Mazdéisme et géants volants

 

L’antique religion d’Ahura Mazda est une des plus anciennes. Ses racines plongent profondément dans la préhistoire, au cœur d’un monde merveilleux peuplé de géants astronautes et d’engins spatiaux.

Ancienne religion de la Perse, l’actuel Iran, le mazdéïsme doit son nom à son dieu principal, Ahura Mazda. Son origine officielle remonte aux tribus indo-européennes du 2e millénaire avant notre ère, mais j’ai tout lieu de croire qu’elle est beaucoup plus ancienne, à en juger par l’éloquente légende de Yima, à l’âge glaciaire.

Ce dieu très antique porte un nom qui peut de découper tout autrement : Ahura Mazda, par la vertu de la langue des oiseaux, peut se lire ainsi : Ahu Ram Ase Da. Ahu pour Yahu ou Anu, premier des dieux terraformeurs, parèdre masculin d’Ana ou Ama, la grande déesse Anne des Bretons. Ram pour Rama, druide guérisseur, pacificateur, empereur du monde, fondateur du lamaïsme, initiateur du genre humain. Ase, comme les dieux nordiques, pour indiquer la provenance hyperboréenne de ce tout premier dieu. Et Da, comme oui en russe, comme Dieu, qui vient du grec theos, traduit aussi bien par dieu que par Zeus.

Ahu Ram Ase Da est descendu du ciel accompagné par ses géants volants, disent les antiques légendes de la Perse. On ne demande qu’à y croire, tant la présence antique des géants est universelle. Chaque religion première, chaque mythologie du monde regorge de légendes sur ces très grands êtres, leurs prouesses et leurs accomplissements. En langue des oiseaux, le mazdéisme peut se lire : déisme de masse. Comment les masses antiques auraient pu ne pas croire en Dieu quand les dieux se pressaient parmi les hommes ?

 

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Le zoroastrisme, du nom de Zoroastre/Zarathoustra, est une réforme du mazdéisme. Zarathoustra, que Nietzsche a rendu célèbre, a imposé sur la vieille religion polythéiste la grille monothéiste qui s’est imposée partout sous nos latitudes. Cette religion existe toujours. Le livre sacré du mazdéisme est l’Avesta ou Zend Avesta. « En Iran, c’est dans la région de Yazd que l’on peut le plus aisément rencontrer des mazdéens, les Guèbres, comme ils sont appelés dans le pays.

Ils ne sont plus très nombreux – 30 000 ou 50 000 peut-être – et habitent soit Yazd, soit Kirman, soit encore de petits villages nichés dans la montagne qui leur ont servi de refuge. Ils sont loin d’avoir la prospérité de leurs coreligionnaires des Indes que l’on nomme Parsis – les Persans – car ils descendent d’hommes qui, au temps des invasions arabes, ont fui leur pays pour mieux garder leur foi. 

À Bombay, leur principal centre en Inde, ils sont aujourd’hui une centaine de mille peut-être. Ils ont su s’imposer sous la domination anglaise en construisant de vrais empires industriels et financiers. » (source)  Déjà, au temps des Grands Moghols, ils impressionnaient fortement le plus glorieux prince de la dynastie, Akbar (1542-1605). Ils vivent dans l’élégant quartier de Malabar Hill, près des grandes tours à ciel ouvert – que nous nommons les « Tours du silence » – où ils déposent leurs morts. 

Peut-on voir dans la prospérité des Parsis une tardive revanche de leur exil ? Sans doute, mais cette revanche pourrait leur être fatale. En effet, leur richesse tend à les détourner de leurs croyances, de leurs traditions et ne les incite guère à croître et à se multiplier. Certains observateurs prétendent que leur nombre ne cesse de diminuer. » (source)

 

 

Sur ce haut-relief mazdéen de l’antique cité de Persépolis, on voit des hommes monter un escalier avec des vivres. Des hommes, dites-vous ? Des géants dans ce cas. Regardez la taille du cerf : ces gaillards mesuraient plus de cinq mètres. Regardez aussi le casque qu’ils portent… Ceux-là, d’où sortent-ils avec leur casque intégral à visière transparente ? On dirait bien des casques de cosmonautes… Ils emportent aussi une barque trop petite pour eux. Une barque faite pour des hommes de notre taille.

On peut donc décrire cette fresque ainsi : des cosmonautes géants emportent des animaux vivants et des produits de l’activité humaine. Où ça ? Dans leur vaisseau de l’espace ? Ces géants-là sont-ils venus chez nous refaire le plein de vivres et carburant ? Ou bien emportent-ils des spécimens biologiques pour les étudier, voire les cloner ?

Au hasard des riches heures très antiques, des géants ne cessent de surgir, tranquilles comme chez eux. Dès qu’on accepte d’ouvrir les yeux sur le passé réel de notre espèce, des couleurs lui reviennent, jubilatoires. On retrouve cette histoire mal cachée sous l’histoire officielle, menteuse. Notre histoire vraie nous a suivi, répétée par les mythes et les contes populaires, chantée par les poètes, relayée par le ciné et la bd, mais toujours dénigrée par les élites.

Le Nemrut Dag, ou Mont Nemrod, en Turquie, est décoré par des statues géantes érigées il y a plus de deux mille ans par Antiochos 1er de Commagène. Les monolithes décapités représentaient deux lions, deux aigles, des dieux d’avant, parmi lesquels Ahura-Mazda, qui évoque Zeus, avec son casque en ogive. Sur la colline on peut voir les vestiges des statues assises. Elles ont été décapitées et mutilées, leurs têtes mutilées sont réparties sur le site. Il y a dans ce spectacle quelque chose de touchant. 

 

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Pour moi ces statues commémorent un événement majeur. Voici comment je vois les choses. Jadis, sur cette montagne, les dieux d’avant posaient leurs engins volants. Il y a très longtemps, les géants sont descendus du ciel pour nous apporter l’écriture, les sciences, la civilisation. Leur chef s’appelait Ahura Mazda, lumière céleste. Le mazdéïsme est la célébration de ces divins initiateurs. Et dans ce coin du monde, c’est ici qu’ils atterrissaient. 

Oui, ici même, à Persépolis. Cette merveille du monde pré-antique est restée longtemps aux mains de barbares ignorants. Qu’en reste-t-il maintenant que les barbares sont loin ? Les barbares passent, le malheur dure. Ils sont partis, bien des richesses archéologiques sont parties avec eux…

Le mont Nemrud Dag était ce qu’il convient d’appeler un trône de Salomon, une plate-forme servant au décollage et à l’atterrissage d’engins volants. Comme le mont Thabor… Il y a aussi le grand astroport de Baalbek, il y a encore la fausse tour de Babel, qui était elle aussi la plate-forme spatiale des géants.

Mais ceci est une autre histoire. Pour la suite la plus magique, cliquez sur le premier lien qui vous cligne de l’œil et suivez le Lapin Blanc au Pays des Merveilles.

 

Il est temps d’instaurer la religion de l’amour.
Louis Aragon