La Cappadoce est une terre creuse, un emmental de vingt niveaux souterrains aménagés sur des kilomètres carrés. Des kilomètres de tunnels, des hectares de salles et d’escaliers, pourquoi ? Quand ? Qui a bien pu creuser ce gigantesque pays souterrain ? D’où viennent ces villes, toutes reliées par des tunnels, pourvues du confort, eau courante, toilettes, puits de lumière ?
Turquie, Cappadoce, environs de Nevsehir, vers -4000 : « Les Hittites, premiers habitants d’Anatolie, ont creusé des habitats à même la roche tendre des falaises pour se protéger des éléments et s’y réfugier en cas d’attaque.
Au VIIe siècle, poussant la stratégie défensive à l’extrême, les habitants se sont construits des villes souterraines pour échapper aux invasions perses et arabes. Il y aurait une centaine de villages troglodytiques dans les pics rocheux de Cappadoce. On ne visite que les villes souterraines de Nevsehir, Özhonak, Mazi, Kaymakli ou Derinkuyu.
Kaymakli est la plus visitée de la région. Elle s’étend sur plusieurs kilomètres et compte huit étages. La plus grande : elle pouvait accueillir plus de 30.000 habitants sur pas moins de 18 niveaux. Seuls les huit premiers ont été explorés. » (source)Brochure Cappadoce, Ministère du Tourisme de Turquie, Ankara,1998
Il y a une bonne raison à ça : les niveaux inférieurs sont envahis de sédiments qui les rendent quasiment impraticables. À eux seuls, ces dépôts alluviaux montrent que les cités sont antérieures au dégel du Würm, cause du déluge dont témoignent tant de mythes. La grande cité de Derinkuyu est certainement « la plus intéressante des villes souterraines. Elle possédait un puits profond de 60 mètres, qui permettait le ravitaillement en eau, élément essentiel lors d’un siège de plusieurs mois. Un tunnel d’une dizaine de kilomètres reliait Derinkuyu à Kaymakli. » (source)Brochure Cappadoce, Ministère du Tourisme de Turquie, Ankara,1998
Comment vivaient ces mystérieux troglodytes ? Assez bien, semble-t-il. Les villes souterraines, construites ou plutôt creusées sur plusieurs niveaux, comportaient des étables, des entrepôts, des celliers, des dortoirs, des temples et des salles communes. Des couloirs et des escaliers permettaient de passer d’une habitation à l’autre. Il y avait un système d’aération par cheminées et un système d’arrivée et d’évacuation d’eau !
Cette grande maîtrise de l’eau dont témoigne la profusion de canalisations souterraines apparente les cités de Cappadoce aux autres civilisations hydrauliques, qui sont les plus anciennes connues. Parmi ces cultures hydrauliques, citons celle de la vallée de l’Indus en Inde, celle de Tiahuanaco dans les Andes, ou celle de Teotihuacan en Mésoamérique.
Une population totale de deux cent mille habitants aurait vécu dans ces cités de Cappadoce, ou plutôt dans ce pays enfoui, car toutes les cités sont reliées entre elles. Une découverte archéologique majeure reste à faire : l’exploration complète et le relevé de cet immense réseau souterrain. Le sous-sol de la Cappadoce est un vrai gruyère. Les trésors qu’il recèle, surtout aux niveaux inférieurs, sont à peine inimaginable. D’autant qu’on a tout lieu de penser qu’il s’agit d’un ouvrage très antique, au-delà même de la période qu’on appelle l’antiquité.
Qui a fait ça, et quand ? Pour creuser toutes ces montagnes, il fallait un motif pressant. « Pour se protéger des éléments » est la réponse officielle. Quels éléments ? En -4000, l’âge de glace était fini depuis belle lurette. Pire encore, à partir de -9000, le dégel a causé trop d’inondations incompatibles avec la vie souterraine : les habitants auraient été noyés à coup sûr.
La suite de la version officielle, encore moins réaliste, veut que les niveaux souterrains aient été agrandis et prolongés par les Chrétiens. Ces derniers furent contraints de vivre ainsi cachés pour se protéger de la poussée islamique de 642.
Il est vrai que l’on trouve des peintures murales aux motifs chrétiens, mais jamais en profondeur : les peintures chrétiennes sont situées aux niveaux supérieurs, bien visibles au-dessus de la surface, ce qui ne témoigne guère d’une volonté de se cacher.
L’archéologue et essayiste Andrew Collins exprime une perplexité que nous partageons tous :« Quelque chose ne colle pas. La réaction normale d’une communauté craignant d’être écrasée par un envahisseur armé serait de gagner des régions plus sûres, ce que firent les nombreux chrétiens qui s’établirent en Europe de l’est, notamment en Grèce. C’était de la folie de creuser un trou dans le sol et de s’y cacher en espérant que les persécuteurs finiraient par repartir. » D’autant que, loin de s’enfouir, les Chrétiens n’ont occupé que les niveaux situés au-dessus de la surface ou très peu profonds.
L’ignorance n’est point le manque de savoir, mais le manque de connaissance de soi ; sans connaissance de soi il n’est point d’intelligence.
Contre quel cataclysme l’homme a-t-il pu creuser tous ces terriers ? Pourquoi plus on descend, plus les plafonds des tunnels sont élevés ? Et de quand datent ces mystérieux habitats troglodytes ? Autant de questions qui en soulèvent bien d’autres… La version officielle prétend que ces villes sous la terre ont été creusées par les Hittites à partir de -4000. Mais pour quelle obscure raison ?
Une fois encore, la version officielle pèche par manque de sérieux et de réflexion. Les Cités des cimes protégeaient les Andins des ravages des eaux furieuses. Mais les cités souterraines de Turquie protégeaient qui contre quoi ? Elles n’auraient pas eu d’utilité contre les inondations ou les crues, car leurs habitants y auraient été noyés comme rats dans un trou.
Par contre, elles auraient pu favoriser la survie au cours du dernier âge glaciaire. Les constructions souterraines sont en effet peu sensibles aux variations de température de la surface. Dès le 3e niveau souterrain, règne une température constante de 11°, ce qui permet de résister au gel de surface… comme celui du dernier âge glaciaire, par exemple…
Omer Demir, le conservateur du site, a sa propre théorie qui paraît plus solide. Selon Demir ces cités auraient plus de cent mille ans. Faisant écho au mythe du Noé des glaces, voilà un autre indice de la présence d’hommes développés en pleine préhistoire. Car il a bien fallu que ces galeries soient creusées avant que le gel ne rende la roche trop dure…
Donc avant le début du Würm, il y a cent dix mille ans ! Il a bien fallu qu’un « dieu » prévienne les hommes ignorants de s’abriter dans un var. Et pour qu’un « dieu » soit là pour les guider, il a bien fallu qu’une civilisation ait eu le temps de se développer, soit plusieurs millénaires avant le déluge, ce qui nous rapproche de cent cinquante mille.
Or cette même date est celle de l’apparition officielle de l’homme moderne.
Homo sapiens sapiens, l’homme de Cromagnon proche parent de l’orang-outang, mal dégrossi, sortant tout juste de sa caverne ! Quelle vaste blague !
Vous vous trompez lourdement, Messieurs les paléo-anthropologues, l’homme était un dieu à cet époque, et non pas un sorte de cousin du singe…
Notre véritable ancêtre était un dieu géant descendu du ciel pour se poser au sommet du Nemrud Dag en Turquie. Il s’appelait AhuraMazda, lumière céleste — j’explique comment on peut interpréter son nom un peu plus loin. Il est le fondateur de notre espèce actuelle, de ses sciences et de sa civilisation.
Ce surhomme si puissant, si instruit, si savant possédait une telle avance technologique sur les terriens de l’époque, qu’ils l’ont appelé dieu.
Toute technologie suffisamment avancée est indiscernable de la magie.
Les dieux venus sur Terre étaient des millions, oui, 33 millions selon les Védas. Le mythe du dieu unique en prend un vieux coup dans les gencives…
Ces millions de surhommes ont terraformés la Terre, patiemment, génération après génération, pendant plusieurs milliards d’années.
Les sept jours de la création biblique font état de ce travail de fourmis géantes.
Ils nous ont modifiés génétiquement et nous ont tout appris. Je ne dis pas ça en l’air, les preuves sont écrites noir sur blanc dans les plus anciens textes que nous possédions, les mythes et légendes de partout.
Ne riez pas, messieurs les faux savants. Légende vient du mot latin legenda, qui mérite d’être lu.
À côté de la version officielle des paléo anthropophages – ils méritent bien cette moquerie – voici ce que nous raconte la tradition perse.
Le dieu des dieux Ahura-Mazda vint trouver Yima, qui était un homme juste, sage et bon. « Un terrible hiver va s’abattre sur la terre, un hiver qui durera des générations. Tous les humains périront, sauf ceux qui se seront abrités dans la douceur du ventre de la terre, où règne une température constante. Yima, prends mille ouvriers, creuse la terre et la roche, aménage une cité souterraine et prévois d’y amener animaux et plantes en suffisance. »
Ahura-Mazda, le dieu des dieux des Perses, peut se découper ainsi : Ahu Ram Az Da.
– Ahu comme Yahou, comme Anu, comme Ana, comme Dana Ann, etc. Elle est la Grande Déesse d’Alcor, suprême dirigeante de l’Empire galactique des Mille Étoiles.
– Ram comme Rama ou Ram, le premier empereur de la Terre, connu sous de multiples noms. Un géant nègre de 4m originaire d’Hyperborée, descendu sur la terre celte sous le nom de Setanta. Il devint Cuchulann. à la tête de sa redoutable armée, les Peuples de la Mer, il faillit détruire ou conquérir tous les pays riverains de la Méditerranée. Il poursuivit ses victoires de pays en pays jusqu’à l’Inde, la Chine et le Tibet. Rama vécu plusieurs milliers d’années. Il est encore connu en Chine sous le nom de Yao, premier empereur mythique de la Chine. Il est aussi Lam ou Lama, fondateur du lamaïsme tibétain, premier bouddha mythique. Un Nègre, car toutes les races descendent des Nègres.
– Az : les dieux Ases sont les premiers fondateurs mythiques de la Scandinavie, terre sous le ciel, sous le grand soleil éblouissant d’Hyperborée…
– Da : je vous laisse libre de l’interpréter, ce Da qui veut dire oui en russe, ce Da de la déesse irlandaise mythique DanaAnn, ce Da qu’on retrouve dans la forme verbale latine dare, donner…
Yima fit ce que son dieu — ou sa Déesse ?– lui avait demandé, et les survivants ont passé cent mille ans sous la glace, dans un confort qu’ils ont eu tout le loisir d’améliorer au fil des siècles et des millénaires. L’histoire semble crédible, en tout cas elle éveille en nous des échos profonds, douloureux, le souvenir génétique de cent mille années sans soleil.
C’est pendant cette longue période de vie souterraine qu’a été développée l’énergie vril électrique, car il fallait bien pallier l’absence de lumière solaire pour les plantes, les bêtes et les gens. Pour les mêmes causes de survie face à l’âge de glace, il est possible que ce réseau souterrain ait été présent ailleurs qu’en Cappadoce.
Les mythes évoquent des tunnels sous les Amériques, le monde sous la terre du dieu Enki, les enfers du dieu Hadès, ou encore le royaume souterrain d’Agartha.
À la suite d’Helena Blavatsky, Edgar Jacobs évoque une Atlantide qui aurait subsisté jusqu’à nos jours dans un vaste empire sous-marin. Cette hypothèse peut faire sourire, jusqu’à ce qu’on se souvienne qu’au fond des lacs de Sibérie, des plongeurs de l’Armée Rouge ont rencontré des géants invincibles. Oui, des hommes de très grandes taille, comme les galeries les plus profondes de Cappadoce, qui ne se visitent pas.
Elles sont bien plus hautes de plafond, et creusées de façon très régulière, sans doute par un tunnelier. La roche paraît vitrifiée en surface, ce qui évoque une découpe au laser. On a affaire ici a un monde technologique, qui s’est préparé scientifiquement à une survie de longue durée en milieu hostile.
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