« Les androgynes célestes ont créé les humains » devrait dire la Bible si elle était mieux traduite. Androgynes, car c’est le sens littéral du mot Elohim, le nom des dieux de la Genèse. Ces dieux d’avant qui nous ont créés, avaient-ils un sexe ? S’ils étaient reptiliens, ils pouvaient en avoir deux…
Pour les Yoroubas, le dieu des dieux, c’est Obatalla ou Oshalla le Ciel, comme Elohim, et comme Ouranos le Ciel qui est l’ancêtre de tous les dieux grecs. Or Oshalla est tantôt homme, tantôt femme. Comme Elohim. L’androgyne primordial est tapi dans l’ombre… Il y a de fortes chances que notre espèce ait été créée androgyne au départ. De nombreuses légendes en attestent, en tout cas. Ainsi que des vestiges éloquents : les seins des hommes et le clitoris des femmes, entre autres. C’est pourquoi retrouver l’état d’androgynie initiale est un but initiatique rémanent.
En Inde, les dieux sont innombrables, de Shiva à Brahma, Vishnou à Krishna, Hanuman à Rama, Ganesh à Mira, chacun sa spécialité, chacun son don offert aux hommes.
En effet, les textes sumériens sont antérieurs. Ils sont aussi plus explicites, plus faciles à décrypter. Pour Sumer, il n’y a pas non plus de dieu unique, mais une tapée d’extra-terrestres, au look humain de chez trop-humain, sauf la tête de vautour et deux paires d’ailes. Avaient-ils réellement cette apparence, ou est-ce une exagération ? En tout cas, ils volaient, avec ou sans ailes…
Ces gens-là avaient besoin de main d’œuvre pour aménager la planète, ils nous ont fabriqué à la chaîne pour bosser à la chaîne. Agriculture, nous voici ! Et ça nous a plu, au début. Les travaux des champs nous changeaient des dangers de la chasse. Pour les dieux, c’était l’Éden, l’âge d’or. Pour nous, leurs créatures, c’était un peu moins gai.
Reprenons cette source par le menu, telle qu’elle est contée dans le livre d’Enki. Au commencement, les anges travaillent pour les dieux. Un jour, les anges protestent, réclamant du repos. Oui, mais qui fera la besogne et les tâches ménagères ? La déesse Namma appelle son fils Enki le sage. Il décide de créer une race d’esclaves, nous les hommes. Il prend de l’argile qu’il trempe dans la chair et le sang d’un dieu sacrifié, pour que l’homme ait une part de l’intelligence divine. Ainsi naquit le premier exemplaire humain, qui sera bientôt suivi par beaucoup d’autres. (source)Légendes sumériennes recueillies par Sénachérib
En auscultant le mythe sumérien, voici ce qu’il raconte à nos cœurs. Jadis, des surhommes ont fabriqué les hommes pour les servir. Ils ont aussi fabriqué les femmes pour leur plaisir. Ces surhommes ne sont pas immortels, sinon comment Enki aurait-il pu sacrifier un dieu ? Ces surhommes étaient vivants, leurs besoins corporels les situent dans la catégorie des êtres biologiques. Avec un corps physique, ils étaient donc mortels comme tous les vivants.
Sans doute sont-ils déjà morts, vu que cette histoire commence à dater. Ces surhommes, savants surdoués, étaient aussi d’excellents poètes. Chacun des contes qu’ils ont laissé est une bouteille à la mer ; les mythes sont le testament des dieux d’avant. Ils ont choisi des images frappantes, pour que ces légendes se transmettent au long cours, à coup sûr, et partout. Au point qu’elles font partie du génotype de notre espèce.
Pourquoi ont-ils fait ça, pour notre bien ? Sommes-nous à eux? Nous n’appartenons à personne. Mais il se trouve qu’ils nous ont faits pour prendre leur suite, et qu’ils se sont attachés à nous dès le début. Ils ne nous ont pas créés pour leur service, affirment plusieurs auteurs, récusant la version sumérienne que je donne plus haut. Une fois de plus, la vérité est ailleurs. C’est la thèse de Hörbigger et Bellamy, l’hypothèse des lunes successives.
Ces géants se savaient condamnés par l’approche de la lune du tertiaire. Ils sont donc repartis vers les étoiles quand la pesanteur est devenue trop forte pour eux. C’est pourquoi ils nous ont transmis tout leur savoir. Cette hypothèse comporte trop de points douteux, sur les plans astrophysique et géologique, pour qu’on puisse bâtir sur elle. Mais quelque fut leur motivation, les dieux d’avant nous ont tout appris. Ils voulaient nous donner toutes les chances de poursuivre leur civilisation brillante, et c’est ce que nous avons fait. Du moins en partie. Nous avons imité leur science, leur technologie, leur savoir-faire dans toutes sortes de domaines.
Il est amusant de noter que ces braves géants ne nous ont pas transmis que le sérieux. Les dieux d’avant ont donné à nos ancêtres des cours intensifs de langue, écriture, maths, géométrie, artisanat, astrologie, architecture, avec interro-écrites et contrôle continu. Pendant ce temps-là, ou juste avant, Hathor, Athéna, Isis, et les géantes enseignaient aux humaines la magie, la volonté, l’art de rêver et de traquer, les différentes techniques d’éveil. Mais aussi l’art de la couture, de la cuisine, du maquillage et de la séduction. Seules les femmes ont reçu cet enseignement des reptiliens eux-mêmes. Les hommes n’ont jamais été initiés à l’art de séduire, c’est pourquoi les femmes ont toujours beaucoup à leur apprendre en ce domaine comme dans tant d’autres.
Sans Isis, sans Athéna, pas de vie intérieure, pas d’éveil.
Sans les géantes sexy, on n’aurait jamais connu Vogue ni Elle.
Et sans le Serpent originel, on n’aurait jamais connu Apple.
Qui a creusé ces galeries et ces villes souterraines, et pourquoi tout ce travail ?
"J'en ai haussé des femmes ! J'en ai osé des flammes !" (Cahiers Ficelle, inédit)
En 1312, l'empereur du Mali regagne l'Amérique, le continent de ses lointains ancêtres.
Le symbole suggère, l'image montre. Que montre le caducée, arme d'Hermès ?
Ils viennent de la littérature, de la bd, de la pop, de ce qui court,…
Leur mouvement permet la vie, leur ouverture permet la clarté, leur vigueur permet l'éveil.