Nous ne sommes pas seuls. Nous ne sommes pas les premiers. Nous ne sommes pas les plus forts. Nous ne sommes même pas unis sur terre. Et pourtant… Nous sommes les quatre-vingt-dix-neuf pour cent. Unissons-nous, la paix viendra. Dans l’épreuve qui nous attend, il faudra passer tous ensemble ou périr jusqu’au dernier.
L’âge de Fer où nous languissons est une bien triste période en vérité. Il faudrait savoir voler mais nos ailes n’ont pas encore poussé. Il faudrait savoir aimer mais les coeurs ne sont pas encore assez ouverts. Alors nous ne pouvons que humer la saveur des plats qui nous attendent, tout en continuant à mourir de faim à la porte du festin.
« J’ai roulé, j’ai vécu, j’ai aimé et j’ai passé aujourd’hui des moments roses, Mais j’ose espérer Seigneur bien autre chose ! Qu’est-ce que j’ai dans ma ptite tête à rêver comme ça le soir D’un éternel jour de fête d’un grand ciel que je voudrais voir » chantait le tragique et divin père Duval dans les années soixante. (source)Aimé Duval, La p’tite tête Ce prêtre hors-norme, musicien, showman, visionnaire et alcoolique aussi, a été victime de ses dons et de la bêtise d’une époque grise. Trop de sensibilité fait mauvais ménage avec trop de lucidité.
Il a chanté l’usine et l’atelier, la guerre et les prêtres ouvriers de la J.O.C. Il a connu les premiers théologiens de la libération en Amérique du Sud, et tout comme l’abbé Pierre il a refusé honneurs et promotions. Il voulait rester avec les sans-grade, dans la foule humaine de ses frères et soeurs dont il partageait les souffrances, les doutes et les travers. Son alcoolisme était le miroir d’un alcoolisme endémique qui décimait les populations laborieuses. La France des humbles n’avait pas le moral.
Pour les petites gens, Duval chantait l’esprit, l’éveil, l’ouverture avec des airs entraînants et des mots simples. lI avait cinquante ans d’avance, on reparlera de lui. Dans sa chanson La ptite tête (source)Aimé Duval, La p’tite tête il nous montre comment la tête est gênante dans notre chemin de lumière. Il nous parle du coeur ouvert, de l’émerveillement. De la lassitude, aussi. Le soir, quand il a du vague à l’âme, de quoi rêve-t-il ? D’un grand ciel. Pas le ciel normal, bleu ou gris, pas le ciel de tous les jours.
Pas non plus le ciel des chrétiens, ce paradis dans lequel, déjà à cette époque, les gens honnêtes ne croyaient plus guère. Alors de quoi s’agit-il au juste ?Précisément de ce qui nous attend. Un voile nous coupe de la réalité galactique et nous maintient dans une virtualité terrestre que nous avons toujours pris pour la réalité. Les enfants, les tout-petits peuvent le voir, ce grand ciel. Ils peuvent le voir grouiller d’entités, fourmillant d’êtres vivants qui s’y déplacent par troupes entières, en tous sens.
Ils peuvent voir le bestiaire fantastique des chimères, ces hommes animaux qui sont invisibles pour les adultes. Ils peuvent voir les elfes, les fées, chaque représentant du Petit Peuple. Ils peuvent voir leur double, ou ange gardien, que leurs parents appellent « un ami imaginaire ». Nous en avons tous eu. Un beau jour il a disparu : ça s’appelle grandir. Perdre la grâce des enfants. Ils peuvent surtout voir des vraies couleurs du monde, non pas sept comme nous, mais des milliers de couleurs que l’on ne voit qu’en astral.
L’ouverture du ciel est prochaine. Bientôt les plus avancés d’entre nous percevront ces nouvelles couleurs car dans les corps astraux de ces êtres transformés sont apparus de nouveaux organes sensoriels qui font d’eux des éclaireurs, des guides et des modèles.
Ne vous demandez pas de quoi le monde a besoin. Cherchez ce qui vous fait vivre, et faites-le. Parce que ce dont le monde a besoin, c’est de personnes qui se sentent vivantes.
Cette grosse pierre sculptée pose une foule de questions auxquelles je vais tenter de répondre.
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"J'en ai haussé des femmes ! J'en ai osé des flammes !" (Cahiers Ficelle, inédit)