Notre planète n’a pas toujours connu la forte gravité qu’elle possède aujourd’hui. Dans le passé, pour des causes non élucidées, comme l’hypothèse de la proximité de la lune, ou d’une comète géante, ou d’un vaisseau spatial démesuré, cette gravité s’est trouvé considérablement diminuée. Conséquence : il y eut des animaux, des plantes et …des humanoïdes géants.
Nous avons vu comment des périodes de gigantisme ont affecté à plusieurs reprises la faune et la flore de cette planète, la nôtre, dont le passé véritable reste encore largement méconnu. Les dinosaures, les mammifères géants, les fougères arborescentes, les séquoïas, bien des indices demeurent qui devraient aider les scientifiques à réviser drastiquement leurs positions sur la question du gigantisme.
Des ossements de géants sont et ont été régulièrement découverts, mais la publicité sur ces issues majeures reste toujours très discrète. Pire encore, la respectable Smithsonian Institution se serait rendue coupable de destructions de preuves : de nombreux ossements de géants, jugés trop embarrassants, auraient été purement et simplement détruits au début du siècle dernier.
Terrible perte pour la science, qui s’en félicite pourtant, satisfaite de n’avoir pas à se désavouer et à réécrire page à page la fausse histoire de notre planète, qu’elle s’entête à rabâcher depuis des lustres, vouant aux gémonies ceux qui ne pensent pas comme elle. Dont je fais partie, et vous aussi, chers lecteurs. Les séquoïas géants atteignent une taille très respectable, mais ce n’est rien à côté d’autres vestiges supposés du gigantisme, comme celui qui suit, et qui défraye la chronique depuis déjà plusieurs années.
Bear’s Tipi ou Devils Tower, dans le Wyoming, semble être non pas une mesarelief naturel en plateau mais un arbre gigantesque dont le bois s’est trouvé pétrifié. Un immense réseau racinaire aurait été découvert à sa base. J’ai épluché le web, Graham Hancock et d’autres chercheurs dignes de foi partagent cette info. Mais personne n’en confirme la source, le doute reste donc permis. S’il ne s’agit pas d’un gros bidonnage, c’est une véritable bombe qui rendrait obsolètes tous les manuels d’histoire et de préhistoire. Une révolution qui va dans le sens de l’autre histoire, vous savez bien, celle que vous conte Eden Saga depuis dix ans.et des brouettes ! note de 2019
Une découverte énorme et surprenante a été faite à la Devils Tower dans le Wyoming. Les scientifiques du département des parcs d’état du Wyoming effectuaient des relevés sismiques photographiques, lorsqu’ils ont découvert un énorme réseau racinaire pétrifié sous la tour. Le département des parcs a publié une déclaration: «Nous avons découvert ce qui ressemble à un système racinaire géant issu de la base de Devils Tower. Le système racinaire mesurerait 4 miles de profondeur sur 7 miles de large. Nous menons actuellement des études et des tests pour confirmer qu’il s’agit en fait d’un système racine et non d’une coïncidence. » Cette découverte est à la fine pointe de la réécriture de l’histoire et de la science telle que nous la connaissons. Nous continuerons à vous informer sur cette importante question, car à cette date, les informations sont très limitées. (source)
Cinq kilomètres ! Telle est la profondeur des racines, telle aurait pu être la hauteur de cet arbre, qui étendait ses vastes ramures sur près de 10 km à l’entour ! Nous sommes bien peu de choses, avec notre taille ridicule, notre époque de déclin terrible et notre orgueil aussi démesuré que notre petitesse… Il y en a d’autres de par le monde. Au Vénézuéla, c’est Wahari Kuawai ou Tepuy Autana, de son nom espagnol Cerro Autana. Voici la description qu’en donne l’internaute Graham Russell :
Est-ce une souche d’arbre fossilisée géante? Cerro Autana dans l’état d’Amazonas, au Venezuela. Cerro Autana (Wahari-Kuawai) joue le rôle de «l’arbre de la vie» dans l’histoire orale et la tradition des Indiens Piaroa qui habitent la région. Pour les Indiens Piaroa, les habitants originaux de la région, Autana est une montagne sacrée (Wahari-Kuawai dans la langue de Piaroan). C’est Kuaimayojo, le souche de «l’arbre sacré des fruits du monde». La mythologie de Piaroan raconte comment «le sommet de l’arbre était aussi élevé que l’infini, et ses branches étaient pleines de fruits qui tombèrent et donnaient vie à l’Amazone». Un jour, Wahari (un dieu) et son neveu Ruayei, transformés en lapa (Cuniculus paca), ont coupé l’arbre pour obtenir tous les fruits à la fois. Ruayei a rongé la base jusqu’à ce que l’arbre tombe … (source)
De nombreuses légendes amérindiennes appellent cette montagne The Tree Of Life, L’Arbre de Vie, affirme la chercheuse indépendante Julie Ryder à qui je tiens à rendre hommage ici. Vous souvenez-vous de l’évangile: «Il y a un arbre dans le paradis / Un arbre qu’on appelle l’Arbre de vie / Toutes mes épreuves, Seigneur, sont bientôt finies» En fait, il y avait deux arbres merveilleux au paradis, l’un était l’Arbre de la vie, l’autre était l’arbre de la connaissance du bien et du mal. Ce dernier a mûrie une pomme que Eve a croquée une fois – depuis ce jour, l’humanité a été exclue du jardin d’Eden.
Voici le témoignage d’une éminente chercheuse de vérité, mon amie Julie Ryder – basée dans le Montana, elle est spécialiste des mégalithes et des traditions amérindiennes :
Des Danses du Soleil ont été célébrées ici depuis toujours car c’est une terre sacrée pour beaucoup de tribus, en particulier les Lakota. Lors de notre dernière visite, nous avons laissé des présents et des sachets de tabac ici. Les Lakota appellent cette montagne « le Tipi de l’Ours ». Le pouvoir y est si écrasant qu’en 1875, le colonel Richard Irving Dodge l’a surnommée la Tour du Diable … ça se passe de commentaire. Sur la photo, Bill et Julie Ryder présentent le Tipi de l’Ours après 12 jours de cérémonie Navajos et 8 autres dans les terres des Cherokees. L’énergie est surpuissante en ce lieu. (Julie Ryder)
Les géologues ne s’intéressent pas aux légendes exotiques. Dans ces montagnes, ils ne voient pas de troncs d’arbres fossiles. Pour eux, c’est de la phonolite, une pierre volcanique, tout comme leur formation, volcanique aussi.
La peur ressemble à l'ego. Tant qu'on est vivant, on ne s'en débarrasse pas.
Il n'y a pas quatre éléments, mais cinq. Le premier s'appelle l'éther. On l'a oublié…
Oui, perdu. Mais qu'on ne s'inquiète pas, le remplaçant est prévu.
Je vous demande un ultime effort pour sauver Eden Saga. C'est maintenant !!
L’aventure Eden Saga aura duré dix huit années. Reste encore UNE chance, la toute dernière.
Le Yi King nous est parvenu incomplet. J'ai restauré un hexagramme.