Adieu Vieux Pat
Le Vieux Patate a traversé les mondes, puis la lumière blanche l’a transformé
Le Vieux Patate a traversé les mondes, puis la lumière blanche l’a transformé
D’où qu’on hume, ça sent le rance. Quelque chose est pourri dans mon royaume de France.
Pourquoi éprouvé-je le besoin de ressasser sans cesse les excès passés du saint désossé ?
Il a quitté la ville, il a quitté ce monde sans laisser d’adresse – il n’en a jamais eu.
Tout ce que tu as raconté sur moi est faux, honteux et très lourd. J’hallucine.
Chaud Patate, oui-da, chaud comme la braise qu’il écrivait Breizh, le gueux béni.
Le voilà soudain qui revient, main dans la main, plus seul qu’un chien, Vieux Patate alias Ficelle