L’aube du néant
Les amis qu’on a eu ressemblent tous à Juan Matus. Mon benefactor le Maestro, encore plus.
Les amis qu’on a eu ressemblent tous à Juan Matus. Mon benefactor le Maestro, encore plus.
Sujet difficile. Troublant mais capital. L’irrationnel est l’autre nom de la folie. Ça fait peur.
Nous avons plusieurs vies et plusieurs corps : au moins huit. Un seul est visible : le corps physique.
La sorcellerie dont je parle n’est pas celle de nos campagnes profondes. C’est un travail sur soi-même.
Ces pouvoirs ne sont pas miens. Je me sens fragment du Grand Tout. Enfin je suis chez moi.
L’Ange a de grands pouvoirs, qu’elle tient pour la chose la plus naturelle
L’énigme qui m’est apparue est la suivante : « Lac eau vidée la paour d’Ur est. »
Mon but n’est pas de ce monde. Après la vie, je veux que l’aventure continue.
Le cerveau interprète les signaux des sens à travers le filtre de nos préjugés.
Ceux qui me gênent sont écartés. Inversement, ceux qui m’aident sont récompensés.
Dès que tu y arrives, le cauchemar commence. Tu te retrouves à poil.
Un lutin joyeux danse dans mon cœur. Il repeint au champagne les heures grises où je doute.