« Ghurka surgit dans son puissant vimana et détruisit les trois cités des Vrishis et des Andhakas avec un projectile unique chargé de toute la puissance de l’Univers. Une colonne incandescente de fumée et de flammes aussi lumineuse que dix mille soleils s ‘éleva dans toute sa splendeur.
C’était une arme inconnue, une foudre de fer, un gigantesque messager de mort qui réduisit en cendres la race entière des Vrishis et des Andhakas. Les cadavres étaient tellement brûlés qu’ils étaient méconnaissables. Leurs cheveux et leurs ongles tombaient ; la poterie se cassait sans raison apparente et les oiseaux devenaient blancs. Au bout de quelques heures, toute nourriture était infectée … Pour échapper à ce feu les soldats se jetaient dans les rivières pour laver leur corps et leur équipement… »
Voici ce que nous raconte le Mahabharata, un texte sacré védique écrit il y a des milliers d’années. Pas besoin d’être ingénieur atomiste pour y reconnaître la description exacte d’une irradiation nucléaire. Il est hautement improbable qu’en décrivant une arme imaginaire, l’auteur du Mahabharata ait énuméré les effets bien réels d’une bombe nucléaire. On doit donc en conclure, bon gré mal gré, que la technologie nucléaire n’est pas une invention moderne.
Bien entendu, la science actuelle n’admet pas qu’une culture préhistorique ait utilisé des OVNIs pour larguer des bombes nucléaires, encore qu’il existe plusieurs indices assez probants.
Au Pakistan et en Inde, dans la vallée de l’Indus, se trouvent les ruines de plusieurs cités antiques, détruites de façon brutale. Elles ne sont pas mentionnées dans l’histoire : nous pouvons en conclure qu’elles sont antérieures aux temps historiques. On les soupçonne d’être quelques-unes des cités Rishis du mythique empire de Rama. Les deux plus grandes sont aujourd’hui appelées Mohenjo-Dâro et Harappâ, mais ces noms sont modernes. Chacune d’elles pouvait loger jusqu’à 200.000 habitants.
S’agirait-il des cités des Vrishis et des Andhakas, ces trois villes détruites par Ghurka et sa foudre de fer ? Il semble en tout cas que ces villes aient été détruites en un instant : sur la chaussée, les fouilles ont permis de découvrir des squelettes fauchés en pleine activité. Après des millénaires, ces squelettes sont encore aussi radioactifs qu’à Hiroshima. Cette radioactivité élevée a entraîné des problèmes sanitaires graves, si bien que le gouvernement indien a été contraint de fermer le site de fouilles.
Un autre argument de poids renforce l’hypothèse de guerres atomiques dans un lointain passé. C’est l’épisode troglodyte, lors du dernier âge glaciaire, quand les êtres humains se sont mués en taupes pendant quelques trois mille générations.
Cet épisode n’est pas fictif, il fait réellement partie de notre patrimoine historique, ce qui explique pourquoi ce thème de l’enfouissement est si présent dans la littérature populaire : L’armée des douze singes, Voyage au centre de la terre, Les Terres Creuses…
Bien souvent, croyant imaginer un futur possible, les auteurs vont pêcher une tranche d’histoire pré-antique dans les annales akashiques… banque de données de tout ce qui nous avons vécu au cours de notre interminable histoire. Ceux d’entre eux qui le font en conscience possèdent ce précieux don qu’on nomme « science infuse ». C’est un tel plaisir d’explorer le très lointain passé de nos semblables.
Il faut d’ailleurs retoucher le portrait que ces citations guerrières nous donnent de Shiva. C’est qu’il y eut plusieurs Shivas.
Celui qui possède Pasupata, l’arme absolue, n’est qu’un des princes de l’ère atlante, un des dieux d’avant, généticien créateur de Hanuman et d’autres dieux hybrides. Celui-là n’est pas le grand Shiva, principe originel du Shivaïsme dravidien.
Car Shiva la Source, principe impersonnel et transcendant, ne peut en aucun cas être confondu avec le gardien d’une bombe atomique, qui n’est qu’un homonyme bien humain. En France, les Elie sont nombreux. Les Jésus le sont aussi en Amérique latine… Qui pourrait confondre Elie Semoun avec Elie, dieu de la Bible ? Ou Madonna avec la Sainte Vierge ?
De même on se gardera de confondre l’hindouisme de Ram ou Rama, d’importation européenne, avec le shivaïsme dravidien venu d’un autre continent, le Gondwana primordial, qui regroupait l’Inde, l’Afrique et l’Antarctique. L’hindouisme ramanite, issu d’une religion trinitaire atlante blanche, débute autour du cinquième millénaire AEC, tandis que le shivaïsme dravidien noir, religion de l’Un, semble beaucoup plus ancien.