argentée ? Ce pourrait être une seconde peau métallique, un métal résistant et d’une grande souplesse, comme la cotte de maille de Bilbo, faite dans un métal elfique, le Mithril.
Les dieux d’avant connaissaient un autre métal dont nous ne savons plus rien, l’orichalque. La combinaison doit avoir des qualités de propulsion. Dans un alliage à base de mercure ? Des géants habitent les grands fonds. Ils y supportent des pressions faramineuses. Ils remontent sans observer de palier de décompression, ils sont insensibles à l’embolie gazeuse. Leur sang pourrait-il être différent du nôtre ?
Serait-il plus riche en métaux, ce qui pourrait lui donner une couleur… bleue ? De nombreuses traditions affirment en effet que les « dieux d’avant » avaient le sang de cette couleur. Dans de nombreuses langues, cette image est passée dans les expressions idiomatiques. Ne dit-on pas des nobles qu’ils ont le sang bleu ?
Ces plongeurs géants ne sont pas une hallucination collective, des hommes en sont morts. Hélas, il manque les preuves décisives, photos ou vidéos. Il y en très peu en la matière, et encore, les rares qui circulent sont souvent bidonnées. Un autre volet, tout aussi étonnant, concerne ces gens qui se disent enlevés par des extraterrestres.
Fantasme ? Rêve éveillé ? Triste vérité ? Ce type de rapt a été si souvent rapporté qu’on a fait un mot pour le décrire : une abduction.
Qui a creusé ces galeries et ces villes souterraines, et pourquoi tout ce travail ?
"J'en ai haussé des femmes ! J'en ai osé des flammes !" (Cahiers Ficelle, inédit)
En 1312, l'empereur du Mali regagne l'Amérique, le continent de ses lointains ancêtres.
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Leur mouvement permet la vie, leur ouverture permet la clarté, leur vigueur permet l'éveil.