D’innombrables études ont scruté la Grande Pyramide de Gizeh sous toutes ses faces, dimensions, proportions. Un condensé de ces élucubrations se trouve présenté ci-dessus, non comme un article de foi auquel on se devrait de croire absolument, mais comme une piste de réflexion.
Il faut savoir que les relations proportionnelles fondamentales entre la Terre et la Lune sont codés dans la Grande Pyramide comme le sont aussi la spirale de Fibonacci, le nombre Pi, Phi – 1: 1.618 – le nombre d’or et même la vitesse de la lumière ! Dans la perspective où les dieux d’avant aient voulu nous laisser une preuve de l’étendue de leur savoir, quel meilleur média pouvaient-ils choisir ?
Si toutes les pyramides d’Egypte ne sont pas antédiluviennes, les trois grandes pyramides du plateau de Gizeh le sont sans doute, ainsi que les pyramides de Dachour. Elles auraient donc plus de 12.000 ans. En ce cas, elles n’ont pas été construites par les pharaons dont elles portent le nom. Ces princes se sont appropriés des monuments préexistants, qui n’avaient pas été conçus comme tombeaux.
C’était la coutume des pharaons, le restaurateur se prenait pour le bâtisseur, or il n’était qu’un squatter. Il a peut-être exhaussé une pyramide préexistante, ou refait le parement de marbre blanc. Voilà sans doute toute l’œuvre de Snéfrou, Khéops, Képhren et Mikérinos. Une œuvre, d’ailleurs, que le temps et les pillards n’ont guère respectée, les parements de marbre ayant presque entièrement disparu, d’où cet aspect en escalier de géant qui les caractérise à présent. C’est d’autant plus fâcheux que, d’après Hérodote qui a eu la chance de les voir, ces parements étaient couverts de hiéroglyphes.
Attribuaient-ils cette pyramide à Khéops ? Ça ne prouverait rien. Napoléon a fait graver son chiffre sur les monuments des pays conquis. Signer n’est pas bâtir. Et les vrais bâtisseurs n’ont rien signé. Ni les cités des Andes, ni Mycènes, ni les Têtes géantes olmèques, ni les statues de l’île de Pâques, ni les dolmens celtes. Les monuments cyclopéens n’ont ni inscription, ni mode d’emploi, d’ailleurs. Les Cyclopéens s’en foutaient totalement, semble-t-il. Sans doute n’avaient-ils pas notre culte de l’ego.
Les architectures qui ont résisté au grand déluge ne ressemblent pas aux autres. Elles ont au moins deux caractéristiques qui les différencient radicalement de toutes les autres constructions humaines. Elles sont mégalithiques, c’est à dire faites de blocs énormes, taillés ou non. Elles sont nues, c’est à dire dénuées de tout ornement ou inscription. A ces deux signes, blocs géants, pas de décoration, on voit que la grande pyramide date d’avant le déluge : il n’y a ni peinture, ni sculpture, ni hiéroglyphe dans la grande pyramide.
Aucune marque donc, si l’on excepte une douteuse « marque de carrier » : c’est la marque que les tailleurs de pierre apposaient sur les blocs afin d’indiquer leur destination aux transporteurs. Cette marque consiste en un cartouche de Khéops, assez mal dessiné, caché sur un des blocs monumentaux constituant les « arcs de décharge » qui dominent la chambre du roi. Ce cartouche est censé être l’oeuvre d’un carrier, mais vu sa graphie malhabile, il pourrait tout aussi bien être une contrefaçon récente dûe à la main d’un égyptologue en mal de notoriété.
Fichus faussaires ! Notons que si le parement a été pillé, c’est parce qu’il était fait de petites pierres, très utilisables pour construire des maisons. Et le grand Hérodote atteste qu’il était recouvert de hiéroglyphes, comme Jacobs l’a montré. (source)Edgar P Jacobs, Le mystère de la grande pyramide, la maison du cheikh Ab El Razek, voir son portrait ci-dessous Pour ces motifs, le parement disparu était donc un ouvrage très postérieur. Datant de Khéops, précisément. Ce pharaon, restaurateur de la Grande Pyramide, n’en est donc pas le véritable constructeur. Elle se dressait déjà depuis bien des millénaires quand Khéops décida de la restaurer.
Si l’on en croit Edgar Cayce, qui ne s’est pas trompé souvent, la Grande pyramide a plus de 10.000 ans. Elle aurait été construite dans une Egypte de l’âge d’argent, par une civilisation d’un raffinement et d’une science dont nous sommes loin. Le grand architecte qui l’a édifiée serait Hermès lui-même. Un grand prêtre du nom de Ra-Ta, d’origine sumérienne, dirigeait la main d’œuvre ; ce Ra-Ta n’était autre qu’une précédente incarnation de Cayce.
En ce temps-là, les hommes étaient encore des dieux, ils n’avaient rien perdu des pouvoirs de leur esprit. C’est ainsi que les Atlantes firent la Grande pyramide. Les grandes pierres ont traversé le ciel pour aller tranquillement prendre place sur les assises. Quand l’imposant édifice fut terminé, cent ans plus tard, on le couronna d’un pyramidion en alliage métallique.
Cayce précise quels métaux composaient l’alliage. Il s’agit d’or, de cuivre, de laiton et « d’autres métaux qu’ils utilisaient alors ». Comme par hasard, ce sont les métaux les plus électro-conducteurs. L’énergie de la foudre était acheminée jusqu’à la chambre au sarcophage par des conduits traversant la masse de la pyramide, que les archéologues appellent des conduits d’aération, faute d’en comprendre la véritable utilité.
Plusieurs égyptologues ont saisi l’usage électrique des pyramides : « Des pyramides américaines et égyptiennes étaient posées sur une couche de mica, isolant électrique naturel encore utilisé de nos jours » (site inmysteriam, non sécurisé) Cette couche de mica servait manifestement à isoler un édifice soumis à de fortes tensions électriques, de façon que la charge ne soit pas mise à la terre. Les anciens tenaient à récupérer cette précieuse énergie qu’ils utilisaient à des fins initiatiques d’éveil, aussi bien que pour s’éclairer.
Thoth-Hermès a fabriqué là une divine machine, à ce qu’il paraît. Toujours selon Cayce, elle était appelée le Temple de l’Initiation. Jésus y aurait été initié, passant trois jours et trois nuits dans le tombeau vide. Une anecdote voudrait même qu’il ait été le seul adepte à pouvoir sortir du sarcophage sans aide, par ses propres moyens. Le coin brisé serait son oeuvre ! Cayce dit aussi que la structure de la Grande pyramide raconte toute l’histoire de l’humanité jusqu’à nos jours, qui s’approchent de la fin des temps, ou de la fin des âges, qui n’est pas la fin du monde…
Quant à Khéops, il est surtout le prince de la récup. Après tout, ce comportement n’est pas unique, tous les pharaons l’ont fait. De la même manière, les temples peuvent servir successivement à plusieurs religions, comme la Mosquée-cathédrale de Séville ou la mosquée Sainte Sophie à Istambul. La cathédrale de Cordoue, également connue sous son ancien nom de grande mosquée de Cordoue, est un ancien temple romain qui devint église puis mosquée, avant de devenir cathédrale.
Il fait peu de doute que le parement disparu de la grande pyramide ait été posé bien après son érection. Il semble clair aussi que ce nouveau parement, ainsi que quelques autres embellissements extérieurs, aient pu être l’oeuvre de Khéops. Le fait que ce parement soit constitué de petites pierres tend à prouver qu’à l’époque de Khéops, vers -2700, la gravitologie – ou la relative apesanteur de l’ère du gigantisme – faisaient déjà partie d’un lointain passé. Si l’on compte bien, Khéops est plus près de nous que des véritables bâtisseurs de sa pyramide.
Les pyramides répondent à un double objectif: tout d’abord, disposer d’un lieu d’initiation correctement orienté pour ceux qui veulent devenir pur canal ou initié à la Loi de l’Un. Ensuite, nous avons souhaité guider au mieux les initiés dans leurs tentatives de guérison des êtres et de la planète elle-même. Pyramide après pyramide, elles ont été chargées par le cristal de l’initié et conçues pour équilibrer l’énergie de la création unique avec les nombreuses et multiples distorsions de la planète esprit / corps / mental. Dans cet effort, nous avons pu poursuivre les travaux que les frères au sein de la Confédération avaient effectués. Nous avons érigé d’autres structures porteuses de cristal pour achever une sorte de cercle sur la surface de la Terre, et cet instrument attend que nous le fassions vibrer. »
Qui a creusé ces galeries et ces villes souterraines, et pourquoi tout ce travail ?
"J'en ai haussé des femmes ! J'en ai osé des flammes !" (Cahiers Ficelle, inédit)
En 1312, l'empereur du Mali regagne l'Amérique, le continent de ses lointains ancêtres.
Le symbole suggère, l'image montre. Que montre le caducée, arme d'Hermès ?
Ils viennent de la littérature, de la bd, de la pop, de ce qui court,…
Leur mouvement permet la vie, leur ouverture permet la clarté, leur vigueur permet l'éveil.