On s’endort
On s’endort et l’instant qui suit on se réveille. La nuit passe, on n’en a aucun souvenir.
On s’endort et l’instant qui suit on se réveille. La nuit passe, on n’en a aucun souvenir.
L’enseignement d’un nagual n’est pas compréhensible. Il ne s’adresse pas à la jugeotte, il la snobbe.
Ceux qui me gênent sont écartés. Inversement, ceux qui m’aident sont récompensés.
Tantôt ici, tantôt là, il est des moments où l’esprit s’incarne. Le 5e siècle avant notre ère est une cuvée exceptionnelle.
Comme Juan Matus, et bien avant d’avoir lu Castaneda, j’ai suivi le chemin qui a du cœur.
Je suis attaché à Mithra, croyez-moi, par un lien solide qui n’est pas près de lâcher.
Le savant extérieur étudie pour lui, le sage intérieur étudie pour la connaissance, disent les Soufis.
« Si le christianisme eût été arrêté dans sa croissance par quelque maladie mortelle, le monde eût été mithraïste »
C’est notre propre lumière qui nous effraie le plus, dit Nelson Mandela… ou Marianne Williamson ?
Dialogue de sourds : la voix intérieure donne la règle de l’Aigle. Le mental triche.
Le Grand Esprit est en toutes choses, et tout est en l’Esprit, disent les Amérindiens.
Reconstituer le moi total enfoui dans les profondeurs de l’inconscient, c’est possible.