Souvent cette question m’est posée : les géants et les anges sont-ils les mêmes ? Les géants sont les fils des humanités précédentes, ils se déplacent en volant, ils sont les serviteurs des dieux d’avant. Oui, pour moi c’est tout à fait probable. Les géants sont des anges et les anges sont géants.
Cependant probabilité n’est pas certitude. D’ailleurs de quoi l’être humain pourrait-il être certain, lui qui ne sait ni qui il est, ni d’où il vient, ni où il ira quand il passera. C’est pourquoi ma ligne de conduite a toujours été celle de la foi et du doute, intimement mélangés de façon à ne former qu’un tout unique, impossible, impensable — mais fonctionnel.
Il s’agit de croire avec conviction, car sans la foi rien ne s’accomplit, aucun effort ne trouve récompense. Croire sans restriction, et dans le même temps ne pas y croire du tout. Car la foi aveugle rend la personne crédule, et cette naïveté peut causer sa perte. Croire qu’on va réussir, jeter toute son énergie, toute sa conviction dans l’entreprise, et dans le même temps ne pas être dupe de cette ivresse qui te dope.
Faire la part des choses, à condition d’être à 100% convaincu, et à 100% incertain. Cette façon de faire fait maintenant partie de mon caractère. Je garde toujours ce double point de vue. Le nagualisme, le bouddhisme et mon benefactor l’ont appelé croire sans y croire.
Vous connaissez mon travail, vous avez compris comment j’ai mis à plat un maximum de légendes du monde entier pour les décortiquer, les étudier point par point et les comparer entre elles. Les mythes et légendes m’intéressent vivement, et ceci depuis l’enfance.
Je me suis plongé dans leur étude systématique voici une quarantaine d’années. Largement le temps de les éplucher. Ils m’ont nourri l’âme et le corps. Longtemps je les ai portés en moi. Puissent-ils encore longtemps servir de trame à mes rêveries. Et quand je visite le passé, puissé-je encore souvent tomber sur un mythe fondateur qui s’effeuille sous mes yeux et me livre ses secrets les plus intimes.
En 2008, j’ai accouché d’Éden Saga. Chapitre après chapitre, j’ai mis en ligne une autre histoire des humains, basée sur des faits inexpliqués ou négligés, et fondée sur des textes sacrés : tous les anciens mythes.
J’ai découvert que les mêmes faits sont racontés par de nombreuses légendes. Il y a bien sûr des altérations selon les peuples, les époques, les cultures. Mais ces divergences sont minimes et n’ont aucune portée. La trame du récit reste la même. j’y vois la preuve que ces faits se sont produits.
Certes chaque nation localise sur ses terres tel ou tel fait glorieux du passé. Tous les peuples tiennent à ce que leurs dieux ne soient qu’à eux. Ce qui explique pourquoi le nom, l’histoire et le lieu de naissance de tel ou tel dieu varie selon les cultures.
Chaque peuple l’a relogé à domicile. Chaque peuple en a fait son dieu unique. Personnel. Réservé. Oubliant ainsi qu’à l’origine les aliens terraformeurs sont descendus du ciel pour tous les hommes et tous les peuples du monde. Les querelles d’ego sont arrivées plus tard.
Leur vaisseau-mère, Hyperborée, ou quel que soit son nom, était en vol stationnaire à 200km au-dessus du pôle nord. Cette position était judicieusement choisie. Pour des raisons électro-magnétiques, d’abord. S’élève au-dessus du pôle nord un cône vierge de toutes pollutions énergétiques géo-spatiales. Autre avantage précieux: de ce point central, tout l’hémisphère nord, le plus peuplé, est facilement accessible. Ainsi l’Amérique, l’Asie et l’Europe sont à égale distance des dieux d’avant.
Chaque peuple a pu croire que les dieux étaient là seulement pour lui, comme l’a fait le peuple hébreu avec Yahweh Jéhovah Hachem Elohim Élie Adonaï et Cetera, leur dieu unique. En fait, il y avait une tapée de dieux uniques, chacun spécialement chargé de tel ou tel secteur géographique. Mais quoi qu’il en soit, tous les dieux venaient d’Hyperborée.
Le premier de tous les mythes raconte l’arrivée sur terre des dieux de l’espace. Leur tâche était de terraformer cette planète, de l’ensemencer, d’y faire naître toutes sortes d’espèces animales, et de couronner leur création en y ajoutant un être assez intelligent pour continuer leur œuvre. La plupart des traditions font état de ces dieux volants et de leurs serviteurs les anges.
Dans la plus vieille version, celle de Perse, le premier dieu s’appelle Ahura Mazda. Il descend du ciel escorté par une armée de géants volants, qui méritent bien qu’on les appelle géanges. Les Géanges sont les anges de Gé déesse de Terra. Ils sont à la fois des géants et des anges.
La mythologie perse, la plus ancienne, contient la toute première version du mythe de Noé et de son arche. Cette fois, il ne s’agit pas de survivre à un déluge, mais de survivre à un terrible hiver qui doit s’abattre sur le monde et y maintenir sa rigueur pendant un grand nombre de générations.
Le Noé des glaces s’appelle Yima. Il a creusé un var, un abri souterrain. Ce var est son arche. Il y cache toutes les bêtes, par couple. Toutes les graines y trouvent aussi refuge. Le var a de l’eau souterraine, toutes les commodités pour résister le temps qu’il faudra. Et croyez-moi, il en a fallu.
Le var est une capsule temporelle qui a duré cent mille ans. Comme l’interminable hiver que les climatologues appellent le dernier âge glaciaire : Würm en Europe, Wisconsin en Amérique. Il a duré exactement cent mille ans, pour se terminer il y a environ 10’000 ans.
Le mythe de Yima montre que cet âge de glace était prévu. Tiens? Comment les dieux le savaient-ils? Voyez plus loin, je vais vous le dire.
Sa durée nous donne l’époque où Yima est descendu dans son var, il y a 110’000 ans. Vertigineuse ancienneté. Très nettement le plus ancien témoignage sur les dieux d’avant et leurs mœurs brutales : ils n’étaient pas des modèles de paix et d’harmonie. Le mythe du bon dieu n’était pas encore inventé. En plus du froid inhumain, Yima et ses contemporains ont dû supporter des soudards divins. Ces va-t-en-guerre les envoyaient au Salon du Prêt-à-mourir. Ce que le gel n’a pas décimé, leurs armes létales s’en sont chargées.
Le corpus légendaire hindou nous parle des armes des dieux, d’une puissance destructrice très post-moderne. Certaines descriptions font penser à des bombes atomiques. La Bible raconte comment Sodome et Gomorrhe furent détruit par le feu du ciel – là encore, on dirait une atomisation. Les cités antiques de la vallée de l’Indus, et notamment Mohenjo-Daro, portent la trace d’une atomisation, affichant encore un taux de radioactivité élevé. Or cette province faisait partie de l’empire de Rama le dieu géant, dont on dit qu’il eût à soutenir une guerre terrible contre les Asvins. (Ramayana)
D’où une question légitime : le dernier âge glaciaire ne serait-il pas un hiver nucléaire ? La grande guerre des dieux contre les géants ne se serait-elle pas réglée à coup de bombes atomiques ? Les lacs salés qui parsèment le globe de déserts où rien ne pousse ne seraient-ils pas les vestiges d’une vitrification nucléaire ? Il y a urgence à lire autrement tous ces vieux textes, ils ont davantage à nous dire qu’on l’a cru jusqu’ici. À condition de ne pas prendre les vessies pour des lanternes et les réalités pour des symboles.
Le symbolisme ? La sagesse des crétins. Ce qui reste quand on a tout oublié.
C’est ainsi que je suis devenu décrypteur de mythes, traducteur de légendes, interprète éclairé des textes sacrés dont j’aplatis les redondances, filant ma quenouille de cheveux d’anges, égalisant les dieux uniques, revisitant de vieilles salades pour leur rendre leur fraîcheur native.
Dans la version slavonique de son Livre, le patriarche Hénoch s’exprime ainsi : « Mes enfants, écoutez. Mon dernier jour est proche, ma dernière heure va venir. Déjà les anges qui vont m’accompagner sont devant moi. Ils me pressent de vous quitter. Ils doivent faire leur travail. Demain je vous quitterai. Je dois aller au ciel retrouver la Jérusalem céleste, qui sera ma résidence pour l’éternité. » (source)Jovanovic et Bruyant, « ENOCH, Dialogues avec Dieu et les anges, »
Texte qui peut se lire ainsi : « Chers amis, je dois partir pour un grand voyage duquel je crains de ne pas revenir. Mes initiateurs les géants vont me montrer comment m’équiper et m’installer dans le vaisseau qui va nous emporter demain pour la planète artificielle Hyperborée, où je vivrais pour toujours dans la compagnie des géants volants et de leur cheffe vénérée. »
Le chef vénéré, dieu suprême de tout ce qui vit, n’a jamais existé. C’est un transsexuel imaginaire de la Grande Déesse, dont l’existence ne fait aucun doute. Ce changement de sexe a suivi la fin du matriarcat. Pour les machos bibliques qu’on nomme les Patriarches, il était impératif d’effacer à jamais la mémoire d’Ana, Ama, Hathor, Héra et ses consœurs dont vous trouverez la liste (incomplète) ici-même.
Le prétendu dieu unique était une grande déesse du nom d’Hathor. Grande, elle l’était par son œuvre merveilleuse, la terraformation de notre planète avec la mise au point de ses espèces animales et végétales, l’aménagement des paysages afin de leur donner la belle harmonie qu’on leur connaît aujourd’hui. Mais Hathor était grande aussi par la taille. Comme les dieux Olympiens, elle mesurait dans les 4 mètres — ce qui est minuscule comparé aux géanges de la première génération, les Cyclopes ou Archanges, qui dépassaient les 50 mètres sans se forcer.
-Meuh, dit la Vache sacrée. Hathor a raison.
Voyez son portraitci-dessus et ci-dessous finement sculpté dans la pierre. C’est l’œuvre d’un grand artiste dont nous ignorons tout. Mais on peut voir la précision et la beauté de son travail, gage du réalisme de l’œuvre. Regardez la forme de ses yeux, celle de son visage. Et surtout, regardez ses oreilles: ce sont celles d’un ophidien.
La Déesse n’est pas humaine. La Sainte Vache est une reptilienne, probablement aquatique, comme Tiamat, monstre marin redoutable que le puissant Enki n’a pu terrasser. Le dieu mésopotamien Marduk finira par en venir à bout, et cet exploit fera de lui le premier dieu de la Terre.
Hathor n’est pas monstrueuse, loin de là; mais elle est indiscutablement reptilienne humanoïde.
Le Livre d’Hénoch dit encore : « Quand Hénoch cessa de parler, le Seigneur répandit l’obscurité sur la Terre afin de couvrir Hénoch et tous ceux qui se trouvaient autour de lui. Alors Hénoch s’éleva dans le ciel jusqu’au paradis le plus élevé, là où se trouve Dieu. Le Seigneur le reçut et le plaça devant Son visage. C’est à ce moment que l’obscurité se retira de la Terre et que la Lumière régna à nouveau. » (source)Jovanovic et Bruyant, « ENOCH, Dialogues avec Dieu et les anges, »
Que je lirai plutôt : « Quand Hénoch cessa de parler, le vaisseau de la Déesse projeta son ombre sur la Terre afin de couvrir Hénoch et tous ceux qui se trouvaient autour de lui. Alors Hénoch fut abduit par cet engin et conduit dans le ciel jusqu’en Hyperborée où se trouve la Déesse, au paradis le plus élevé. Notre Dame le reçut et le plaça devant Son visage. Le Soleil Hyperborée s’est illuminé soudain, l’ombre s’est retirée de la Terre et la Lumière divine règne à nouveau. »
Le Soleil Invaincu, tel est le nom que les Romains ont donné à Hyperborée. Il diffusait sur tout l’hémisphère nord une lumière si vive et si proche que notre lointaine étoile, en comparaison, semblait un astre de nuit.
Si Dieu — ou plutôt la Déesse – a besoin de mettre Hénoch devant son visage, c’est qu’il est bien plus petit qu’elle. Sinon il se tiendrait devant elle, sans qu’elle doive l’approcher de sa face. L’image de l’Éternel(le) est toujours gigantissime. Les représentations de Dieu dans l’iconographie chrétienne en font un être gigantesque. Les Anges qui sont le peuple divin ont donc nécessairement une très grande taille.
D’après la mythologie gréco-latine et celles de l’Asie, il y eut cinq (ou six) humanités successives qui ont peuplé la terre. Ces humanités sont de grandeur décroissante. L’humanité précédente est évoquée dans la Bible. L’ancien testament nous enseigne que les Patriarches, doués d’une longévité hallucinante qui se compte en siècles, jouissaient également d’une taille confortable, qu’on peut évaluer entre 3 et 4 mètres.
Quant à savoir la pertinence de l’équation A = G, Ange = Géant, il me semble que vous êtes fixé. Si vous hésitez encore, je suggère un recours ultime à la langue des oiseaux. Ces deux mots dans notre langue sont le verlan de l’autre : AN GE et GE AN.
Le verlan est une langue sacrée, comme tous les argots, qui sont non seulement la partie vive de la langue, mais aussi sa partie la plus signifiante, puisqu’elle épouse les moindres variations de la sensibilité populaire. Chacun se fait son idée par les chemins qui lui conviennent. Après quoi, en digestif, la langue des oiseaux donne son verdict. Histoire d’ôter l’ultime doute.
Ôter le doute? Il faut plus qu’un jeu de mots pour ça. Il faut des preuves. Il importe que l’équilibre se fasse raisonnable entre la foi et le doute. Il est nécessaire que le croire l’emporte sur le sans-y-croire (source).
Certes, les anges étaient de haute taille, de fortes présomptions renforcent cette hypothèse. Mais quand les mythologies nous parlent des géants, s’agit-il des anges? Quand elles mentionnent les géants volants, je crois qu’elles nous parlent de tout autre chose.
Un premier indice m’a mis la puce à l’oreille. Quand l’antiquité évoquent les géants, bizarrement, elle les présente sous une apparence de serpents. Ou d’ophidiens. Ou de dragons. Il semble que le mot géant était réservé à ces espèces-là.
Un jour le dieu des dieux a décidé de se débarrasser des géants qui tourmentaient les hommes et les dieux. Il a demandé l’aide de la première humanité, les Cyclopes. D’autres titans se sont joints à Zeus dans un combat à mort contre… des reptiles gigantesques. Alors j’ai compris que le mot géant est celui utilisé alors pour désigner les grands sauriens qui infestaient la planète.
La Gigantomachie ne les nomment jamais ni lézards, ni crocos, ni serpents, ni dragons. Elle dit toujours les géants. Et géant semble avoir été la façon antique de désigner… les dinosaures! On peut très bien imaginer que la disparition brutale des dinosaures soit due à l’action coordonnée d’une divine coalition contre eux?
Quoi de plus vraisemblable? Ces léviathans étaient dangereux. Les dinos volants à tête de lion, qu’on appelle les archontes, ne sont autres que des dragons. Leur taille n’a d’égale que leur gloutonnerie. Il leur faut chaque jour une grande quantité de viande pour s’alimenter. Les terraformeurs ont été contraints de s’en débarrasser.
Il est vrai que le récit mythologique de la Gigantomachie, guerre de Zeus contre les géants, décrit ces géants avec des corps interminables de grands serpents. Les images peintes sur des coupes ou les bas-reliefs grecs qui nous sont parvenus les représentent toujours ainsi. Voilà qui donne à réfléchir…
Tout était gigantesque sur cette planète. La gravité était-elle plus faible? Pour cette raison ou pour une autre, le gigantisme était la norme, pour les animaux, les humains et pour les plantes. Les dieux étant eux-mêmes de très grande taille, ils ont créé l’homme à leur image.
L’égalité ange = géant que j’ai posée est donc inexacte. Oui, les anges étaient très grands, mais pas plus que tout le reste. On peut encore voir des montagnes tronquées qui ressemblent beaucoup à des souches d’arbres giga-énormissimes. Vous admirerez plus bas la photo aérienne d’une île de Tasmanie qui m’a laissé sans voix. J’ai frémi en imaginant la taille de la scie qui a coupé cet arbre.
Et la taille du géant qui la maniait !
L'histoire humaine commence en Afrique avec les australopithèques, des Noirs.
Écoutez sereinement les images en respirant profondément les pensées d'Einstein.
À moins d'un sursaut de générosité, Eden Saga n'atteindra pas 2025. Il est encore temps…
Après les 7 chakras et les 15 chakras, voici les 8 chakras horizontaux, épaules, bras,…
Pour être libre et devenir ce que je suis, j’ai quitté les rails de la…
Après le christianisme mythologique, après des Celtes, l'Eglise a inventé celui de Jésus.