Du temps que la Nature en sa verve puissante
Concevait chaque jour des enfants monstrueux,
J’eusse aimé vivre auprès d’une jeune géante,
Comme aux pieds d’une reine un chat voluptueux.
J’eusse aimé voir son corps fleurir avec son âme
Et grandir librement dans ses terribles jeux ;
Deviner si son coeur couve une sombre flamme
Aux humides brouillards qui nagent dans ses yeux ;
Parcourir à loisir ses magnifiques formes ;
Ramper sur le versant de ses genoux énormes,
Et parfois en été, quand les soleils malsains,
Lasse, la font s’étendre à travers la campagne,
Dormir nonchalamment à l’ombre de ses seins,
Comme un hameau paisible au pied d’une montagne.
Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal
Adam n'est pas notre premier ancêtre. Lilith est venue avant lui et bien avant Eve.
De l'antique Empire Atlantique, il ne restait que des miettes pour démarrer un nouveau monde.
Prison spatiale, prison spéciale. Est-on dedans ? Qu'y a-t-il dehors ? Le sait-on vivant ?…
L'aventure des Loups Volants 2025 se termine. Voici ce que j'ai vu pour chacun de…
Mais les Dieux n'ont pas disparu : ils ont accosté... ou sont montés sur Hyperborée.
Guérir est à la portée de chacun. Puisque tu as su te rendre malade, tu…