Il y a plus d’une façon de voir la vie autrement. La plus simple à mon avis, c’est de se glisser dans l’Ailleurs. Il a de multiples portes que les guerriers du nagual ont le don de trouver. Alors cessez de vous plaindre. Si ce monde ne vous plaît pas, changez-en. Plusieurs univers parallèles nous sont accessibles. Mode d’emploi.
En 1989, le Néo-Zélandais Alec Newald a été enlevé par des extranéens. Le récit de son abduction, pourtant soft, lève de graves questions sur ces drôles d’aliens. Ils se contredisent à force de nous rouler dans la farine.
Dur de faire confiance à des voyous spatio-temporels qui nous baratinent depuis des millénaires. Mais la rencontre du 3e type faite par Newald contient d’autres enseignements, moins sujets à caution. Sur les mondes parallèles, Zelda lui explique qu’ils nous sont accessibles. Si les humains peuvent y aller, c’est grâce au cycle de l’atome : « Lorsque vous comprendrez cet aspect, une toute nouvelle dimension ou plusieurs nouvelles dimensions s’ouvriront à vous, car en cet instant, entre les pulsations des atomes, se trouve un monde au sein d’autres mondes.
Il existe en fait des dimensions parallèles à la vôtre, parallèles tout du moins à celle où la plupart d’entre vous vivez votre ici-et-maintenant. Ces dimensions sont très proches de votre maintenant réel. Elles en sont même tellement proches qu’il peut vous arriver d’y entrer et d’en ressortir sans même le savoir ! Ce glissement interdimensionnel a lieu régulièrement depuis vos premiers pas sur terre, mais actuellement cela vous arrive de plus en plus souvent, parce que vous êtes en train de vous éveiller à votre vraie nature. »
La pointe avancée de la recherche physique ne dit pas autre chose. « La réalité théorique des univers parallèles se démontre par une série d’équations tirées de l’hypergéométrie de Gauss, de la pangéométrie de Lobatchewsky, de la géométrie non-euclidienne de Riemann et du calcul des transfinis de Cantor. » (source)R. Charroux, Le livre des secrets trahis
Tous autant que nous sommes, nous sommes conscients qu’un changement va se produire. Disons qu’il est en train de se produire. A nous d’être attentifs, et prompts à nous émerveiller. Mais comment savoir lorsque nous quittons notre ici et maintenant pour passer dans un maintenant et ailleurs ?
Zelda s’en explique : « Il y a parfois de petits indices qui t’indiqueront que cela vient tout juste de se produire. Combien de fois as-tu cherché quelque chose dans une pièce, sans réussir à le trouver ?
Tu reviens, quelques instants plus tard, et voilà ce que tu cherchais, juste devant ton nez. Pourtant il n’y avait aucun moyen de passer à côté la première fois ! Tu vois, on n’est pas toujours là où on croit être. Cela peut se produire tous les jours pour certains, mais ils en sont fondamentalement inconscients. Ce qui fera la différence, c’est d’être pleinement conscients au moment où tu fais ces mini-sauts, d’être conscient du lieu où tu vas. Et là, tu seras surpris. C’est dans un lieu comme celui-là que tu nous trouveras. »
Aurions-nous tous perdu les pouvoirs magiques de nos très lointains ancêtres ? Serions-nous totalement dégénérés ? Dénaturés ? Décérébrés ? Décortiqués ? Désabusés ? Déshumanisés ? Désacralisés ? Les humains auraient-ils oublié leur divine origine ? Pas tous ! Le chamane et les peuples premiers n’ont jamais perdu de vue notre double nature. Ils savent que l’homme peut fort bien changer de plan, en l’espace d’un instant, sans en ressentir le moindre choc.
Les guerriers du nagual ne s’en étonneront pas. Ils sont particulièrement sensibles aux structures atomiques et vibratoires. Ils ont une forte propension à l‘intermondisme — la faculté de changer de monde. Semblant obéir à une physique quantique et se mouvoir dans une géométrie non-euclidienne, les intermondistes prennent volontiers l’apparence amusante de petits hommes verts pour attaquer Mars et ses aliens gris.
Je préfère en parler sur un autre ton. Je les regarde avec le plus grand respect. J’ai œuvré dans leurs rangs quinze années durant : rude labeur joli qui laisse des rides au cœur et l’amour pour ami. Il faut aimer pour transmettre. Voilà le grand secret. Ainsi font les Loups, passants de l’entremonde. Aucun sésame ne peut t’ouvrir ce lourd portail si ton cœur ne bat pas sur l’aile d’un papillon.
Les naguals viennent d’ailleurs. Ils souhaitent y retourner. Mais les nouveaux naguals ont perdu le chemin. Où se diriger dans cette immensité là-dehors ? Aucune réponse ne pointe le bout du nez. J’ai beau chercher, rien ne m’attire ici ou là. Je suis hors-clan, j’échappe aux structures traditionnelles, je me contente de suivre la Règle. Mais je me sens bien démuni. Aucun éclaireur de l’astral n’a exploré pour moi le vaste ailleurs, et dans l’hypothèse où le don de l’Aigle existe bel et bien, où m’en irais-je s’il me laisse passer ? Si j’échappe à son bec ? Si je ne suis pas dissous dans la grande soupe cosmique qu’on appelle conscience universelle ?
I was due in time in the universal mind, chantent à jamais les Doors dans mon juke-box intérieur. Ça suffit pour me faire passer dans le Swinging London des seventies. Attendez, mais j’y suis vraiment. Carnaby Street, King’s Road. Hide Park Corner et ses prédicateurs. C’était hier et c’est maintenant si ça me chante. Rien ne disparaît, tout survit éternellement dynamique et figé dans l’éternité d’un monde parallèle.
Ce n’est pas un voyage spatial, ce n’est même pas un voyage du tout. On accommode sa vision subtile. Tout d’un coup, on perçoit l’autre côté de la vie. Soyez en sûrs, d’ici peu, nous serons tous des chamanes. C’est déjà en train d’arriver. Et Zelda nous dit pourquoi : « Vous allez effectuer un saut dimensionnel majeur, qui ne ressemble à rien de ce que vous avez pu vivre. Ce saut vous rapprochera de mon peuple. C’est cela que nous attendons, tous autant que nous sommes ! » Sans doute que Newald n’a rien inventé. Il croit à cette version. Mais ça ne prouve pas que Zelda existe.
Quant aux mondes parallèles, d’autres en ont parlé, d’autres y sont allés. Et pour ce qui est de l’accélération du temps, elle était déjà sensible en 1989, époque de cette abduction. Et depuis, croyez-moi, ça n’a fait que croître et embellir.
Une nouvelle phase d’accélération a démarré fin 2012. Et ça n’a pas molli depuis, au contraire. Cette accélération folle accentue la porosité entre les plans de réalité. Les murs qui séparaient jadis ces différents mondes parallèles se sont écroulés, comme le mur de Berlin.
Ou plutôt, ils sont toujours là, mais l’accélération a fait de nous des passe-murailles. Juan Matus, le benefactor de Carlos Castaneda, lui fit un jour cette confidence : « Il y a cinq grandes bandes d’émanations que nous pouvons assembler. Celle dans laquelle nous nous trouvons tous, et deux autres de chaque côté. »
Cette curieuse formulation nous renvoie à la magnifique théorie de la connaissance développée par les sorciers toltèques, auxquels Juan Matus se réfère constamment. Que diable veut dire « assembler une bande » ?
En langage clair, cela revient à dire qu’il existe quatre autres plans – ou systèmes de mondes – dans lesquels nous pouvons nous rendre. Ce qui ne signifie pas : quatre univers parallèles au nôtre. En fait, il y en a bien davantage — une infinité sans doute — qui nous sont accessibles dans chacun des cinq plans.
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