Dieux blancs d’Amérique

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À quoi ressemblaient les dieux d’avant ? Aussi curieux que ça paraisse, il est possible de dresser leur portrait robot. Du moins en ce qui concerne les dieux blancs. Car le Popol Vuh, livre sacré des Mayas Quechua décrit aussi les dieux noirs.

Selon la Bible et d’autres saints livres, nous avons été créés par Dieu. Ou plutôt par des dieux, des géants savants et habiles. En fait, nos créateurs ne nous ont pas créés à partir de rien. Ils ont modifié leur programme génétique pour en faire le nôtre, moins performant, moins durable.

Mais grâce à Prométhée (ou Elohim, ou Enki, c’est pareil !) qui nous a faits et protégés, notre espèce, si fragile et inadaptée qu’elle paraisse, s’est imposée sur Terre où elle règne en maîtresse.

Qui a créé nos créateurs ? Cette question reste sans réponse. En un sens, nos créateurs sont nos ancêtres. puisque nous sommes « les fils de Dieu qui nous a fait à son image. » (source)L’Évangile de Marie – Myriam de Magdala de Jean-Yves Leloup Il faut donc se représenter les débuts de notre sous-espèce actuelle comme une cohabitation : d’un côté, des géants qui savent tout, peuvent tout et ne s’en privent pas. De l’autre côté, nous autres, faibles et corvéables, qui ont tout à apprendre de leurs puissants maîtres. Les géants méritent notre respect total, un respect largement fondé sur la crainte.

Les premiers Homo sapiens sapiens, nos ancêtres, avaient une attitude de crainte respectueuse à leur égard, les « dieux » ont abusé de leur position dominante pour se faire respecter et servir, c’est humain… Mais alors, si les dieux sont des hommes, à quoi ressemblaient-ils ?

Tout d’abord, ils représentaient des races différentes. La tradition biblique comme la tradition maya nous disent qu’ils étaient sept, les sept Elohim ou les sept compagnons de Quetzalcoatl. Parmi eux, il y avait des Noirs d’Afrique, mais aussi des Blancs.

Le Popol Vuh nous en donne même une description précise, suffisante pour en dresser le portrait-robot. Les dieux appartiennent à deux ethnies distinctes et qui ne se mélangent pas, les Blancs et les Noirs. Les Dieux Noirs d’Amérique sont de type négroïde et d’origine africaine. Les Dieux blancs sont de type européen, voire nordique. Si les Blancs sont plutôt des ingénieurs et des généticiens, les Noirs sont une caste de guerriers farouches et d’une grande noblesse, comme les Ksatriyas en Inde.

 

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Ils étaient élevés et entraînés pour l’art de la guerre, même si les jeunes Blancs y prenaient bien leur part eux aussi.

Ces derniers avaient la peau ivoirine, les joues rouges, les cheveux blonds bouclés serrés, comme des locks rastas. Leurs yeux sont fins voire bridés ; l’iris est de couleur claire, jaune ou vert pâle. Leurs pommettes sont hautes et saillantes. Leur nez est en bec de vautour, c’est pourquoi on les appelait des serpents-vautours en Mésopotamie. Ils sont de haute stature, et même de véritables géants avec leur belle stature de 4 mètres. On a retrouvé des squelettes de cette taille au Pérou, mais aucun scientifique ne l’a noté.

On a trouvé aussi des crânes oblongs aux caractéristiques tout à fait singulières. Certains de ces crânes n’ont pas subi de déformation post-natale, ils appartiennent manifestement à une autre espèce. C’est une découverte majeure que la science, une fois de plus, dédaigne. Pourtant, et cela nous semble incompatible, ils se reproduisent avec des humaines. Nous sommes génétiquement compatibles avec eux. Ce qui n’a rien d’étonnant s’ils nous ont faits à partir de leur matériel génétique…

Sur cette planète, à l’heure actuelle, sauf omission, il n’y a qu’une seule race d’Homo sapiens, la nôtre. Mais il y en a eu plusieurs autres dans le passé, comme les Néandertaliens. On a pensé longtemps qu’ils ne s’étaient pas reproduits avec notre race, le contraire est maintenant avéré. Pourquoi d’autres races n’auraient pu se croiser avec la nôtre ? Quoiqu’il en soit, tous ces traits font d’eux des hommes, non des dieux. Les textes premierssumériens aztèques, incas, égyptiens, grecs ou hébreux décrivent une race disparue, mais très humaine.

 

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Une race de géants musclés invincibles à la lutte, un peuple de surhommes aux cheveux de paille tressée, à la carnation ivoirine, aux joues toujours rouges, là où la peau est si fine que le sang se voit au travers.

Pourtant, une particularité détonne, qui semble nettement moins banale pour des hommes : leur peau est décrite comme brillante, luminescente. A première vue, il n’y a pas d’explication à ce phénomène, mais souvenons-nous que nous avons affaire à des civilisés très développés, férus de hautes technologies.

Sans doute craignaient-ils le soleil, ce qui accrédite la thèse de l’Abzu ou du Sidhe, un monde sous nos pieds où ils auraient vécu…

D’après l’épopée sumérienne des Anunna du Ki, toutes les planètes sont creuses et possèdent un monde intérieur, l’Abzu de Sumer ou le Sidhe des Tuatha, rebaptisé Agartha au siècle dernier. La lumière y vient soit d’un soleil intérieur, soit d’un éclairage artificiel à base d’énergie Vril. Les légendes affirment que l’énergie Vril de l’intra-monde est source d’une très grande longévité.

Pourrait-elle aussi être la cause de cette curieuse fluorescence de la « peau d’endive » des dieux d’avant ? 

Deux hommes regardaient par les barreaux de leur prison. L’un vit la boue, l’autre les étoiles.

Idries Shah

 

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Entre tes jambes, je vois la lumière.
Stef Kervor