Rama Airlines

 

Rama Airlines, ainsi pourrait-on nommer la puissante flotte aérienne de ce riche empire préhistorique, régnant sur l’Inde entière, et qu’on appelle l’empire de Rama. Cet empire est souvent mentionné dans la littérature sacrée de l’Inde ancienne. C’était une civilisation très développée, au moins autant que la nôtre, sinon plus. A son apogée, vers -12.000, l’empire possédait plusieurs capitales, les sept cités Rishis, localisées en Inde du nord.

 

Le confort et le luxe y régnaient partout.  Nourritures exquises, volières et zoos exotiques, parcs fleuris, les descriptions antiques évoquent des cités modernes. Mieux encore : les avions des Ramas parcouraient le monde. Ils allaient même sur la lune ou les étoiles. Pour voler d’une cité à l’autre, les Ramas avaient des avions individuels dits Vimanas ou bien des avions de ligne dits Pushpakas.

Selon un texte jaïn de -850, les Pushpakas étaient des « chariots aériens utilisés pour le transport normal et pouvaient emporter beaucoup de personnes d’une capitale à une autre. » Ambiance SF très sixties, qui donne envie d’aller voir de plus près. C’est que j’ai fait puisque je possède ce don du voyage astral. Je peux me déplacer dans l’espace et dans le temps. Ces deux dimensions n’en font qu’une selon la physique quantique, même si nous ne le vivons pas ainsi dans la vie quotidienne.

En astral, la physique quantique est une réalité. J’en profite pour visionner les différents sujets que je traite dans ce site. Par la suite, les diverses littératures sacrées ou mythologiques apportent les confirmations de mes visions. Cette fois, je vous résume les différentes incursions que j’ai fait dans le lointain passé. J’ai pu découvrir que l’empire de Rama ne se limitait pas à l’Inde actuelle. Il était planétaire. Rama fut le premier empereur du monde, après l’avoir conquis militairement région par région, pays par pays, continent après continent.

Le spectacle des cités rishis avait vraiment de quoi surprendre. Leur développement semble proprement stupéfiant. Outre les palais et les grandes demeures  pourvues de canalisations sophistiquées, eau chaude et eau froide courantes, on y découvre aussi des usines, des centrales à géo-énergie, des capteurs de foudre,  avec des petites maisons identiques, bien alignées, pour les travailleurs. Stupéfiante modernité des mondes d’avant le grand déluge !

 

 

Premiers concernés, les archéologues boudent ces découvertes qu’ils jugent absurdes. Il faudra bien qu’un jour ils s’abreuvent eux aussi à cette source lumineuse.

Après une vie passée à éplucher les textes sanskrits les plus anciens, l’indianiste Alain Daniélou a fait une découverte ahurissante : des vimanas y sont décrits avec deux gros diamants à l’avant, et deux rubis plus petits à l’arrière. Diamant blanc, rubis rouge… S’agirait-il de phares, blancs à l’avant, rouges à l’arrière ? Daniélou n’en revient pas, nous non plus. Jusque pour la couleur des phares, l’histoire bégaye ! De quoi conforter l’existence des annales akashiques, où tout est écrit.

A l’âge d’argent, de nombreuses machines volantes sillonnaient le ciel en montrant l’éclat blanc de leurs phares ou l’éclat rouge de leurs feux arrières. Spectacle féérique ! Comment aurait-on pu l’oublier ? Aussi, quand il a fallu déterminer la couleur des feux arrières des véhicules contemporains, quelqu’un s’est « souvenu » de cette merveille passée. Il n’a eu qu’à faire un tour à la Grande Bibliothèque de l’Univers. Il suffit d’ouvrir la porte du Rêve. Même si on l’oublie au réveil, on le fait toutes les nuits…

Les citations, descriptions et récits de vimanas abondent dans le Mahabharata et autres textes sacrés de l’Inde ancienne. On y relève une tentative de classification : les textes distinguent trois sortes d’engins volants, des petits vimanas pour aller d’une ville à l’autre, des pushpakas plus gros pour aller d’un continent à l’autre ; et des engins beaucoup plus rapides pour aller dans l’espace.

 

 

Ceci pour le continent indien. Car d’autres engins volants évoluaient un peu partout. Au Moyen-Orient, par exemple, le roi Salomon ne dédaignait pas les joies du vol. On retrouve en Asie, en Afrique ou en Amérique des montagnes arasées, des pyramides tronquées, autant de pistes d’envol pour l’astronef de Salomon. En Orient, ces montagnes aplaties portent encore le nom de Trônes de Salomon. Ce roi avait des pratiques très en avance sur son époque, comme on peut en juger par les descriptions de son temple. Quant au sceau de Salomon, il évoque un engin spatial du même type que l’Atlantide ou Hyperborée, comme je l’ai expliqué dans l’article consacré à l’étoile de David.

En Egypte ou chez les Olmèques, les « dieux » avaient la même coutume. Chez les Asvins, il y avait une autre sorte d’engin volant, le vailixi, qui pouvait voler et voguer sur ou sous l’eau. Grâce à cette supériorité technologique, les Asvins ont fini par vaincre les Ramas. Qui sont donc ces Asvins ? Qui est ce peuple rival à la haute technologie ? Le Mahabharata dit que les Asvins vivent à l’ouest et sont les rivaux des Ramas.

Se pourrait-ils que ces Asvins soient les Atlantes ? Alors le Mahabharata nous raconterait la guerre de tous contre tous, la guerre des Atlantes contre les Ramas, la Gigantomachie, guerre de Zeus contre les Reptiles Géants, ou la guerre des Anounnaki contre les Grands Planificateurs, les Elohim ?

Il y a eu beaucoup de guerres d’extinction dans notre très lointain passé. On en trouve encore les traces : la Mer Morte n’est-elle pas la preuve que le dieu de Moïse et de David, un terrible dragon, possédait aussi des armes nucléaires ? La destruction de Sodome et Gomorrhe y fait bougrement penser. Shiva lui aussi possédait un arsenal varié qui évoque nos armes les plus terribles.

 

 

Amis bricoleurs, voici une antique notice de montage : « Solide et durable doit être le corps du vimana, comme un grand oiseau volant fait de matière légère. À l’intérieur doit être mis le moteur à mercure posé sur son réchaud métallique. Grâce à la puissance latente dans le mercure qui permet le déplacement, un homme assis à l’intérieur peut voyager à grande distance dans le ciel. » (Source)Sanskrit Samarangana Sutradhara, 11e siècle

Cette propriété du mercure, totalement inconnue de nos jours, doit faire bien rire nos savants incrédules. Et pourtant ! Ont-ils tous oublié que le mercure s’appelait autrefois le vif argent ? Pour la couleur argentée, d’accord. Mais ça n’explique pas le mot vif. Pourtant nul chercheur n’en a cure et ça m’interpelle. Comment se fait-il qu’aucun d’entre eux ne fasse le rapprochement ?

« Les mouvements du vimana sont tels qu’il peut monter verticalement, descendre verticalement, s’incliner en avant et en arrière. Avec l’aide des machines, l’être humain peut voler dans l’air et finalement revenir au sol. » (Source)Sanskrit Samarangana Sutradhara, 11e siècle

Confondant, n’est-ce pas ? Qui aurait pu inventer des détails techniques aussi convaincants à partir de rien, guidé par le seul hasard ? Là encore, j’encourage les chercheurs universitaires à pratiquer davantage la pluridisciplinarité. Les différentes mythologies sont une source d’information sur le lointain passé qu’ils ont tort de négliger. Aussi je les prie de s’intéresser aussi à ces textes très anciens et très riches, qui nous font entrevoir un monde beaucoup plus proche du nôtre.

C’est probablement ce dernier point qui bannit les recherches. L’ego sociétal contemporain se refuse à admettre l’existence d’autres civilisations développées, peut-être supérieures à nous.

 

Le symbolisme ? La sagesse des crétins. Ce qui reste quand on a tout oublié.
Lao Surlam